Fessées joueuses

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  • Ce sujet contient 3 réponses, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Pteromys, le il y a 2 mois.
4 sujets de 1 à 4 (sur un total de 4)
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  • #92901
    Pteromys
    Participant


    Ce soir, je vous parle des deux fessées d’une autre partenaire, que j’appellerai bouquetin. Relation très différente, quasiment pas de fessée disciplinaire entre nous. Même dans un jeu de discipline simulée pour une petite erreur sans gravité, si je lui demandais pourquoi elle allait ou avait reçu une fessée, elle répondait “parce que tu aimes ça”. Femme forte (plus forte que moi physiquement) mais qui voulait un dominant qui la fasse se soumettre. Après quelques mois elle finit par proposer de sa propre initiative le système “Pteromys lui flanque toute fessée qu’il décide pour n’importe quelle raison — y compris rien que l’envie”. Et elle était fière et contente de porter les marques de mes mains et mes instruments.

    N’empêche que parfois elle venait la chercher, toujours de manière joueuse, toujours avec des provocations qui ne pouvaient en rien être confondues avec des vrais bêtises de la vraie vie.

    Ainsi, un jour elle prenait sa douche et moi j’étais habillé. Elle m’éclabousse, et pas par accident. Je lui dit “Attention, si tu recommences, je vais m’amuser”. Elle comprend bien que m’amuser c’est m’amuser à lui claquer les fesses. Elle recommence derechef. Je lâche sur le champ ce que je fais, je la saisis par le bas du corps pour la sortir de la baignoire, de peur de glisser elle collabore à la microseconde à ma direction. En un instant, je suis assis sur le lit, elle est sur mes genoux et les claques crépitent. C’est un jeu, j’arrête après quelques instants, les fesses sont roses. Elle se lève et fait une petite moue.

    « Tu sais, sur les fesses mouillées ça fait plus mal. »

    Grand sourire de ma part:

    « Oui je sais. »

    Elle voit bien dans mon sourire le message: « J’aime voir ta douleur. Tu m’y a invité, je flotte de bonheur. »

    • Ce sujet a été modifié il y a 3 mois et 3 semaines par Pteromys. Raison : grammaire
    #92903
    Pteromys
    Participant


    Vacances en famille, à l’arrivée mon parâtre râle que sa chère et tendre (ma mère) ait pris un bungalow détaché au lieu d’une chambre dans le bâtiment principal de l’hôtel, il faut sortir, quelle horreur. Je lui propose d’échanger, le bungalow c’est considéré comme plus luxueux, c’est avec cuisine et tout et tout, il refuse quand même.

    En voyant le bungalow et la chambre que j’avais prise, je suis en fait très content qu’il ait refusé. Le bungalow est à étage, un peu sombre. La chambre est lumineuse et la porte-fenêtre donne directement sur la verdure, le lit trône devant, c’est très agréable.

    Toujours est-il que nous sortons, bouquetin et moi, par cette porte-fenêtre nous balader dans le mi-parc, mi-forêt. Au beau milieu de la promenade, elle se fait espiègle, ramasse une pomme de pin par terre et me la lance dessus. L’invitation et le consentement est clair. La rébellion doit être matée. Ni une ni deux, je la courbe sous mon bras, et lui applique quelques coups bien sentis sur les fesses par dessus ses vêtements.

    Nous continuons la ballade tout émoustillés et nos corps rapprochés. La nuit tombant, je la ramène à la chambre, je la dénude, je la couche sur mes genoux et lui administre une fessée réelle mais modérée à la main, modulant le plaisir.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 3 mois et 3 semaines par Pteromys. Raison: orthographe
    #92930
    Paulparis
    Participant


    Votre titre est amusant. En effet, pour moi la fessée a forcément un aspect joueur… même si le déclencheur est une vraie indiscipline. Puisqu’elle est forcément consentie, c’est donc que la partenaire “se prête au jeu” et évidemment de bonne grâce. Personnellement je n’ai jamais fessé une partenaire contre son gré et donc sans qu’elle rentre dans mon jeu, dans notre jeu.

