Cette fois, c’est la maîtresse qui y a droit

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10 sujets de 1 à 10 (sur un total de 10)
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  • #84096
    Rony
    Participant


    Préambule :Bouba s’interrogeait récemment sur l’opportunité de fesser des institutrices.

    Punir les maîtresses


    J’ai eu cette chance, voici le petit récit de cette chouette expérience.

    Cette histoire est réelle, mais les noms, les lieux ont été modifiés pour des raisons de confidentialité (même s’il y la largement prescription).

    A l’époque des faits, Lucie et moi étions dans notre fin de vingtaine. On s’était rencontrés à la fac avec toute une petite bande et on ne s’était jamais vraiment perdu de vue depuis. Durant ces années d’études, on avait régulièrement couché ensemble, uniquement pour le plaisir et sans se mettre de pression. Une belle complicité dont on n’étaient assez fiers, elle et moi.

    Cependant, nos choix de carrière avaient nettement bifurqué : Lucie avait passé avec succès le concours pour devenir institutrice. Elle en avait toujours rêvé et n’avait jamais dévié de son cap. Pour ma part, j’avais opté pour des choix plus… compliqués. Nous étions loin l’un de l’autre, mais gardions le contact.
    Cette année là, elle avait commencé sa vraie carrière après son année de stage pratique. Comme de bien entendu, elle avait été mutée dans un bled loin de tout (perdu au fin fond de la Vendée). Mais quitte à choisir, elle préférait encore ça à une banlieue sinistre.
    Mais voilà , célibataire et loin de ses amis, Lucie s’ennuyait un peu . Au fil de nos échanges téléphoniques réguliers, on s’était mis d’accord pour que je lui rende visite en ce début d’été. Et il avait été clairement établi que la visite comporterait du sexe. Lucie était seule depuis trop longtemps, et j’étais moi-même célibataire. Personne n’aurait à en souffrir et on s’amuserait donc entre adultes responsables et consentants. Lucie n’était pas une fille compliquée.

    Mais il faudrait que je vous la décrive. Une petite brunette d’un mètre 60 et des poussières, de grands yeux noisettes, un minois charmant, une silhouette menue et tonique entretenue par du badminton et de la natation à outrance.
    Mais à son grand malheur, Lucie était dotée d’un très ample derrière : ses jolies hanches s’évasaient de fait en un cul massif, en forme de poire, piqueté de taches de rousseur. Tous ses efforts n’avaient jamais réussi à réduire la taille de son séant ou à lui faire perdre son petit supplément de gras et de cellulite. Pour ma part, je trouvais ça ravissant et je ne m’étais jamais privé de le lui dire.
    Par ailleurs, c’était une fille très généreuse et curieuse de tout, et elle s’était auparavant déjà prêtée de bonne grâce à mes fantasmes de fessées érotiques. Avant moi, on ne lui avait jamais proposé cela, et j’avais donc eu la joie de lui faire découvrir cette pratique. Ce n’était pas sa grande passion, certes, mais elle ne trouvait pas cela désagréable et elle avait constaté que ça me mettait invariablement dans un état propice à d’autres activités plus… classiques. J’avais toujours pris soin cependant de ne pas dépasser les bornes avec elle en matière de sévérité. J’avais bien conscience qu’elle me faisait un cadeau en se pliant à ma marotte, il n’était donc pas question de lui faire trop mal ou de la dégoûter. Et jusqu’ici elle ne s’était jamais plainte, pour mon plus grand plaisir.

    Autant dire que j’étais impatient de la retrouver, alors que je garais ma voiture devant la petite école primaire à laquelle Lucie avait été affectée. Et j’avais bien l’intention de fesser à nouveau mon amie si l’occasion se présentait.

    A SUIVRE (oui, je sais, c’est énervant, hein?)

     

     

     

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #84121
    fesseur4455
    Participant


    Bravo  une instit  qui reçois la fessée vivement la suite

    #84133
    Rony
    Participant


    La suite (et fin) très bientôt !

     

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #84136


    Oui c’est énervant de couper un récit comme ça cher Rony voyons !

    #84140
    Rony
    Participant


    Vous n’êtes pas la seule à pouvoir être énervante, chère Coccinelle ^^

     

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #84156
    Rony
    Participant


    Et je n’allais pas être déçu.
    J’envoyais un petit sms à Lucie pour lui dire que j’étais arrivé. Quelques instant plus tard, elle m’ouvrait la grille de l’école du petit village.
    En ce tout début d’été elle était, faut admettre, vraiment ravissante. Un début de bronzage, une nouvelle coupe de cheveux (plus courts qu’auparavant), une jolie robe à motifs floraux et une paire de sneakers blanches. Elle affichait un grand sourire et était clairement contente de me voir.
    On s’enlaça longuement et tendrement. Comme deux amis qui ne s’étaient pas vu depuis vraiment trop longtemps.
    Avec un petit sourire espiègle, elle me demanda si je voulais visiter son appartement de fonction, situé au deuxième étage du petit bâtiment qui formait l’école. Comme je vous l’ai dit, Lucie n’est pas une fille compliquée, quand elle veut un truc elle le demande.

