Camille XXXII : Weekend romain
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29 avril 2024 à 17:49 #95075lunapowerParticipant
Nicolas était parti pour une mission de 15 jours À Rome, il avait proposé à Camille de le rejoindre pour le week-end dans l’appartement qu’il occupait. De nature distraite, elle avait parfois du mal à gérer tous les petits aspects du quotidien. Penser à tout et s’organiser pour le week-end était pour elle un véritable défi. Il lui avait proposé de préparer son sac mais elle lui avait rétorqué que c’était une “grande fille” et qu’elle se débrouillerait seule et elle commençait maintenant à le regretter. La veille du départ elle hésita longuement entre un sac et une valise cabine, volant sur une grande compagnie elle opta finalement pour la valise. Elle plaça en premier son passeport et son billet dans la pochette de la doublure afin de ne plus avoir à s’en préoccuper puis poursuivit son paquetage : 3 culottes, 3 paires de chaussettes, des collants, un gros sweat on ne sait jamais, un jean, sa trousse de toilette… Elle fût interrompue par un appel de sa cousine et reprit une bonne demi-heure plus tard.
– “Où en étais-je ? Je n’aurais jamais dû me confier une mission pareille !” dit-elle en rigolant.
Elle ajouta son pyjama constitué d’un débardeur et d’un short petit bateau, un soutien-gorge, se rappela qu’il lui avait dit qu’il y avait une piscine et glissa son maillot de bain ainsi qu’une paire de ballerines Repetto à talon. Elle ferma la valise plutôt satisfaite et prépara ses vêtements pour le lendemain. Elle se dirigea ensuite vers le salon et s’arrêta devant le miroir en se touchant les fesses.
– “J’espère que je n’ai rien oublié !” dit-elle d’un air mi inquiet mi amusé.
Elle téléphona ensuite à son chéri puis se prépara un plateau télé et alla se coucher. Le lendemain elle se leva de plutôt bonne humeur, de doucha, s’habilla, déjeuna et partit travailler. Son vol était à 17h, elle quitta le bureau vers 13h, rentra se fit un sandwich, regarda l’heure et estimant qu’elle avait encore du temps alluma la télé et se mit à rêvasser. Quelques instants plus tard son téléphone bipa.
– “Bon voyage mon petit lapin 😊”
Elle lui répondit, prit sa valise et fonça vers le Roissybus.
– “Hou la la il y en a pour une heure, je vais finir par être en retard moi !”
La pression commençait à monter, ainsi qu’une envie de pipi, elle arriva pile avant la fin de l’embarquement.
– “Passeport s’il vous plait” lui demanda l’hôtesse d’accueil
Elle chercha dans son sac là où elle le mettait habituellement mais ne le trouva pas et se mit à paniquer, elle vida son sac sur comptoir.
– “Dernier appel pour le vol AF2224 en direction de Rome”
Elle se souvint qu’elle l’avait mis dans sa valise et le sortit triomphante.
– “Mme Camille D.”
– “Oui c’est ça !”
– “Vous pouvez encore avoir votre vol si vous courrez mais je peux aussi vous mettre sur le suivant à 17h42 !”
Camille qui commençait à se tortiller accepta le vol suivant un peu dépitée d’elle-même, se rendit aux toilettes et envoya un message à son chéri.
– “J’arrive par le vol suivant, il y a eu un petit souci…”
– “Ok je préviens la navette ! Bisous”
Le vol se passa sans encombre, elle fût accueillie par une pancarte “Camille” et une berline de luxe la conduisit, à sa grande surprise, devant un grand hôtel non loin du Colisée.
La porte de la voiture s’ouvrit et elle vit Nicolas qui l’embrassa langoureusement. Il la prit par la main et un bagagiste s’occupa de sa valise. Ils pénètrent dans l’hôtel, elle fût impressionnée par le luxe du décor : marbre, meubles antiques, dorures. Il la guida vers une suite qui faisait l’angle donnant d’un côté sur la ville de l’autre sur un patio fleuri. Elle partit à la salle de bain se rafraichir, à son retour il l’attendait avec une coupe de Prosecco. Il la sentit un peu gênée.
– “Tu n’es pas contente poussin, il y a quelque chose qui ne va pas ?” demanda-t-il d’une voix mélancolique.
– “Non non tout est parfait, c’est une belle surprise ! Enfin tout sauf moi…” dit-elle en se levant et regardant ses baskets fautives.
