La fessée dont je rêve…

La fessée dont je rêve…

La fessée dont je rêve…?

En fait la vraie fessée dont je rêve, j’aurais trop honte de la donner et encore plus de la recevoir…. donc je préférerais finalement en être spectatrice privilégiée et parfaitement bien placée… aux premières loges, comme au théâtre, comme une sorte de témoin qui pourrait ensuite se remémorer la scène sans en souffrir, la raconter, la décrire à qui veut l’entendre. Et sans aucune culpabilité, puisque l’on ne pourrait me reprocher ni d’avoir commis la faute qui me l’aurait fait mériter, ni d’avoir outrepassé mes droits en l’administrant…

Soit.

J’imagine une collègue, une ex-amie. Je la côtoyais en dehors du travail, connaissant son mari, ses enfants. Nous nous invitions régulièrement, à tour de rôle. Mais désormais c’est une ennemie, puisque nous nous sommes fâchées suite à une promotion qu’elle a obtenue, imméritée selon moi. Un poste que je convoitais également, d’où ma jalousie, bien compréhensible… Je lui en veux d’avoir usé et abusé des jeux d’influence et de séduction chers aux grandes entreprises. Alors que je ne l’estime pas plus compétente que moi, ce fut elle qui reçut la promotion moi la sanction disciplinaire… Suite à sa promotion, j’ai connu une perte de motivation, qui m’a fait commettre des erreurs. L’une d’entre elles m’a valu une convocation, puis une sanction. Comme elle l’a su, en guise de vengeance elle s’est efficacement chargée de faire la promotion de ma punition auprès des différents collègues…

Quelques mois plus tard, en ce matin de printemps, je remarque donc son chef qui vient la trouver.

Je n’ai que l’image et pas le son, mais aux gestes et à leurs faciès respectifs, je devine aisément qu’elle se fait sermonner dans son propre bureau par son chef, qui aurait dû être le mien… Rapidement je vois que le ton monte, mais ma collègue et ex-amie tient visiblement tête à son supérieur et ne se laisse pas faire. Elle semble contester et considérer que la faute qui lui est reprochée est injuste.

Son chef retourne à son bureau et en revient avec une pochette contenant visiblement le dossier source du litige. Il l’ouvre et le montre à ma collègue. Celle-ci semble furieuse : elle se saisit du dossier, qu’elle fait claquer sur son bureau puis elle se lève de son fauteuil pour se mettre debout, comme pour se mettre à la même hauteur que son chef et ainsi lui tenir tête…

D’où je suis je vois parfaitement la scène : même si le bureau cloisonné de vitres ne me permet pas de tout entendre, il me permet au moins de tout voir. Mais j’entends de plus en plus puisque le ton monte, sous les yeux ébahis et les oreilles tendues de tous les salariés présents ce jour là. L’open space donnant sur certains bureaux privés, mais entièrement vitrés, nous assistons en direct à la scène.

Nous entendons l’échange de quelques paroles déplacées, surtout de la part de ma collègue, qui perd son sang froid, puis les paroles échangées laissent place à des éclats de voix de plus en plus violents, puis ces éclats de voix laissent la place aux insultes. Le ton est tant monté que j’ai désormais le son intégral en plus de l’image en live. Au moment où les collègues et moi nous regardons pour échanger visuellement nos points de vue, j’ai la confirmation que nous pensons tous la même chose : à la place de la collègue nous baisserions d’un ton. Même si elle a peut-être raison sur le fond, la forme laisse à désirer…

Mais rien n’y fait : la collègue répond et tient tête à son supérieur hiérarchique, ce que celui-ci prend pour un manque de respect, de l’effronterie. J’entends l’accusée envoyer des remarques ironiques, sarcastiques et cinglantes à la tête de son chef, qui, se sentant humilié, rabroué et vexé décide de se venger.

