Ode à la Fessée

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  • Ce sujet contient 1 réponse, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Camille 92, le il y a 1 année.
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  • #98482
    ProFesseur67
    Participant


    Sous la caresse du vent, ô fesses arrondies,
    Vous qui portez le ciel de vos courbes bénies,
    Pulpeuse douceur, soyeux horizon,
    Au creux de vos formes naît la tentation.

    Tendres vallons, de chair pleine et vibrante,
    Sous la main qui frôle, votre peau est brûlante,
    Délices infinis de ces montagnes vivantes,
    Où plaisir et supplice s’enlacent en offrande.

    Ô femme divine, dans ta grâce offerte,
    Tes fesses sont un poème, une terre ouverte,
    Où le plaisir flirte avec la douleur,
    Sous la fessée, naissent des vagues de chaleur.

    Le coup s’abat, premier écho d’envie,
    La peau rougit, marque d’un interdit,
    La chair frémissante, dans un bal délicat,
    Accueille le fouet comme une étreinte en émoi.

    Pulpeuse courbe, fesses du désir,
    Sous la fessée, tu t’éveilles au plaisir,
    Chaque impact te fait vibrer d’une onde secrète,
    Et dans ta douleur, c’est la jouissance qui s’apprête.

    Envie, délice, douleur exquise,
    La main qui frappe, ferme et précise,
    Punition ou caresse, la frontière est floue,
    Et sur tes rondeurs, le plaisir se joue.

    Les coups redoublent, marquent la chair offerte,
    Un feu s’allume, brûle d’une flamme discrète,
    La douleur devient douce, dans ce rituel ancien,
    Fesses rougies, tendres et soumises aux mains.

    Ô soyeux plaisir de cette fessée,
    Dans chaque frappe, l’envie de céder,
    De plonger dans l’abîme du désir absolu,
    Où la douleur fait naître des plaisirs inconnus.

    Punies mais adorées, vos fesses accueillent,
    Dans leur tendre rondeur, le plaisir qui effleure,
    La main qui s’abat, le corps qui frissonne,
    Un cri, un soupir, et tout s’abandonne.

    Dans ce ballet d’ombres, de coups et d’extase,
    La femme se donne, à cette danse audace,
    Entre plaisir et douleur, la jouissance s’épanouit,
    Et dans l’assaut des sens, le corps entier se fuit.

    Ô divine fessée, art du désir caché,
    Dans la chair marquée, c’est la passion qui naît,
    Fesses tendres, pulpeuses, objets du plaisir,
    Sous la fessée, naît l’envie d’un infini plaisir.

    Dans cette ronde sacrée où se mêlent les corps,
    Fesses rougies, résonne encore et encore,
    Le plaisir infini, la douleur apprivoisée,
    Ô fessée délicieuse, douce et maîtrisée.

    ProFesseur67

    #98496
    Camille 92
    Participant


    “Où la douleur fait naître des plaisirs inconnus” : c’est tellement vrai !

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