Résister, implorer, gémir, pleurer, bouder, se faire pardonner.

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    Guruduth
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    C’était il y a longtemps, peut-être plus de 15 ans maintenant, à Amsterdam à l’occasion d’une visite au Rijksmuséum. J’étais alors avec une très adorable compagne mais notre relation était récente et je n’avais pas encore exploré tous les charmes de sa personnalité qui s’avéra plus immature que je ne le pensais. Je découvris effectivement que nous n’avions pas les mêmes conceptions de la visite d’un très beau musée de peintures comme le Rijksmuséeum, l’équivalent du Louvre à Paris. Elle était, comme de nombreux touristes toujours dans la « consommation » des lieux » cherchant plus à se prendre en selfie devant les longues galeries de peintures qu’à contempler les œuvres, me pressant sans cesse alors que j’aurais aimé m’attarder, ne sachant pas se poser pour contempler en silence. Toujours en avance d’un tableau sur moi, elle semblait n’être venue que pour pouvoir dire à son retour en France qu’elle « avait fait le Rijksmuséum ». Son attitude ne cessa d’empirer au fur et à mesure que son impatience grandissait transformant ce qui aurait du être pour moi un plaisir intellectuel et culturel en une visite sans âme.

    Très mécontent de se plaisir gâché par sa faute je rentrai dans une colère froide, ne pipant mot sur le trajet du retour à l’ hôtel, lui signifiant simplement qu’un comportement de gamine à son âge mériterait à notre retour à l’hôtel une correction de gamine …comme une fessée. Nous dînâmes dans un excellent restaurant indien – je m’en souviens encore- mais pourtant aucune épice ne put réchauffer l’ambiance froide et banale, propre à tuer l’amour naissant, qui s’était installé entre nous. Je répondais peu ou mal à ses tentatives de rapprochement ne voulant pas dépasser et clore trop facilement cette épisode et cette visite ratée.

    Enfin seuls et arrivés dans la chambre d’hôtel, joignant la parole aux actes, je cherchai à m’emparer d’elle. Souple comme une gazelle elle m’échappa plusieurs fois mais l’exiguïté de la chambre d’hôtel – j’étais pauvre à l’époque et la taille de la chambre était proportionnel à mes revenus- vint à bout de ses stratagèmes de fuite. Plaquée sur le lit , je lui remonta sa robe légère- nous étions au printemps et la journée avait été fort belle- ce qui redoubla sa volonté de résistance … en vain. Je lui descendis alors la culotte sans pouvoir l’ôter complètement de peur qu’elle ne m’échappe à nouveau. Le mouvement de ses jambes qu’elle faisait pour se débattre l’emmenait cependant mécaniquement toujours plus bas au niveau de ses mollets mais ses chaussures à talon faisant verrou elle ne put passer ce cap. Peu m’importait de toute façon puisque son fessier était mis à nu et encore tout pâle.
    Aux premiers claquements de ma main qui ne tremblait pas elle changea de stratégie et se mit à m’implorer d’arrêter. Mais rien n’y fit : elle se devait d’être punie ; et elle le fût rigoureusement, pleinement, fidèlement, amoureusement. Aux implorations succédèrent alors les jérémiades puis les gémissements comme de petits cris étouffés par l’orgueil blessé et la honte.
                                                                                                                     
    Toutes résistances vaincues et abandonnées les larmes lui vinrent aux yeux bien qu’elle fit tout pour essayer de ne pas me le montrer … mais je surpris quelques reniflements et soubresauts qui ne pouvaient pas me tromper. Mes tapes sur son postérieur, qui avait viré au rose puis à la couleur fuchsia ,se firent peut-être moins vigoureuses, plus espacées mais continuèrent encore : je devais aller jusqu’au bout et je le fis. Mais fesser un postérieur aimé n’est pas une sinécure, c’est aussi une épreuve physique dont je me souviens qu’elle m’éprouva moi aussi, certes d’une autre façon que ma victime, mais de façon tout aussi réelle. Je finis par m’arrêter, épuisé et las, la punition ayant de toute façon été suffisamment sévère.                                                                                                                                                         
     Se relevant elle remonta sa culotte et sans un mot – le mutisme avait changer de camp- elle bouda tout le reste de la soirée faisant mine de lire les pages du guide touristique consacrées à la peinture hollandaise.                            Pourtant qu’elle ne fut pas ma surprise lorsque la nuit venue elle vint se blottir contre moi, m’enlaça et avec tout son amour, comme pour se faire pardonner, suça goulûment le sucre d’orge que je lui tendais vigoureusement. Résister, Implorer, gémir ,pleurer, bouder, se faire pardonner : cosi fan tutte.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 mois et 3 semaines par Guruduth.
    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 mois et 3 semaines par Guruduth.
    #95145
    Addictfessee
    Participant


    Félicitations car je me retrouve bien dans ce récit comme elle.

    Maltese

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