La gifle part, mais la dame répond par une autre gifle. C’est l’escalade…. Ma collègue, devinant que, du haut de son mètre 60 pour environ 55 kg, elle n’aura pas le dessus contre une armoire de presque 2 mètres et probablement 100 kilos dépassés, tente de s’échapper vers la sortie… mais son chef la rattrape rapidement et lui saisit violemment le bras. Les deux protagonistes se retrouvent ainsi à l’extérieur du bureau individuel et presque en plein milieu de l’open space.

Le chef annonce :

« Tu vas voir, puisque tu le prends comme ça, tu vas voir, tu vas danser, ça va être ta fête, celle-là tu vas t’en rappeler… »

Puis, joignant le geste à la parole dans un élan irréfléchi , le chef attrape la pauvre collègue, d’abord par les cheveux puis un bras afin de la faire basculer en avant, pour qu’elle vienne prendre appui, de force, contre un de ses genoux qu’il a mis en avant. Dans cette position semi verticale-semi horizontale, les pieds de la pauvre collègue ne touchent presque plus le sol. Et là, en un instant la scène maintes fois rêvée devient réalité : mon “amie” reçoit de son boss une magnifique fessée devant tout le monde…

C’est vraiment trop la honte. De plus, ma place vaut de l’or… Située à un angle privilégié de l’open space, je vois tout… J’évite une satanée plante verte en penchant et levant légèrement la tête, et j’ai désormais une vision parfaite sur ma collègue. Je la vois de dos, donc je distingue nettement les claques qui s’abattent sur la jupe (couleur kaki/beige) de mon amie… Je vois également tout l’open space et peut donc observer l’attitude de tout le monde : ceux qui profitent du “spectacle” ; ceux qui font semblant d’avoir du boulot et qui restent tête penchée et les yeux rivés sur leur clavier, mais qui profitent que leur écran soit dans l’axe de la scène pour faire semblant de travailler et finalement pour “mater” ; et enfin ceux qui ne veulent pas voir, ceux qui ont probablement honte de ce qu’ils voient et qui préfèrent finalement ne pas voir…

Je vois donc parfaitement bien les jambes de ma collègue qui battent l’air comme pour se protéger de la fessée qui va bientôt continuer de s’abattre sur elle. 

Je vois ses mains qui tentent instinctivement de protéger ce qui peut l’être… Je remarque que ses doigts sont vernis de… rouge… Le rouge est donc à l’honneur… et les fesses de ma collègue vont également rougir, et peut-être bien à la vitesse d’une Ferrari…

J’entends distinctement la semelle de ses bottes (couleur fauve) qui viennent bruyamment percuter le sol lorsqu’elle essaye de garder ou de retrouver un semblant d’équilibre.

Le sol justement, du parquet, n’arrange rien aux affaires de la punie : tantôt la semelle, tantôt les talons des bottes de la punie viennent informer les oreilles des mal placés… ma collègue aide ceux qui ne peuvent rien voir d’où ils sont à entendre, comme pour ajouter quelques témoins supplémentaires à sa mésaventure.

Je m’aperçois que ma collègue, que je n’ai jamais vue autrement qu’habillée, sans pouvoir être qualifiée de grosse a néanmoins un bon popotin… une surface suffisamment importante pour que deux seules petites mains ne suffisent pas pour tout protéger… d’autant que les cuisses sont proportionnées au derrière…

Voilà plus d’une minute que la punition a commencé et mon amie commence à avoir les fesses rouges et le feu aux joues, lorsque son boss entreprend de passer aux choses sérieuses… Il comme à lui retrousser la jupe devant tout le monde. Cette fois il est décidé, rien ne semble vouloir ou pouvoir l’arrêter… Tout le monde est sans réaction et scotché devant cette scène irréelle.

