Les plus dures fessées

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8 sujets de 16 à 23 (sur un total de 23)
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  • #92719
    Pteromys
    Participant


    Les fessées les plus dures? Je vais en raconter deux, avec une ex.

    Mademoiselle venait me rejoindre tous les soirs, mais structurellement tard. Les besoins du travail disait-elle. Toujours est-il que notre relation avait, dans notre vie privée, une structure très paternelle et “jeune fille prise en charge”. Je (re)faisais une éducation basique, manières à table, fréquence minimale de douches à prendre, et… se brosser les dents tous les soirs et tous les matins. Mon lapin adoré avait donc l’habitude de se glisser comme une souris au sein du logis en pleine nuit… et dans un espoir toujours répété de ne pas avoir à avouer l’heure exacte de son arrivée, essayait de se glisser au lit sans un bruit et… sans s’être brossée les dents. Voyez-vous, ça fait du bruit, et augmentait dans son esprit le risque de me réveiller et que je voie son heure d’arrivée. Sauf que je l’entendais dès que la clé tournait dans la porte d’entrée, et que ses ruses étaient systématiquement vaines, et qu’à peine glissée dans le lit, son mouvement était prolongé pour se retrouver sur mes genoux, déculottée, et j’administrais une vigoureuse fessée avant qu’elle ne se relève pour se brosser les dents, et rejoindre à nouveau le lit devenu un havre de tendresse. Mademoiselle avait une positivité et un espoir à toute épreuve, malgré la fessée systématique et quotidienne (tous les jours de semaine, aucune exception), avec divers instruments, le soir suivant, elle tentait à nouveau sa chance. Remarquable et incroyable, il fallait le voir pour le croire.

    Jusqu’à ce fameux soir, où, excédé par tant d’acharnement dans la désobéissance, et surtout dans la tentative de tromperie en essayant de cacher sa faute, j’avais préparé le paddle à trous, et je m’en servis généreusement, fort, sans un mot et sans empathie aucune envers ses réactions. Probablement sans préchauffage à la main, je ne suis plus sûr. Sans doute lui tenais-je la main le long du corps, ce qui était tant mesure de sécurité courante lors des fessées aux instruments, qu’expression de dominance primale. La profonde rouste finie, un geste montrant la direction de la salle de bains suffit; elle connaissait parfaitement les raisons de la raclée; elle s’y rendit sans perdre le moindre instant. La vue était des plus charmantes: une main maniait la brosse à dents, et une main massait le postérieur endolori. Qu’elle était mignonne et attrayante ainsi, cela concurrençait de la voir au coin.

    Ce fut la dernière fessée à ce sujet. La leçon était tatouée au plus profond de son être, le pli était pris. Que je sois là pour le voir ou non, elle se brossait dorénavant les dents tous les soirs. Elle avait elle-même fixé la dureté de la fessée qu’il fallait pour changer un comportement, et après réflexion je pris la résolution de ne plus laisser les choses durer longtemps et les fessées trop se multiplier au même sujet; cela ne lui rendait pas service, il valait mieux en passer par telle raclée dès que la multi-récidive s’installait plutôt que de multiplier les fessées crescendo jusqu’à en arriver au même point.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 4 mois et 3 semaines par Pteromys. Raison: grammmaire
    #92721
    Anonyme
    Inactif


    Je dirais que la plus dure est psychologique pour moi. La recevoir pour une vraie raison. Bien sûr c’est un jeu mais quand je me dis que si ce n’était pas un jeu je l’aurais aussi reçue et bien méritée. C’est une punition plus dure que pour un motif inventé car ça impacte réellement au-delà du moment de la punition.

    #92723
    Pteromys
    Participant


    La deuxième, bien plus tard… Notre relation avait déjà beaucoup souffert; de ma perception par trop de mensonges et d’actes “hors jeu” alors que j’expliquais abondamment où était la ligne entre bêtises qui donnaient lieu à punition et on tourne la page d’une part, et actes réellement toxiques pour la relation de couple d’autre part; de sa perception par un sentiment d’abandon quand l’amour que je lui portais n’était pas à l’épreuve du tir d’artillerie (les actes “hors jeu”) auquel elle le soumettait pour le tester.

