Marie :L’Experte en Flemmardise

[Linette]

Marie, étudiante de 23 ans, était la bête noire de l’université, célèbre pour sa paresse légendaire et son arrogance. Elle avait le don d’épuiser ses professeurs jusqu’à l’extrême et d’entraîner ses camarades dans une culture de l’apathie, instaurant un véritable règne de la “dolce farniente” forcé.

Le règne de Marie prit fin avec l’arrivée du professeur Veber. D’une stature imposante et dégageant une aura d’autorité incontestable, il confronta Marie avec une fermeté de roc : « Votre règne de « dolce farniente » forcé s’arrête ici. L’effort est non négociable. » Le défi ouvert de Marie fut l’étincelle qui déclencha l’affrontement.

L’affrontement était inévitable. Devant la classe sidérée, le professeur Veber saisit Marie et la fit basculer sur ses genoux, l’immobilisant dans une position d’infériorité totale. Il la tenait fermement, assurant que les fesses de Marie étaient bien exposées.

Il commença la correction. La première claque, portée avec une détermination calculée, claqua dans le silence, faisant sursauter Marie. Une deuxième, puis une troisième suivirent, le rythme devenant régulier et implacable. La paume du professeur s’abattait avec une autorité mesurée. La fermeté granitique de l’homme, l’absence d’hésitation dans son regard, et la douleur cuisante montant sur la peau de Marie étaient une punition efficace.

Entre deux claquements, il lui asséna, d’une voix qui portait : “Tu agis comme une enfant qui refuse d’apprendre, alors tu es punie comme une enfant qui a besoin d’être réveillée !” La peau de Marie rougissait visiblement sous l’impact.

L’Éveil du Désir…

Assise au fond des gradins, une autre étudiante observait la scène, le souffle coupé, fascinée. Elle ne voyait pas Marie, mais la dynamique de l’autorité et de la domination physique. Elle était submergée par une jalousie ardente et une envie puissante de se trouver dans cette position vulnérable, sous l’emprise totale de cet homme.

Le spectacle de la correction agissait comme une révélation. L’énergie dégagée par le professeur, sa maîtrise, et le fait qu’il osait franchir cette limite enflammées ses sens. Le désir s’éveilla avec une intensité subite. Son regard était fixé sur le contact répété de la main sur la fesse. Machinalement, ses doigts glissèrent sous le tissu de sa jupe. Elle se mit à se caresser les fesses, la paume mimant la sensation qu’elle imaginait, puis sa main s’attarda doucement sur son sexe. La montée d’une chaleur puissante et honteuse confirmait ce qu’elle ressentait.

Chaque claquement asséné à Marie était un écho brûlant qu’elle recevait, une promesse de l’ordre qu’elle souhaitait qu’on lui impose. L’idée de se trouver à la place de Marie, capturée par ce maître, recevant cette leçon intime et dévorante, lui donnait un sentiment de vertige et d’envie folle.

La correction terminée, Marie fut remise au pas, son arrogance brisée. Le professeur Veber lui laissa un dernier avertissement, d’une voix basse et tranchante : « La prochaine fois, Mademoiselle, la leçon sera bien plus profonde. Je te garantis que tu t’en souviendras. Et là, je te mets au défi de me contredire… en faisant l’effort ! »

L’experte en “flemmardise” avait rencontré son maître. Son pouvoir d’inertie s’évanouit, marquant la fin de sa domination et le début d’une ère nouvelle où le travail reprenait ses droits, mais aussi où le désir de discipline s’était profondément éveillé chez un témoin silencieux.(4)😉

[Rony]

Ce bon vieux Veber, quelle efficacité pédagogique 🙂

J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.

[Fessochix]

La fessée à la fac ! Mais ce prof n’est pas au bout de ses peines. Au-delà du fait que cette façon de faire ne soit pas encouragée par les autorités, si il a calmé Marie, le spectacle a plu à une étudiante excitée à la vue de cette correction. Elle est prête à  y passer à son tour et va tout faire pour, s’excitant alors au sens comportemental du mot, perturbant les cours, répondant avec insolence. Le côté contre-productif de la fessée !

 

 

 

On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

[Monsieur Armand]

Merci pour ce récit qui titille agréablement notre imaginaire! L’étudiante discrètement assise tout en haut de l’Amphi ne se prénommerait-elle pas Ly… par hasard?

“La peau de Marie rougissait visiblement” … visiblement pour tous les étudiants ? ou seulement pour cette étudiante silencieuse et troublée?

[Linette]

Monsieur Armand wrote:

Merci pour ce récit qui titille agréablement notre imaginaire! L’étudiante discrètement assise tout en haut de l’Amphi ne se prénommerait-elle pas Ly… par hasard? “La peau de Marie rougissait visiblement” … visiblement pour tous les étudiants ? ou seulement pour cette étudiante silencieuse et troublée?

