Les lieux les plus transgressifs

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 16)
  • Auteur
    Messages
  • #88156
    Anonyme
    Inactif


    Pour moi la fessée, ce n’est pas juste un acte mécanique d’une main à la rencontre d’une paire de fesses. Il faut de mon point de vue de nombreux ingrédients. Une partenaire avec de la personnalité, un peu rebelle, un peu effrontée, bref pas une victime expiatoire. De bonnes raisons de fesser cette dernière. Une tenue réciproque adaptée à un acte tout sauf courant et banal (pour moi costume sombre, chemise blanche, poignets mousquetaires, chaussures de ville. Pour elle tenue soignée, jupe de préférence, dessous chic, ou juste culotte de coton blanc très sobre ) et enfin un lieu !

    Aucune magie à fesser une partenaire dans la chambre étriquée d’un hôtel de chaîne dans la périphérie d’une grande ville

    En fonction des scénari cela pourra être : la suite d’un grand hôtel, un appartement loué pour l’occasion, une chambre d’hôte de charme à la campagne pour les classiques.

    Plus originaux ou pimentés, des lieux plus insolites : un sous-bois en bordure d’un chemin de randonnée, un parc public, une friche industrielle, au milieu des dunes, dans un champ de blé.

    Plus risqués : au bureau, dans le hall ou l’ascenseur d’un immeuble, au confessionnal d’une église, dans une ruelle le soir.

    Et vous quels sont les lieux les plus transgressifs où vous ayez donné ou reçu une fessée ? Dans lesquels vous rêvez de le faire?

    #88158
    Monsieurgigi
    Participant


    Bonjour. Pour ma part, j’ai essayé d’aborder ce sujet dans un de mes récits (l’achat du martinet) mais ce n’est resté qu’un fantasme…  🙁

    Sinon j’ai pu le faire une fois dans un parc public.

    Monsieurgigi : l'essayer, c'est l'adopter !

    #88161
    Paulparis
    Participant


    J’ai un souvenir… dans un sous bois du Bois de  Vincennes, non loin du château. Mais nous avons vite arrêté car vite repéré et des curieux arrivaient et nous ne tenions pas à créer un attroupement !!

    #88166
    sabine
    Participant


    Je rejoins tout à fait Laurent et je dois avouer que grâce à mon mari hélas décédé et celui qui l’a remplacé aujourd’hui, ils ont très bien compris mon gout pour les endroits transgressifs. Un de mes plus beau souvenir fut pour mes 50 ans dans les jardins du château de Versailles tout le temps qu’à duré le feu d’artifice des Grandes Eaux Nocturnes et celui ci est assez long, nous étions dans un bosquet, quelques personnes sont passées dont un couple qui est resté jusqu’à la fin du feu d’artifice et de ma fessée nous disant en partant que  le feu d’artifice sur mes fesses avaient été aussi agréable à regarder que celui dans le ciel et qu’il était difficile de savoir si c’etait mes fesses ou les fusées qui étaient les plus rouges.

    #88173
    Christal
    Maître des clés


    Le lieu le plus fou jusqu’à aujourd’hui, c’est le hammam.
    Il était public et la vapeur extrêmement forte. Mon stress a d’abord été à son max car j’avais peur qu’on soit surpris et ensuite, j’étais tellement excitée que je ne voulais qu’une chose, c’est jouir (après avoir été fessée). J’ai failli mourir étouffée par cette vapeur mais p… ce que c’était bon !

    En plus classique, j’aime beaucoup les fessées en forêt, dans les vignes, et lors des soirées lorsqu’on s’éloigne pour prendre l’air ^^

    Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.

    #88174
    Guruduth
    Participant


    Oui , le rapport au lieu est également très important pour moi , Sabine évoque les jardins de Versailles je comprends très bien cela, cette dimension historique rajoute quelque chose également je trouve

    #88200
    Myroir
    Participant


    Le lieu le plus subversif que j’aie pratiqué, ce sont les toilettes de grands hôtels parisiens. Non pas les toilettes qui sont dans les chambres mais les toilettes communes, celles que l’ont trouve dans les couloirs, ou près du bar ou quelque part près de la réception. Ces lieux sont très accessibles sans avoir réservé une chambre ni boire un verre. Ou du moins ils l’étaient car il y a quelques années que je n’y ai pas mis les pieds. On pouvait alors entrer dans l’hôtel comme dans un moulin, comme un client, et se diriger tranquillement vers des toilettes. Un lieu feutré, spacieux et peu fréquenté, où il est possible d’administrer une fessée déculottée dans un certain confort. Il est même possible de se livrer à quelques attouchements, d’enlever la culotte de la victime, voir d’en changer si nécessaire.

    Tu es décidément une vilaine fille. Monte dans la chambre et attends-moi.

    #88209
    Anonyme
    Inactif


    Une amie a l époque était en état d ebrieté complète je lui ait dit regarde dans qu’elle état tu-et tu mériterait une bonne fessée elle ma regardé avec un regard de naughty et ma dit pourquoi pas !

    Je lui ait dit OK je l’ai prise sur le banc public deculoté et fessé sur mes genoux sont derrière à finit rouges écarlate ! :0)

    Voilà mon récit d une histoire réelle ! Bisous à tous les amoureux de la fessée :0]

    #88210
    flateric
    Participant


    La fessée pas mécanique. Comme le sexe en gros. Il faut des ingrédients sup, comme le sexe en gros, la fessée n’est pas une pratique sensuelle au dessus des autres. De la personnalité, pas une victime non consentante. Novateur. Et merci pour les Formule1 en périphérie.  La magie du décorum chandeliers Champagne voutes en ogives et pompes vernies, peu pour moi. Cliché fade du film 50 nuances de gris lui même très fade.