    Nous ne nous voyions plus vraiment en semaine, mais surtout le week-end. Dans un dernier espoir de reconstruire une relation qui aurait un futur, j’instaurais pour elle un rituel à exécuter une fois par jour, matin ou soir. Petit et simple, se mettre de la crème sur les pieds, et ainsi ramollir petit à petit les callosités et avoir des pieds agréables pour le plaisir de mes yeux et de mon toucher. Acte symbolique de soumission, de préparer son corps pour moi. Mais aussi opportunité de montrer qu’elle s’investissait dans la relation, de faire un acte montrant qu’elle la voulait. Me montrer chaque fois qu’elle l’a fait, en m’envoyant une photo ou courte vidéo. Me montrer par là, que je pouvais lui donner une instruction et avoir confiance en ce qu’elle la suive, avec une certaine possibilité pour moi de contrôler et de suivre la bonne exécution.

    Les semaines passent, le week-end venu il manque toujours un ou deux jours au compte, ce qui résulte en une fessée pour lui rappeler que tous les jours c’est tous les jours et non trois jours par semaine. Et un funeste mercredi, … elle me renvoie une ancienne photo. La tricherie, la tromperie, l’acte hors jeu. Ça peut être vu comme véniel, et à l’échelle du cosmos ou de la vie ça l’est. Mais je portais les derniers espoirs dans ce petit bout de passerelle, pour reconstruire petit à petit, pouvoir à nouveau lui faire confiance après tant de mensonges et de tromperies, pour petit à petit oser y croire de nouveau, oser être émotionnellement vulnérable et considérer que ce n’est plus un risque, elle ne va plus briser mon cœur. La raison profonde pour laquelle je suis fâché, c’est la destruction de ce dernier espoir, que c’est maintenant fini. Je pars en voyage pour une conférence, j’ai le temps de bien tremper dans mon jus.

    Je rentre, nous nous voyons, je passe la prendre à son travail un soir. Sans attendre, la voiture garée, contenant ma colère, je la confronte. Elle dément, elle essaye d’effacer devant moi la photo de son ordinateur de poche (appelez cela “téléphone” ou “smartphone” si vous voulez) pour en cacher la date de prise réelle. J’explose, je lui éructe en frappant le volant que le vrai problème c’est pas la crème mise ou pas mise, c’est que je lui tendais une perche pour qu’elle puisse se montrer digne de confiance, que je le lui avais bien dit tout cela à l’avance, et qu’elle a détruit mon dernier espoir en me mentant de nouveau de manière aussi désinvolte, alors que je lui avais expliqué l’enjeu. Elle se souvient de ce qu’elle avait frivolement écarté de son esprit, et dans une étincelle de lucidité et de sagesse, elle avoue la vérité que je connais déjà et me demande s’il faut qu’elle sorte de la voiture et rentre chez elle ou si je l’accepte encore avec moi ce soir. Je suis dans une telle rage que j’ai peur de sur-réagir à la moindre incartade et que ça finisse mal, vraiment mal; je lui jette que je suis trop fâché pour être raisonnable, elle peut venir mais je serai dur et dominant à en être injuste, qu’il faut qu’elle se fasse plus tranquille qu’une souris, d’une soumission totale, que sa sécurité en dépend.