– “Arrête de dire des sottises !” répondit-il en agitant la main.
– “Ce ne sont pas des bêtises, tu me prépares un truc merveilleux et moi je ne suis même pas capable de prendre l’avion !”
Une larme coula sur son visage.
– “Les avions qui ont du retard ça arrive tout le temps…” dit Nicolas qui commençait à comprendre.
– “Sauf que le retard c’est moi…” dit-elle d’une petite voix.
Il l’assit sur ses genoux et elle lui raconta toutes ses péripéties. Il la prit ensuite par la main et l’entraina vers la chambre.
– “Je crois qu’une bonne fessée ça va te mettre un peu de plomb dans la tête, t’apprendre à grandir un peu Camille, on ne se met pas à regarder la télé quand on a un avion à prendre, on vérifie où on a mis ses papiers !”
Il l’allongea sur ses genoux, lui releva sa robe et commença à la fesser doucement par-dessus sa culotte, faisant doucement monter la température de sa croupe. Après une bonne minute de ce traitement, il insinua ses doigts sous l’élastique de sa petite culotte. Camille tenta d’interposer ses mains mais une claque bien sentie sur le haut de sa cuisse vint à bout de toute velléité. De plus elle pensait largement avoir mérité cette correction se sentant un peu coupable. Son sous-vêtement rejoignit ses chevilles, elle ôta ses baskets et se contorsionna quelque peu afin de le retirer complétement ce qui fit sourire Nicolas. La fessée reprit, les claques étaient données avec fermeté mais sans violence et son derrière prit rapidement une belle couleur. Il marquait de temps en temps de petites pauses pour la sermonner.
– “Ça t’apprendra à être plus attentive, Camille !”
Au fur et à mesure que la punition avançait, elle se sentait de plus en plus légère et commençait à apprécier de plus en plus sa correction, Nicolas s’en aperçut et lui saisit la main pour la bloquer dans son dos. Il recommença alors son ballet de claques en accélérant le rythme, frappant de manière disparate les deux globes rubiconds de sa belle qui commençait à gesticuler et gémir. Il stoppa alors la punition et lui passa la main dans les cheveux. Camille ne sachant pas trop si la fessée était terminée et totalement chamboulée resta allongée sur ses genoux. Il lui caressa tendrement son derrière bouillant et l’assis de nouveau sur ses genoux pour la consoler et la rassurer.
– “Ne t’inquiète pas je ne suis pas fâché, tu feras mieux la prochaine fois !” dit-il en lui ôtant sa robe.
– “Oui, j’aurais dû prendre ma journée…” lui répondit-elle en l’embrassant sur la joue
– “Va te prendre une petite douche, je te prépare tes habits et on ira dîner !”
Elle se dirigea vers la salle de bain et constata dans le miroir que ses fesses étaient bien rouges, elle finit de se dévêtir, se glissa sous une douche fraîche et massa doucement son derrière endolori. Elle réapparut quelques instants après dans la chambre, vêtue du plus simple appareil. Nicolas l’attendait assis sur le lit, lorsqu’elle fut arrivée à sa hauteur, il la bascula sur ses genoux.
– “Héééééé !” s’écria-t-elle.
Il déposa une noisette de crème hydratante sur ses fesses et les frictionna gentiment.
– “Je préfère ça !” dit-elle reconnaissante.
Il la fit se relever et l’aida à s’habiller, culotte, soutien-gorge, collants et ses ballerines.
– “Heuu tu n’as pas oublié un truc ?”
– “Ferme les yeux !”
Il sourit et sortit de la pièce, elle l’attendit interrogative. Il revint avec une robe de couturier italien à fleur qu’il lui enfila, il la prit ensuite par la main et la guida dans le salon de la suite.
– “Tu peux ouvrir les yeux !”
– “Wahoooo tu t’en es souvenu ! Merci ! Mais…”
Il lui coupa la parole nette.
– “Pas de mais !”
Il lui prit la main et ils partirent dîner dans une pizzeria proche du Colisée avant de s’offrir tous deux une nuit de repos bien méritée.
Le lendemain matin Nicolas avait un rendez-vous, il laissa donc Camille seule. Elle déjeuna tranquillement puis décida d’aller tester la piscine de l’hôtel. Elle enfila son maillot et constata ravie qu’aucune séquelle de ses mésaventures n’était visible, elle se rendit ensuite à la conciergerie pour réserver des places pour l’Opéra afin d’en faire la surprise à Nicolas. Il la rejoignit pour déjeuner et ils déambulèrent dans la ville, vers la fin de la journée elle insista pour aller voir l’opéra et sortit ses places, radieuse.