    Elle me prit la main, et je me laissais guider par elle à travers la cour ombragée. J’en profitais au passage pour admirer le roulement de ses hanches, déjà passablement excité par son attitude.
    Alors qu’on rentrait dans le bâtiment, déserté pour le week-end, je demandais à mon amie si elle pouvait me faire visiter sa classe avant de monter chez elle.
    Elle n’y vit pas d’inconvénients et me guida donc sur son lieu de travail. Une salle de classe à l’ancienne qui sentait l’encaustique, avec un petit bureau sur une estrade et même un tableau noir et de la craie. Instantanément, le décor me fit venir des idées d’éducation anglaise en tête.
    Car c’est une chose de fantasmer sur des scénarios de fessées scolaires, mais c’est rare d’avoir accès à une vraie classe en compagnie de sa maîtresse (dans les deux sens du terme). Ce genre d’occasions ne se présente pas souvent, je décidais de tenter le coup et demandais à Lucie si on ne serait pas dérangé.
    _ « Ici ? Non, l’école est fermée pour le week-end. On peut faire du bruit «  répondit-elle avec un regard insolent.
    C’en était trop.
    _ « Très bien, venez ici jeune fille »
    Je saisis Lucie par le poignet, m’installais sur sa chaise et courbais la jeune femme en travers de mes genoux. Cette fois-ci il n’y eut pas de montée progressive de l’intensité ou de caresses sensuelles, on passait directement aux travaux pratiques.
    Je remontais sa petite robe au dessus des reins, découvrant une culotte de coton bleu toute simple. Elle ne tarda pas à finir roulée en boule autour des chevilles de sa propriétaire qui ne pouvait s’empêcher de rire dans sa barbe. Elle m’avait avoué avoir toujours trouvé cette obsession pour la fessée un peu ridicule.
    N’empêche, je profitais quelques instant de la vue de son beau gros cul avant de lui lancer une première série de claques mordantes. Je ne faisais pas dans le chichi, c’étaient des claques portées à la verticale en alternant une fesse après l’autre. Le bruit sec des coups résonnait dans la petite salle de classe, accompagné des cris de Lucie (elle a toujours été très « vocale »).
    Pour un spectateur qui nous aurait surpris la scène aurait sans doute eu un délicieux air de désuétude. La jolie institutrice recevant une fessée déculottée dans sa propre classe, la robe troussée, la petite culotte aux chevilles, agrippant les pieds de la chaise. Moi, la main levée haut pour infliger de bonnes taloches aux grosses fesses rougissantes. Manquait plus que le porte-jarretelles et on avait une illustration coquine digne des années folles. Nul doute que certains parents auraient validé cette approche pédagogique.
    En attendant, la fessée continuait. J’avais décidé de pousser Lucie un peu plus loin que d’habitude et je ne faiblissais pas. Les claques tombaient vite et fort, j’augmentais le rythme, je frappais maintenant trois ou quatre fois de suite la même fesse. Cela faisait pousser à Lucie des cris charmants et elle commençait à battre des jambes et remuer les hanches pour tenter de se soustraire à la fessée.
    Sentant qu’elle atteignait sans doute ses limites, je décochais une série intenses de claques liftées (si vous avez vu le classique « Monsieur Léon, maître fesseur » vous savez de quelle méthode je parle) en guise de bouquet final et qui laissèrent un moment l’empreinte de ma main sur peau.
    Je cessais enfin la correction et admirais mon œuvre. Les fesses de Lucie étaient uniformément bien rougies et brûlantes. Je caressais les globes pour en sentir la chaleur, je laissais un ou deux doigts explorer sa chatte. Elle était trempée. Lucie, toujours couchée en travers de mes genoux, commençait à gémir.
    L’institutrice se releva soudain. Elle finit d’ôter sa culotte qui entravait ses chevilles puis alla se pencher sur son bureau. Tout en me regardant dans les yeux, elle écarta les jambes et se cambra en me présentant son derrière cramoisi. Une invitation qu’on ne pouvait pas refuser.
    J’enfilais donc une capote à la vitesse de la lumière et m’occupais de Lucie comme il se doit. La jouissance fût intense et rapide, pour elle comme pour moi.

    Ce fût la seule fessée que reçut Lucie durant ce week-end. Le reste de nos ébats fut plus traditionnel (et sans doute moins risqué).
    Mais ça reste pour elle et moi un beau souvenir qu’on évoque encore parfois à demi-mots, en rigolant.

    Quoi qu’il en soit, au moment de reprendre la route, je songeais en souriant aux bambins qui seraient en classe le lendemain pour suivre l’enseignement de Mademoiselle Lucie. Les petites têtes blondes ne se doutaient sans doute pas que quelques heures auparavant, leur maîtresse était sur cette même estrade, recevant la fessée comme une gamine effrontée. Je sais pas pour vous, mais moi ça me fait toujours sourire.

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #84273
    BadCristou
    Participant


    Merci pour ce chouette récit avec une institutrice bien coquine 😉

    #84278
    Rony
    Participant


    Ah ça, je confirme ^^

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #85108
    Rosy
    Participant


    J’aurais adiré être cette institutrice 😁😆

    #85111
    Rony
    Participant


    L’éducation nationale recrute, Rosy 😉

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

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