J’ai remarqué que ma collègue essayait tant bien que mal de conserver une certaine “tenue” et un amour propre mais, épuisée par ses précédentes gesticulations, elle se contente pour se défendre désormais d’insultes à voix haute :

« Connard, tu n’as pas le droit….! »

Lorsque son chef commence à essayer de relever sa jupe, elle change d’attitude, décidant de faire profil bas, tentant de garder le peu de dignité qu’il lui reste. D’où je suis, je suis la seule à voir, au fur et à mesure que la jupe se retrousse (difficilement car c’est une jupe relativement cintrée et le tissus en daim agrippe légèrement le collant, ou les bas…, je ne sais pas encore..) la couleur de la culotte (noire) lorsque son boss parvient, centimètres par centimètres, à retrousser la jupe malgré les vaines gesticulations de ma désormais rivale. Je suis donc évidemment encore une fois la seule à distinguer que, malgré le collant (couleur chair) l’empreinte des doigts de son chef commence à s’imprimer sur les fesses (autour de la culotte) de ma pauvre camarade, ainsi que sur le derrière et le haut de ses cuisses…

À cet instant où son chef continue de lui administrer la fessée, mais cette fois ci sur le collant et la culotte, elle “abdique“. Promettant de ne plus jamais recommencer, jurant qu’elle a “compris la leçon“… mais sur un ton nettement adouci et après avoir abaissé le volume sonore de ses revendications…

On sent qu’elle a enfin parfaitement compris la dangerosité de son comportement, qui additionné à sa posture physique et à sa tenue vestimentaire du moment (jupe relevée, elle n’a plus que le collant et la culotte en guise de minces “protections“) lui fait craindre le pire pour sa dignité et sa pudeur déjà amplement bafouées !

Elle abdique encore plus ostensiblement lorsque son chef fait mine de commencer à abaisser le collant… Elle comprend instantanément que, cette fois, la fessée risque d’être redoutable, cul nu et hautement symbolique, si elle n’adoucit pas encore plus son comportement…

Son chef s’est à peine saisi de l’élastique du collant qu’immédiatement un« Oh non, pas ça, s’il te plaît, je t’en supplie ! Oh non, pas ça, s’il te plaît… Non, je ne recommencerai pas… c’est promiiiiiiissss ! » résonne dans tout l’open space… Pire, je crois que tout l’étage a entendu…

Dans un élan de bonté, son chef décide finalement de “l’épargner” jugeant sûrement que la cuisson est à point… Il repositionne ma pauvre collègue en position debout, il la regarde droit dans les yeux et avec un index qui joint le geste menaçant à la parole qui ne l’est pas moins, affirme« La prochaine c’est cul nu ! » sur un ton qui montre que cela n’a rien d’une plaisanterie. Le volume sonore avec lequel il a proféré cette menace ne laisse pas de doute non plus : tout le service a entendu. Voilà la collègue prévenue…

Je suis toujours la mieux placée pour voir ma collègue se dandiner et danser sur place, afin d’aider sa jupe à redescendre et à retrouver la position qu’elle n’aurait jamais dû quitter. J’aperçois donc distinctement les empreintes des doigts du boss et les marques de la punition qui disparaissent petit à petit, à mesure que ma collègue réajuste sa jupe.

Elle regagne sa place comme elle peut, honteusement, et évidemment tête basse… sur la pointe des pieds. Elle ne regarde que le bout de ses bottes… qu’elle prend bien soin de ne pas rendre trop bruyantes, par peur de se faire à nouveau remarquer. Je crois que de ce côté là elle a eu son compte.

Une fois que ma collègue a repris sa place, on entend les mouches voler. On dirait que cette raclée publique a remis les idées en place à tout le monde… Le chef fesseur regarde tout le service, semblant dire « Je suis chaud, qui en veut une autre ?» Tout le monde bosse, tête basse, personne ne bronche. La place de ma collègue ne fait pas d’envieux…

Ma collègue est effondrée, on l’entend renifler à l’autre bout de l’espace. Personne n’ose se faire remarquer à aller la réconforter. Moi encore moins, son ex-amie du week-end… C’est dire si elle doit se sentir seule.