– “Mais comment t’as fait !” dit-il surpris
– “Je ne sais pas bien me préparer mais je sais où demander des places !” dit-elle en lui tirant la langue.
Il agita la main et l’embrassa tendrement. Ils passèrent un agréable moment puis dégustèrent quelques antipasti avant de rentrer profiter un peu de leur chambre…
Le dimanche matin, Camille était un peu bougonne. Elle devait rentrer en milieu d’après-midi et n’était visiblement pas enchantée par cette perspective.
– “Mais tu vas arrêter de souffler, Camille ! Profite et je rentre bientôt”
– “Oui oui” répondit-elle peu convaincue.
Ils partirent visiter le Vatican, impressionnée elle retrouva un peu de sa bonne humeur et ils retournèrent à l’hôtel. Ils partagèrent un plat de spaghettis et sans qu’aucun des deux ne s’en rende compte elle tâcha sa robe. Ils regagnèrent ensuite leur chambre où il l’aida à rassembler ses affaires. Elle partit ensuite dans la salle de bain.
– “Viens voir !” cria-t-elle horrifiée.
Se demandant ce qu’il se passait il accourût et il vit sa belle désignant une énorme tâche de sauce.
– “Ah ben tu ne t’es pas ratée !” dit-il en rigolant.
– “Mais ce n’est pas drôle, je ne peux pas partir comme ça !”
Elle retira sa robe et la donna à Nicolas, elle partit ensuite dans le salon où était sa valise. Elle en sortit son jean puis elle vida le contenu de celle-ci au sol.
– “Et je n’ai pas pris de haut !!”
– “Met ton sweat ce n’est pas grave !”
Dans un geste d’énervement elle prit le sweat et le lança en direction de Nicolas. Sans rien dire et sentant que c’était le moment d’agir, il la saisit par le poignet, s’assit sur une chaise et lui baissa sa culotte sans dire un mot. Il la coucha sur ses genoux et entreprit de la fesser méthodiquement alternant fesse gauche, fesse droite, couvrant toute sa zone fessière du bas du dos au haut des cuisses. Camille piquée au vif ne réagit pas, c’est ce dont elle avait besoin à cet instant, être cadrée comme une enfant. La fessée était donnée de main de maître bien plus sévère que celle reçue deux jours auparavant, il frappait sans discontinuer, la chaleur et la brûlure de ces fesses commençaient vraiment à devenir intenses et elle se mit à gesticuler frénétiquement. Après environ 5 minutes de ce traitement il la releva et la prit par les mains.
– “On finira ça mercredi quand je rentre, là on va se préparer sinon tu vas encore rater l’avion !”
– “Mais je n’ai toujours rien à me mettre…” dit-elle d’une petite voix.
– “Va te rafraichir et enfile déjà ton jean.” Dit-il en lui remontant sa culotte.
Elle se dirigea penaude dans la salle de bain. Constatant que ses fesses étaient écarlates, elle y passa un peu de lait hydratant et refila sa culotte et son jean. Elle rejoignit ensuite son chéri, un peu déconfite et honteuse.
– “J’ai trouvé la solution ! Ton débardeur blanc que t’as mis juste une nuit et ma chemise blanche”
Elle lui sourit et enfila sans rechigner les vêtements surtout qu’elle aimait parfois lui emprunter ses chemises. Il la coiffa et lui mit une touche de parfum. Elle mit ses baskets et sa veste.
– “Allez on y va, sale gosse !”
– “Et ma valise ?”
– “J’allais te demander de me la laisser, j’ai acheté quelques trucs ici !”
Ils prirent l’ascenseur et se dirigèrent vers un taxi. Camille le stoppa dans le hall.
– “Pardon et merci.” dit-elle en l’embrassant de manière enfantine.
Il lui sourit et lui rendit un baiser plus langoureux.
Elle rentra à l’heure à Paris et Nicolas rejoignit son appartement romain.
Le mercredi, Camille avait annulé ses plans de la journée. Elle avait profité de la matinée pour prendre soin d’elle, rectifier son épilation, enfiler la petite robe chasuble qui lui donnait un air si sage et elle s’apprêtait à prendre le bus pour faire une surprise à son chéri. Elle arriva cette fois ci bien à l’avance et eût le temps de faire les boutiques de l’aéroport, elle s’arrêta sur une ceinture en cuir marron assez large. Elle s’en emparât d’un œil plein de malice, la paya et partit attendre au tourniquet à bagages. Elle prit sa valise et s’assit dessus mine de rien. Elle vit quelques instants plus tard Nicolas qui arrivait.