    Elle acquiesce. Derrière ma colère et ma rage, je reconnais tout de même l’acte d’investissement dans notre relation, la prise de risque calculée, et j’en suis tout de même touché. Nous arrivons chez moi, je la parque au coin afin de ne pas risquer la moindre étincelle qui pourrait me faire exploser. Je prépare le repas, je manque plusieurs fois de la prendre pour la fesser, pour la fouetter, mais non, je ne suis pas en état, j’ai peur d’aller trop loin. À table, elle essaye d’ouvrir la bouche pour bavarder, rayon de soleil et de bonheur envers et contre tout qu’elle est, je lui réplique sèchement de se taire. Elle arrête de manger et pleure à chaudes larmes, peu me chaut. Ça n’égratigne même pas la carapace de ma rage. Je le regarde pleurer avec indifférence tout en mangeant. Bientôt, elle réalise que ça ne marche pas et s’arrête net de pleurer. Toute personne qui a vu un certain type de larmes d’un enfant s’arrêter net lors ce qu’il réalise qu’on s’en fout, que ça ne marche pas, comprendra bien la scène. Au lit, je vais jusqu’à la coucher sur mes genoux, mais je me reprends. Non, je ne suis pas en état.

    Les jours suivants, je me calme quelque peu et je réfléchis. La situation ne pend plus qu’à un fil, il faut la sauver énergiquement. Le week-end venu, je lui annonce le menu: la canne. Elle accepte, heureuse d’avoir une solution. Je la place le torse à plat sur la table, je lui attache les pieds et les mains aux pieds de la table. Ce n’est pas la première fois que je lui inflige la canne, mais ça tient largement sur les doigts d’une main en système unaire; pour autant que l’on puisse parler d’habitude avec si peu de répétitions, c’est la position consacrée pour la canne. Mais auparavant ce fut toujours les cannes les moins dures, pour quelques coups pesés. Là je sors la plus sévère canne de ma collection, je l’ai bichonnée et imbibée d’huile de lin la semaine. Les coups commencent, je les applique avec concentration. Les zébrures de couleur vive s’accumulent sur son postérieur. La donzelle pleure, des vrais sanglots profonds, non seulement de douleur physique mais aussi émotionnelle. Moi qui ordinairement tire une excitation et un plaisir sexuel à voir souffrir une femme, là rien. C’est la femme que j’aime profondément, et la souffrance qu’elle endure maintenant n’est pas érotique. Les larmes me coulent, mais j’affermis ma détermination, c’est le seul espoir de salut, le seul espoir de futur. Il faut en finir avec ces actes de trahison hors jeu, il faut que les fesses lui en brûlent du souvenir vif de cette application rien qu’à l’idée de me mentir ou de me tromper. Je me souviens des succès passés, que chacune de nos ruptures peut être analysée comme je n’ai pas été assez directif, pas assez dominant, pas assez dur. Je me souviens de combien elle est heureuse quand je ne laisse rien passer, que je m’occupe d’elle dans tous les détails, et je frappe. Elle aussi le comprend bien, et à travers ses larmes et ses sanglots trouve encore le courage, la détermination et la volonté de me dire de frapper encore et plus fort. Quel lapin merveilleux j’ai là. Elle veut dépasser cette crise, et elle sait que le prix c’est les fesses multicolores. Je finis par quelques coups en diagonale qui croisent les précédents, apothéose de la douleur, elle lève la tête, les cheveux volent. C’est fini pour aujourd’hui. Je la détache et nos corps prennent toute la tendresse possible et imaginable de l’autre.

    Le week-end d’après, je confirme la leçon. Je descends d’un cran dans le choix de sévérité de la canne, je donne moins de coups, moins fort, mais tout de même je lui strie de nouveau abondamment et profondément les fesses. C’est reparti pour le sentir quelques jours. Elle accueille tout cela de nouveau de bonne grâce.

    J’aimerais pouvoir écrire que cette rouste magistrale et sui generis nous sauva, mais il n’en fut rien. Quelques semaines plus tard, elle se plaignit que ça avait été trop. Me souvenant parfaitement qu’en situation elle me demandait de continuer, que de toutes les fessées c’était celle qui avait le consentement le plus actif et le plus direct, cela enfonça pour moi le clou que son consentement dans le présent n’était pas un gage d’acceptation dans le futur des actions consenties dans le présent, quand ces actes seront du passé. Si nous continuons, ça finira mal. Nous avons encore suivi quelques temps le mouvement et l’inertie, mais plus jamais je ne suis arrivé à me permettre d’être en position d’être trahi par elle. Faute d’opportunité de me trahir, elle ne put pas me montrer qu’elle ne le ferait plus, et la confiance n’a pas pu se reconstruire. Je ne m’occupais plus d’elle, je laissais passer ses bêtises avec indifférence, un certain lien émotionnel profond n’y était plus. Elle finit par partir, à la recherche d’un autre géniteur pour les enfants qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps pour avoir. Mon lapin qui apporte le bonheur et la bonne humeur partout où elle va.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 4 mois et 2 semaines par Pteromys. Raison: mot manquant
    #92749
    Linette
    Participant