Quote

« Vous avez saisi l’essence même du récit, et je vous tire mon chapeau. Le cœur de l’idée est là : l’étudiante, cette façade de discrétion, s’abandonne à un plaisir infime, secret. Assise dans l’ombre des gradins, sa pénombre n’est qu’un amplificateur de cette sourde excitation, de cette envie qui l’habite en secret. Elle est l’œil qui observe et la main qui consent. N’est-ce pas la même tension, à la fois retenue et vibrante, que celle qui traverse le contexte de la fessée ? L’écho est puissant, qu’il résonne d’un souvenir, ça je ne l’exclus pas 😏, ou d’une simple projection. Merci infiniment de l’avoir si justement perçu. »

 

 

[Fessochix]

Parmi les plaisirs de la fessée il n’ y a pas que donner et recevoir, mais aussi la regarder, et ce récit le montre bien. Plaisir qui peut même être sexuel, comme pour cette étudiante du fond de l’amphi. Faute de mieux, elle s’en contente :  pour l’instant.

On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

[Paulparis]

Merci pour ce récit d’autant plus excitant qu’il ne s’agit pas d’un nouveau récit d’une fessée comme une autre mais d’un billard à plusieurs bandes puisqu’on assiste à la fessée de la jeune flemmarde à travers le regard d’une observatrice attentive, ce qui donne un angle nouveau et excitant

[Linette]

Paulparis wrote:

Merci pour ce récit d’autant plus excitant qu’il ne s’agit pas d’un nouveau récit d’une fessée comme une autre mais d’un billard à plusieurs bandes puisqu’on assiste à la fessée de la jeune flemmarde à travers le regard d’une observatrice attentive, ce qui donne un angle nouveau et excitant

Quote

Vous mettez le doigt sur l’élément clé qui fait la force de ce récit : le regard de l’observatrice. C’est exactement l’intention de ce que vous appelez très justement le « billard à plusieurs bandes ». En se concentrant sur les réactions indirectes — la tension, l’excitation, et même la jalousie ou le jugement de celle qui regarde — l’histoire gagne en profondeur psychologique. On ne regarde plus seulement la punition, on regarde aussi l’impact émotionnel qu’elle a sur un témoin, ce qui rend l’expérience bien plus riche et, comme vous le dites, plus excitante. Merci pour ce joli commentaire.

[Linette]

Fessochix wrote:

Parmi les plaisirs de la fessée il n’ y a pas que donner et recevoir, mais aussi la regarder, et ce récit le montre bien. Plaisir qui peut même être sexuel, comme pour cette étudiante du fond de l’amphi. Faute de mieux, elle s’en contente : pour l’instant.

Quote

Bien au-delà du cercle, le plaisir englobe également la fessée. Qu’elle soit donnée, reçue ou simplement observée, chaque facette de cette dynamique est une source de jouissance.

[Grosminet]

Linette wrote:

Vous mettez le doigt sur l’élément clé qui fait la force de ce récit : le regard de l’observatrice.

Un fantasme inassouvi de voyeuse (ou de voyouse 😈) Miss Linette ?

Fesseur aux pattes de velours... 😎

[Linette]

Grosminet wrote:

Linette wrote:

Vous mettez le doigt sur l’élément clé qui fait la force de ce récit : le regard de l’observatrice.

Un fantasme inassouvi de voyeuse (ou de voyouse 😈) Miss Linette ?

Quote

« Mon cher , mon plus grand fantasme inassouvi n’est ni de voyeuse ni de voyeur, mais de pouvoir combiner les deux ! De voir les secrets les plus délicieux du monde sans être vue, pour ensuite les utiliser, non pas pour le mal, mais pour un petit coup de pouce espiègle qui remettrait les pendules à l’heure, juste pour l’amusement. Disons que j’aspire à l’art subtil de la malice MAL attentionnée… et parfaitement visible. » le voyeurisme n’est il pas une qualité par ici? Ou l’on regarde avec les yeux et on déguste avec les mains 🤔

[Grosminet]

Linette wrote:

Mon cher , mon plus grand fantasme inassouvi n’est ni de voyeuse ni de voyeur, mais de pouvoir combiner les deux ! De voir les secrets les plus délicieux du monde sans être vue, pour ensuite les utiliser, non pas pour le mal, mais pour un petit coup de pouce espiègle qui remettrait les pendules à l’heure, juste pour l’amusement. Disons que j’aspire à l’art subtil de la malice MAL attentionnée… et parfaitement visible. » le voyeurisme n’est il pas une qualité par ici? Ou l’on regarde avec les yeux et on déguste avec les mains 🤔

Tu viens de donner la parfaite définition d’une voyouse 🤣
Et je n’ai jamais dis que c’était un défaut pour une spankee 😁

Fesseur aux pattes de velours... 😎

[BadCristou]

“on regarde avec les yeux et on déguste avec les mains” c’est bien dit ça 😉 miss Linette

[Auteur]

Messages