Fessée cuisine sur le genou de Daddy
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- 30 octobre 2025 à 19:34 #106774 Petite ChipieParticipant Petite ChipieParticipantMonsieur était en train de cuisiner. 
 De mon côté, j’étais allongée sur le lit, le téléphone à la main, quand mon regard se posa sur mon bureau. Dedans étaient cachées quatre petits pistolets à eau, achetés cet été dans une intention bien précise : semer quelques bêtises lors de la venue de mon Monsieur.L’idée me traversa aussitôt l’esprit. 
 Ma gourde à moitié pleine était là, à portée de main. J’entrepris de remplir un des pistolets, non sans difficulté : le goulot minuscule refusait de coopérer, et bien sûr… l’inévitable arriva. L’eau se renversa sur la couette.— Oh, putain, merde ! 
 — Je t’ai entendu, fit-il depuis la cuisine. Que fais-tu encore ?
 — Rien du tout, ne t’inquiète pas, Daddou.Il apparut un instant à l’encadrement de la porte. J’eus juste le temps de cacher le pistolet sous la couette et de feindre un air absorbé devant mon téléphone. Il repartit, suspicieux. Je repris aussitôt mon projet. 
 Quelques minutes plus tard, le voici parti dans la salle de bains.
 Je fis ma première bêtise, Je me mis à arroser le plafond au-dessus du lit, riant toute seule comme une gamine.— J’entends que tu rigoles… tu fais encore une bêtise ! lança-t-il. Je ne répondis pas. Je m’agenouillai sur le lit et visai la porte. Première salve, aucune réaction. Deuxième… et là, pile au moment où il ouvrit, trois jets bien placés l’accueillirent. Il referma la porte d’un cri surpris, puis la rouvrit, hilare. Je jubilais. Il faisait chaud, le jeu était léger, espiègle. Mais son regard, l’instant d’après, devint plus sérieux. Il leva les yeux vers le plafond trempé. Je compris aussitôt que la partie venait de tourner. — Tu vas ruiner ton plafond, et ça te fait rire ? En plus, tu continues ? 
 Je baissai les yeux.
 — J’ai aussi un peu mouillé la couette… là où tu dors en voulant remplir mon pistolet à eau.Sa voix se fit ferme. 
 — Viens ici.
 — Mais Daddou, s’il te plaît, pardon… je vais sécher avec la serpillière !
 — Ici. Maintenant.Je m’exécutai. Il me prit par le poignet, me conduisit vers la cuisine, tira une chaise. Sur la table, une cuillère en bois attendait, complice silencieuse. «saleté de cuillère» on aurait dit qu’elle n’attendait qu’une seule chose, une nouvelle rencontre avec mes pauvres fesses! 
 Il baissa mon pantalon puis ma culotte sous mes genoux, puis il posa un pied sur la chaise et me demanda de venir me pencher sur son genou.
 Cette position est très inconfortable, bien sûr, car mes pieds ne touchant plus la chaise, je devais me tenir au dossier de la chaise.Puis, il commença à me taper mes fesses avec cette «saleté» de cuillère et là, ce fut horrible, déjà par la position puis par la force de l’abattement de la cuillère sur mes fesses. — Mais, Aieuuuuu, ça fait mal, putain! 
 — C’est fait exprès, une fessée, c’est pour punir, et ton langage jeune fille!
 — Quoi mon langage? Il est bien mon langage! Et la position est inconfortable, où as tu encore été chercher ça?mais il continua 
 «Je vais tomber!»
 «Mais non, tu ne vas pas tomber, je te tiens, fermement», dit-il en m’assenant d’autres coups de cuillères bien appuyés, et si, moi ton langage, je n’en ai pas rien à faire, tu vas apprendre à parler sans dire de gros mots!»Je voulais mettre ma main gauche pour protéger mes fesses, mais je reçus la cuillère dessus ma main, ce qui me dissuada de la laisser et de recommencer. — Mais aieuuuu 
 — Je t’ai déjà dit de ne pas mettre tes mains!Je l’ai remis vite en place pour me tenir au dossier de la chaise, tout en soufflant dessus, comme si ça allait y faire quelque chose. Je commençais à vraiment gigoter car ça piquait vraiment et c’était horrible! Surtout cette fichue position, non mais franchement, qui a osé l’inventer celle-ci?! Au bout d’un bon moment, les fesses en l’air et la tête moitié en bas, je ne tenais plus et ayant pitié de moi, il stoppa avec la cuillère, mais continua un petit moment avec sa vilaine main gauche, jusqu’à ce que je ne tienne plus du tout en place dû à la position qui me faisait mal au ventre et aux bras. Puis Monsieur me relâcha enfin! 
 Je descendis doucement de son genou et de la chaise, je retrouvai le sol avec un mélange de soulagement et de trouble.Je me frottais un peu les fesses puis regardant Monsieur, je fis le tour de la chaise et me tournai vers lui, cherchant instinctivement refuge dans ses bras. Il m’accueillit contre lui, apaisant ma respiration, puis, d’une voix redevenue douce : 
 — Viens, je vais te mettre un peu de crème.Je m’allongeai à nouveau sur ses genoux. Ses mains, plus lentes cette fois, faisaient oublier la brûlure. La tension retombait, remplacée par cette chaleur tendre que je connais bien : celle de l’après, des gestes qui ne punissent plus mais rassurent. Je me blottis contre son torse, savourant ce silence plein, ce moment suspendu où tout rentre dans l’ordre. Et puis, comme je lui avait dit au début, j’ai pris ma serpillière, afin d’éponger comme je le pouvais mon plafond pour limiter les dégâts, même s’il faisait chaud et que ça a bien séché tout seul. 
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