    Les fessées les plus dures? Je vais en raconter deux, avec une ex. Mademoiselle venait me rejoindre tous les soirs, mais structurellement tard. Les besoins du travail disait-elle. Toujours est-il que notre relation avait, dans notre vie privée, une structure très paternelle et “jeune fille prise en charge”. Je (re)faisais une éducation basique, manières à table, fréquence minimale de douches à prendre, et… se brosser les dents tous les soirs et tous les matins. Mon lapin adoré avait donc l’habitude de se glisser comme une souris au sein du logis en pleine nuit… et dans un espoir toujours répété de ne pas avoir à avouer l’heure exacte de son arrivée, essayait de se glisser au lit sans un bruit et… sans s’être brossée les dents. Voyez-vous, ça fait du bruit, et augmentait dans son esprit le risque de me réveiller et que je voie son heure d’arrivée. Sauf que je l’entendais dès que la clé tournait dans la porte d’entrée, et que ses ruses étaient systématiquement vaines, et qu’à peine glissée dans le lit, son mouvement était prolongé pour se retrouver sur mes genoux, déculottée, et j’administrais une vigoureuse fessée avant qu’elle ne se relève pour se brosser les dents, et rejoindre à nouveau le lit devenu un havre de tendresse. Mademoiselle avait une positivité et un espoir à toute épreuve, malgré la fessée systématique et quotidienne (tous les jours de semaine, aucune exception), avec divers instruments, le soir suivant, elle tentait à nouveau sa chance. Remarquable et incroyable, il fallait le voir pour le croire. Jusqu’à ce fameux soir, où, excédé par tant d’acharnement dans la désobéissance, et surtout dans la tentative de tromperie en essayant de cacher sa faute, j’avais préparé le paddle à trous, et je m’en servis généreusement, fort, sans un mot et sans empathie aucune envers ses réactions. Probablement sans préchauffage à la main, je ne suis plus sûr. Sans doute lui tenais-je la main le long du corps, ce qui était tant mesure de sécurité courante lors des fessées aux instruments, qu’expression de dominance primale. La profonde rouste finie, un geste montrant la direction de la salle de bains suffit; elle connaissait parfaitement les raisons de la raclée; elle s’y rendit sans perdre le moindre instant. La vue était des plus charmantes: une main maniait la brosse à dents, et une main massait le postérieur endolori. Qu’elle était mignonne et attrayante ainsi, cela concurrençait de la voir au coin. Ce fut la dernière fessée à ce sujet. La leçon était tatouée au plus profond de son être, le pli était pris. Que je sois là pour le voir ou non, elle se brossait dorénavant les dents tous les soirs. Elle avait elle-même fixé la dureté de la fessée qu’il fallait pour changer un comportement, et après réflexion je pris la résolution de ne plus laisser les choses durer longtemps et les fessées trop se multiplier au même sujet; cela ne lui rendait pas service, il valait mieux en passer par telle raclée dès que la multi-récidive s’installait plutôt que de multiplier les fessées crescendo jusqu’à en arriver au même point.