Il est environ 9h30, la journée vient à peine de (mal) commencer… Elle va être longue pour ma collègue, et pour moi aussi…. J’ai des choses à raconter à mon mari… Il sait que je lui en veux tellement à cette garce. Il connaît ma collègue ainsi que son mari. J’ai hâte de tout lui raconter, il va être ébahi d’apprendre la trempe qu’elle vient de prendre… Je lui envoie juste un SMS, sans rentrer dans les détails :

« Putain ça vient de chier pour …. Elle vient de s’en prendre une mémorable par son boss ! Et devant tout le monde ! »

Ma collègue espérant conserver le peu de dignité qui lui reste, prend les devants et vient me trouver une heure plus tard, profitant de la pause clope/café que viennent de prendre la plupart des collègues de l’open-space.

« Surtout tu ne dis rien sur ce qui vient de se passer, s’il te plaît… Ni à ton mari ni au mien… S’il te plaît… J’ai trop la honte…» dit elle, en larmes.

C’est décidé : je lui réponds que je respecterai le silence qu’elle me demande de tenir. Cette fessée d’anthologie sera notre secret… Enfin, un secret pas vraiment bien gardé, puisque quelques heures plus tard, à l’occasion de la pause déjeuner et des pauses café, je m’aperçois que toute l’entreprise est déjà au courant, et pas uniquement notre service.

Finalement, malgré l’augmentation que je n’ai pas eue, je trouve que c’est cher payé. J’ai peut-être bien fait de faire la tête et d’avoir eu une légère sanction disciplinaire plutôt que la promotion tant désirée… Si c’était le prix à payer, le jeu n’en valait pas la chandelle.

52 commentaires

  1. recit excellent , on se croirait à votre place dans ce bureau

  2. très beau récit j aurais aimé être a sa place

  3. C’est vrai qu’au bureau il y a beaucoup trop de fessée qui se perdent. Je me verrai bien dans la position du supérieur corrigeant une collaboratrice insolente.

  4. Magnifique récit en effet et 100% d’accord, il y a des fessées qui se perdent au bureau mais pas que d’ailleurs ;-). La prochaine fois, il est probable que le collant et la culotte doivent subir les affres de la gravité…

  5. Remarquable texte, très bien écrit : le premier qu’en tant que nouveau je suis amené à lire et très bonne première impression.
    Collant et culotte n’ont pas été abaissés mais la punie à dû s’abaisser à demander grâce, c’est tout autant une grosse honte.
    Sonorité des pieds martelant le plancher : voilà qui fait le sel d’une bonne fessée, on entend pas cela couramment : qui n’a jamais vu une paire de fesses ?
    Mais entendre, que dis-je écouter ce solo de percussions sur plancher, c’est exceptionnel.

  6. Magnifique récit que je viens de découvrir.
    @ Fessochix, a bien raison, on n’entend pas cela souvent, la sonorité des talons martelant le plancher au cours d’une bonne fessée, voilà qui peut en faire tout le sel lorsque l’on est témoin auditif.
    @ Haricot vert, je n’aimerais pas être votre épouse (sourire)

  7. Merci pour ce beau récit, je n’aurais jamais pensé que cette scène pouvait arriver sur un lieu de travail

    Bravo pour la description hyper précise, qui nous fait vivre cette scène comme si nous y étions 🙂

  8. Définitivement le récit le plus excitant que j’aie jamais lu !…

  9. En tant que ancien dirigeant d’entreprise j’ai souvent eu l’envie de corriger certaines de mes employées cul nue dans mon bureau. Elles l’aurai bien mérité vue leurs erreurs et leurs étourderies.
    Une bonne correction à la main pour commencer et au martinet ou à la cravache pour terminer…
    Avant d’être patron j’ai fessé une fois une de mes collègues de travail sur notre lieu de travail après le départ des autres employées…. Elle a bien aimé et on a fini la nuit ensemble….. je l’ai re fessé au reveil avant le petit déjeuner

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