    Alors, ensuite on peut faire de la sémantique. A partir d’un certain niveau de complicité, la pratique de la fessée dépasse le cadre du jeu pour devenir une forme d’art de vivre. Mais le jeu est toujours bien là

    #93830
    Pteromys
    Participant


    Votre titre est amusant. En effet, pour moi la fessée a forcément un aspect joueur… (…) Puisqu’elle est forcément consentie, c’est donc que la partenaire “se prête au jeu” et évidemment de bonne grâce.

    Certes, j’aurais dit la même chose il y a quelques années, et c’est comme bien comme ça que j’ai vécu mes premières relations, je ne l’imaginais pas autrement. Ça reste aussi encore toujours pour moi une approche très positive, de laquelle j’aurais beaucoup de plaisir.

    Mais la vie est ainsi faite et il arrive que l’on tombe amoureux d’une personne qui a besoin que les choses se passent différemment. J’ai appris cela lors d’une relation plus tardive. Qui m’a posée beaucoup de doutes moraux. Une femme qui faisait des choix qui ne la rendaient pas heureuse… Tant les petits choix (genre couleur des draps du lit), que grands choix (avec qui coucher quand, se comporter de manière odieuse avec ses amis, qui du coup n’en étaient plus, ou avec les hommes). Quand le choix lui était enlevé, que tout lui était imposé, que chaque incartade donnait lieu à une très profonde punition… Elle était heureuse. Elle se débattait avec grande théâtralité lors de la punition, mais était fondamentalement heureuse dans sa vie cadrée de près comme cela. Formellement et profondément, le consentement était là en permanence, mais son expression continue était moins explicite que ce qui m’aurait rassuré. Le consentement était clair et explicite (et rassurant pour moi) lors de la mise en place des accords, elle disait “je veux que tu m’empêches de faire ceci et cela, je veux que la crainte profonde de la punition me fasse me tenir à carreau, je veux t’être tout entière soumise”. Mais “en situation”, c´était souvent la bataille. Et il fallait lire les signes “entre les lignes”. La continuité du consentement en situation tenait au ton enfantin de la voix lors ce qu’elle se débattait, au choix des mots. La confirmation explicite du consentement venait quelques (dizaines de) minutes plus tard, quand elle me remerciait pour la rouste. J’étais terrifié qu’un jour je “lise mal” les signes et que nous étions au bord du précipice de la catastrophe. L’absolu de la dominance et de la soumission était très intense, mais ça a été très difficile pour moi d’y trouver une paix morale et de conscience. Ce n’était qu’à travers la voir ainsi heureuse que j’ai pu trouver ma paix, et c’est le souvenir de combien elle était heureuse quand cadrée, et malheureuse de ses propres choix libres, que je trouvais la justification morale d’être implacable. Et une grosse partie de nos problèmes de couple venaient de quand j’abdiquai de mon rôle de tyran total, que je me disais que non, cette décision là elle doit la prendre elle-même, je ne vais pas la prendre pour elle. Ou que j’essayais de lui faire plaisir en lui demandant ce qu’elle voulait, et que j’avais la naïveté d’organiser son choix.

    Dans une relation comme cela, non, les fessées de punition ne sont pas “joueuses”, elles sont sérieuses. Bien entendu, il y a aussi des fessées “juste pour le plaisir”, mais il y a une différence. Je ne sais pas si on peut le comprendre ou l’imaginer sans l’avoir vécu. Mais je pense que nous sommes plusieurs sur ce forum à avoir vécu cela, cf p.ex. https://deculottees.fr/forums/sujet/les-plus-dures-fessees/page/2/#post-92750 et https://deculottees.fr/forums/sujet/les-plus-dures-fessees/page/2/#post-92783

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