    Très jolie histoire de fessée, j’aime bien ce côté espiègle de la jeune fille. Après tout, on ne gagne pas à tous les coups et cette fessée, elle l’avait bien cherchée et bien méritée aussi. Merci pour le partage. 🙂

     

     

    #92750
    Gabrielle
    Participant


    @chelonia parfois on a besoin de cette fessée ou on dépasse un peu le cadre pour se pardonner soi même.
    tu n’as pas forcément besoin de ça toi. Mais par exemple pour ma part j’ai besoin de ça pour me pardonner sinon je culpabilise beaucoup trop. Et trouver le partenaire qui le comprend et qui t’aime assez pour te l administrer parce qu’il sait que tu en as besoin quitte à aller un peu plus loin que ses envies, trouver ce partenaire là c’est juste incroyable…. Et j’en sais quelque choses. Merci à toi de me permettre d avancer avec des poids en moins sur les épaules.
    et merci à tous pour vos témoignages… qui montrent que nous ne sommes pas seules.
    mais c’est claire que j en prendrais pas tout les jours hein ! D’ailleurs année 2024 que des fessees pour s amuser !

    je préfère masquée

    #92783
    fesrouges1973
    Participant


    En ce qui me concerne, les choses ont changé.. non.. évolué depuis que j’ai trouvé la personne qui m’a permis de faire ce pas.

    Pendant longtemps la fessée n’était pour moi que plaisir et jeu.

    Mais quand on a en face de soi la personne dont on comprend clairement que cet acte peut avoir un effet positif en cas de doute, de soucis, de faute avérée et que la punition reçu provoque une avancée nette et claire pour continuer, retenir, apprendre, oublier même, on se rend compte que la fessée a un réel pouvoir thérapeutique et éducatif.

    Alors dans ce cas là, parfois la fessée devient presque comme un devoir. Mais un devoir positif car c’est pour le bien.

    Mais il faut savoir ne pas lâcher. Aller au bout pour vraiment que l’effet escompté soit obtenu. C’est là que la fessée peut devenir dure et pas seulement pour la fessée mais pour le fesseur aussi.

    Ce n’est pas dans l’intensité que ça se passe mais dans l’état d’esprit. Une même fessée administrée par jeu ou par punition n’est pas ressentie de la même manière par celle qui la reçoit pas plus que par celui qui la donne.

    Je sais que personnellement il me reste du chemin à faire pour aller vraiment au bout des choses mais je sais aussi qu’à deux on est plus fort et que nous progressons ensemble sur ce chemin sinueux.

    Alors une fessée peut être dure. Trop dure même. Mais elle doit  atteindre son but sans le dépasser bien sûr. Qu’elle soit bonne ou simplement juste, elle doit être un moyen d’avancer et jamais bloquer.

    Et il serait faux de penser que le fesseur lui, ne vit pas la chose aussi intensément que celle qui la reçoit. Je pense que ça ne doit jamais être le cas.

    Bien à vous toutes et tous.

    #93101
    Laurette
    Participant


    Le plus dur pour moi est de la recevoir devant témoins….déculottée….honteusement.

    Oh oui! La honte!
    Pour moi, le plus affreux est d’être punie devant une autre femme. Si mon mari me déculotte devant un autre homme, celui-ci regardera mon cul, bien sûr. Peut-être il bandera dans son froc.  Mais une nana regardera mon visage, plus que mes fesses, me verra retenir mes larmes de honte, ou même pleurer franchement, je n’oserai plus croiser son regard. Elle sera excitée par la scène, mon mari pourrait m’envoyer me coucher comme suite à ma punition et la baiser sur le canapé.

    #93831
    Pteromys
    Participant


    Mais quand on a en face de soi la personne dont on comprend clairement que cet acte peut avoir un effet positif en cas de doute, de soucis, de faute avérée et que la punition reçu provoque une avancée nette et claire pour continuer, retenir, apprendre, oublier même, on se rend compte que la fessée a un réel pouvoir thérapeutique et éducatif. Alors dans ce cas là, parfois la fessée devient presque comme un devoir. Mais un devoir positif car c’est pour le bien. Mais il faut savoir ne pas lâcher. Aller au bout pour vraiment que l’effet escompté soit obtenu. C’est là que la fessée peut devenir dure et pas seulement pour la fessée mais pour le fesseur aussi.

    C’est quelque chose que j’ai moi-même appris à travers de cette relation. Merci du partage, ça me fait me sentir moins seul au monde et plus compris.

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