– “C’est à vous ces paquets, Monsieur ?” dit-elle d’une voix charmeuse.
– “Ah bah si je m’attendais à ça ! Oui surtout celui avec une queue de cheval, il est très précieux !” dit-il en l’embrassant.
Ils quittèrent le terminal et décidèrent de rentrer en taxi.
Nicolas ouvrit son paquet et fit glisser doucement la ceinture sur la cuisse de Camille.
– “Je crois qu’on va vite s’en servir, tu n’as pas oublié que nous avions une affaire à finir !”
– “Hahaha non il y avait un message subliminal dans ce cadeau !”
Aussitôt rentrés, il l’emmena dans la chambre et l’installa sur ses genoux. Il lui souleva sa petite robe et se mit à lui caresser les fesses, insinuant sa main sur son entrejambe distillant ça et là quelques claques sonores. Il lui baissa d’un cou sec sa culotte et poursuivit ce petit jeu la portant au bord de la jouissance. Il la fit se relever et retirer sa robe. Il disposa sur le lit deux oreillers. Camille vint s’allonger dessus instinctivement. Il se saisit de son nouvel instrument et le fit glisser sur le dos, les fesses, les cuisses de sa belle tout en la sermonnant sur son comportement du dimanche et sans crier gare il se mit à la fouetter de manière ferme et douce à la fois. Chaque coup étant entrecoupé la caresse du cuir qui la faisait frissonner. La douleur et la chaleur irradiait désormais tout son bas ventre, elle poussait de petits gémissements mélange de peine et de plaisir. Enfermée dans sa bulle elle n’entendit pas l’annonce de son chéri, elle sentit juste sa main se poser sur dos suivi d’une rapide cinglée et d’une décharge électrique parcourant son corps. Elle mit quelques instants à recouvrer ses esprits, Nicolas était allongé à côté d’elle et lui caressait le visage. Elle l’embrassa langoureusement et ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre.
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29 avril 2024 à 18:05 #95076sabineParticipant
Mmmmmm, cela me rappelle un bon souvenir un peu similaire, ce n’etait pas une ceinture mais un martinet, mais cela s’est fini de la même façon
29 avril 2024 à 20:03 #95078Justinien ♥Participant
Joli récit Luna, ambitieux en plus car tu places la barre très haute en prenant la ville éternelle comme décor. Historiquement dans la Rome antique , les verges étaient utilisées pour la fessée et étaient le symbole du pouvoir.
30 avril 2024 à 09:28 #95082LinetteParticipant
Un très joli récit qui sent bon les vacances déjà ce qui donne envie de voyager aussi, joindre l’utile à l’agréable est toujours appréciable. Merci pour le partage 🙂
30 avril 2024 à 12:44 #95084ViladorableParticipant
Qu’elle belle histoire
30 avril 2024 à 15:44 #95085PrunelleParticipant
– Et ben écoutez, la question, moi je dis elle est béton celle-là, vous voyez ! Y’ a des fois y’ a des trucs qui vous arrivent dans vie VLLLA ! Et là on est en plein dedans ! Et c’est moi qui dois assurer!
– Que, que, qu’es-ce que vous allez m’annoncer là ?
– Bougez pas Gisèle, je m’occupe de tout ! Gisèle avez-vous un papier et un crayon ?
– Un papier, un crayon, ouaaais, oui.
– Mettez-vous derrière le papier et prenez le crayon et notez ! Quelle est la particularité… d’un visage rubicond!
Superbe chapitre comme toujours Luna! Toutefois, est-ce mon ressenti ou Nicolas se ramolli un peu ? L’avancer dans l’âge, le ferait-il pas devenir plus mou de la main? ( moi aussi, je t’aime, pas la peine de râler!) ^^
4 mai 2024 à 18:30 #95143lunapowerParticipant
Merci pour vos gentils retours 🙂
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5 mai 2024 à 06:58 #95146JessiRoseParticipant
Super récit
Je me suis retrouvé tout le long à la place de camille lol
Et j’ai apprécié cette sensation en moi.
Récit très prenant j’adore
Chipie un jour, chipie toujours!
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