    Superman se change dans une cabine téléphonique. On peut imaginer sans déchoir d’autres pratiques dans cette même cabine pré-citée.

     

    #88231
    Nush
    Maître des clés


    Il y a toujours des lieux plus chargés que d’autres. En émotions, en souvenirs, en projections et en désirs.
    Mes « lieux insolites » sont particuliers car ils sont ‘miens’ pendant un instant. L’instant où je les réinvente, où je leur redonne vie.

    Les moments passés là, où le corps soudain habite ces pièces est un moment précieux par sa complexité et aussi par la vibration de ce qui s’y passe.

    En général, rien n’est improvisé et je cadre ce qui doit s’y passer. Mais il y a toujours un imprévu, un hors temps, l’inattendu et c’est le sel de l’instant.

    Il y a quelque chose merveilleux et d’effrayant à nourrir ces ruines de ma peau, de mes cris et de mes soupirs.

    Genius loci.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 10 mois et 2 semaines par Nush.
    • Cette réponse a été modifiée le il y a 10 mois et 2 semaines par Nush.

    Car le feu qui me brûle est celui qui m'éclaire .

    #88247
    Rony
    Participant


    Une salle de classe (une vraie).
    Deux fois, avec des demoiselles différentes et dans des établissements différents.
    Des souvenirs que je chéris tendrement ^^

     

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #88254
    BadCristou
    Participant


    Une salle de classe (une vraie). Deux fois, avec des demoiselles différentes et dans des établissements différents. Des souvenirs que je chéris tendrement ^^

     

    Ah ça met l’eau à la bouche la…

    Un bon sujet de recit / témoignage

    #88255
    Rony
    Participant


    Une salle de classe (une vraie). Deux fois, avec des demoiselles différentes et dans des établissements différents. Des souvenirs que je chéris tendrement ^^

    Ah ça met l’eau à la bouche la… Un bon sujet de recit / témoignage

    Cher Badcristou, j’ai raconté un de ces souvenirs ici

    Cette fois, c’est la maîtresse qui y a droit

     

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #88491
    Grosminet
    Participant


    • Premier RDV avec une vilaine : en sortant du restaurant, dans la voiture, en face du commissariat de police de Versailles, sous un orage diluvien… les vitres de la voiture se sont heureusement couvertes de buée, mais le risque dope l’excitation !
    • Tout au sommet d’une tour des Baux-de-Provence, sur fond de coucher de soleil… magnifique paysage et ciel assorti à la couleur de ses fesses !
    • Le tronc des suppliciées : un arbre à l’écorce bien rugueuse dans une foret proche de chez moi. Lorsque je propose une balade en fôret, je retrouve MON tronc, mon complice de fouettées sauvages, de sodomies endiablées… S’il pouvait parler…
    • Lors de la visite du château de Pierreclos en Bourgogne. Il y a une salle avec un bureau et une statue de cire de Lamartine… On avait déplacé un Prie-Dieu pour le mettre face à Lamartine et elle s’est fait fesser face au grand homme !
    • En plein centre-ville de Narbonne, en début de soirée, dans un recoin de la partie la plus touristique de la ville… A 30 secondes près 2 policiers nous surprenaient ! Ils m’ont jeté un regard soupçonneux comme si je l’avais entrainée là pour abuser d’elle (c’était tout à fait le cas mais c’est elle qui avait choisit l’endroit!), et elle les a rassuré d’un sourire…
    • Sinon les grands cadres naturels : le sommet de la roche de Solutré, les Gorges du Verdon, etc… Parfois on se fait surprendre, mais ça ajoute un peu de piment… C’était plus facile avant, je veux dire au temps des Nokia 3210… Au moins on ne risquait pas de se retrouver filmé ou photographié et exposés sur les réseaux de cas sociaux lobotomisés.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 10 mois et 1 semaine par Grosminet.
    • Cette réponse a été modifiée le il y a 10 mois par Grosminet.

    Eva : Mais vous êtes un affreux sadique Grosminet !
    Plume : Vous êtes un vilain affreux sadique Grosminet !
    Prunille : Nan, mais vous avez vu la vierge en 3D le vilain Rominet !
    Nush : Vade Retro Satanas!

    #88843
    couleur fuchsia
    Participant


    Quelle malicieuse question que je viens (seulement) de découvrir : Et vous quels sont les lieux les plus transgressifs où vous ayez donné ou reçu une fessée ?

    Et surtout cette question, car elle fait appel à l’imaginaire fertile de notre fantasme préféré Dans lesquels vous rêvez de le faire ?

    Allez, au risque de choquer, je me lance pour la 2ème question. En plein milieu d’une réunion réunissant une dizaine de collègues, je suis apostrophée par mon patron, ou ma patronne, concernant un travail oublié ou bâclé par ma négligence. Ou bien variante, je suis confortablement installée à mon bureau qui se situe, presque, au beau milieu d’un open space d’une vingtaine de bureaux, certains complètement ouverts, certains séparés par une simple plante verte, et d’autres par une cloison entièrement vitrée de bas en haut. Même situation, mon ou ma manager vient me trouver et me balance sous le nez un dossier rendu en retard, et de surcroit ni fait ni à faire selon la direction…

    A ce stade, je sais qu’il est impossible que vous (lecteurs) n’ayez pas déjà imaginé la suite…

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