Le Monde Est Petit.

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    Gentilhomme
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    Le Monde Est Petit.

    Je m’appelle Agnès. J’ai 56 ans. J’ai reçu pas de mal de fessées, enfant, dont certaines extrêmement sévères et même jusque tard dans l’adolescence.

    Adulte, la fessée a fait quelques rares apparitions dans ma vie sexuelle seulement; donc plutôt dans le cadre de jeux érotiques. Mon mari n’étant pas très intéressé par cette pratique, celle-ci a donc presque disparu de ma vie. À une exception près, lors d’une rencontre extra-conjugale avec un couple qui souhaitait qu’une femme leur administre la fessée, chacun en présence de l’autre. L’expérience m’avait émoustillée à un point que je n’avais pas anticipé. Ainsi, après avoir tanné avec application le fessier de madame d’abord puis celui de monsieur, alors qu’ils s’enlaçaient et se câlinaient explicitement pour se réconforter après l’épreuve, je n’avais pu retenir l’envie pressante de relever ma jupe et de glisser la main dans ma culotte m’exhibant dans une posture masturbatoire totalement imprévue lors des discussions préalables avec le couple. Je laissai alors le couple improviser à son tour et me couvrir de caresses et de baisers pendant que je me menai à l’orgasme avec une vigueur certaine. À ma grande surprise, c’est quand la femme glissa sa langue dans ma bouche que la jouissance me foudroya avec une puissance que j’avais rarement connue.

    Un peu plus tard, sur la route du retour chez moi, j’avais réitéré ces caresses onanistes, une main sur le volant, l’autre main naviguant entre mes seins et mes cuisses, ajoutant même une dimension un peu sadique par quelques pincements bien ciblés.

    Le couple ayant initialement exprimé le souhait que la rencontre ne se produise qu’une fois, on en resta là.

    Plutôt surprise (et peut-être un peu effrayée) par l’effet que l’événement avait eu sur moi et ne me sentant pas prête à assumer ce que j’avais un peu vécu comme une perte de contrôle, moi d’ordinaire si réservée et presque prude au lit, j’avais immédiatement après cette soirée supprimé mon profil sur le site qui m’avait permis d’établir le contact avec ce couple « receveur ». Je dois reconnaître qu’à ce moment je n’avais pas conscience du réel trouble que le baiser de cette femme avait provoqué chez moi.

    C’est environ deux ans après que je décidai de me créer à nouveau un profil sur ce site de rencontre entre libertins. Ma vie prenait à l’époque un tour plutôt négatif. Mon mari et moi ne partagions plus grand-chose. Il ne me touchait plus que très rarement et sans aucune volonté affichée de me combler.

    Au boulot, ma supérieure hiérarchique multipliait les occasions de me rabaisser et cherchait visiblement à me pousser à la faute voire à la démission. Je déprimais.

    Je passais mes soirées seule devant mon pc. Lorsque j’avais épuisé la consultation de mes réseaux sociaux, je finissais généralement sur des sites xxx dont le contenu ne m’apportait pas beaucoup sinon parfois un petit déclic me permettant d’amorcer de quoi relâcher un peu la tension et de produire quelques endorphines bienvenues pour affronter la nuit.

    Je me rendis assez vite compte que, lors de mes recherches sur ces sites, je tentais de retrouver des situations rappelant celles que j’avais connues avec le couple rencontré deux ans auparavant et, surtout, que j’étais particulièrement excitée par les caresses, baisers et fessées entre femmes.

    De fil en aiguille, l’idée de revivre une rencontre érotique avec un couple  me titillait de plus en plus.

    C’est ainsi que je finis par me réinscrire en me disant que je prendrai mon temps pour être certaine que ça se passe aussi bien que la première fois.

    L’idée de départ n’était pas forcément de centrer la rencontre sur la fessée mais plutôt sur un rapport en trio plus « classique ». Cependant, dans mon texte de présentation, je ne faisais pas l’impasse sur mon intérêt pour la fessée en tant que donneuse. Je précisais probablement « donneuse » par mesure de protection même si, à vrai dire, les quelques fessées reçues dans ma vie d’adulte ne m’avaient pas déplu. Mais je ne savais pas trop sur qui je pourrais tomber. Je ne le savais pas encore mais je n’allais pas être déçue.

    Avec une certaine mauvaise foi (et probablement très peu lucide quant à ce que mon inconscient mettait en œuvre), je me disais que rencontrer un couple, ce n’était pas tromper mon mari comme si j’avais rencontré un homme seul.

    Assez rapidement, je me retrouvais à échanger avec des couples mais rien ne semblait se profiler. Trop éloignés, pas mon genre physiquement, trop jeunes, trop partouzeurs à mon goût… Bref, ça ne s’annonçait pas très bien.

    Et puis, un soir, un homme me contacta en indiquant parler au nom de son couple.

    Sa façon d’écrire était élégante. Il semblait avoir beaucoup d’esprit. Mais surtout il savait ce qu’il voulait.

    Leur recherche était intéressante mais, presque trop belle pour être vraie.

    Il disait que lui et sa femme cherchaient une complice pour dominer son épouse, amatrice de fessées, de jeux de pincements et situations à caractère légèrement humiliant. Le scénario n’était pas précis concernant le reste mais l’homme précisa que sa femme aurait les yeux bandés et ne souhaitait ni voir le visage, ni entendre la voix de celle qui la soumettrait. Lui se contenterait de regarder voire de se masturber si ça ne me dérangeait pas.

    Le profil du couple donnait à voir quelques photos. L’un et l’autre y apparaissait en sous-vêtements mais le visage caché. L’homme m’assura que lui comme elle n’étaient pas moches et qu’à en croire leur entourage, ils étaient plutôt vernis et que, lui, considérait que sa femme était une belle femme au minois plaisant visiblement aux hommes.

    Bien qu’âgés de la petite soixantaine, tous deux présentaient belles allures, lui corpulent et musclé et, elle, très svelte mais toute en courbes prometteuses.

    Le mari et moi-même échangeâmes pendant quelques jours afin de nous assurer mutuellement que quelque chose pouvait se produire entre nous trois.

    Afin de me donner des gages de sécurité, le couple, bien que pouvant recevoir, proposait de me rembourser la location d’un appartement que je pourrais choisir sur la plate-forme de mon choix.

    La femme ne souhaitait pas communiquer directement avec moi mais pour me confirmer l’existence et l’accord de celle-ci, l’homme me fit parvenir une courte vidéo dans laquelle il écrivait mon pseudo et la date du jour sur le pubis glabre de son épouse. Je constatais alors qu’il avait de belles mains et qu’elle avait la vulve charnue.

    Plutôt rassurée, je consentis à l’organisation d’un rendez-vous.

    Je réservai un petit pavillon et communiquai les codes d’accès au couple car il était convenu qu’il me précéderait et qu’un sms du mari m’avertirait lorsque tout serait prêt pour mon arrivée.

    J’attendais à l’écart à quelques pas car, comme souhaité dès le départ, la femme ne souhaitait absolument pas voir celle qui allait la soumettre.

    J’étais très excitée mais plutôt fébrile.

    Lorsque le signal me parvint, l’idée de fuir me vint brutalement mais je repensai à l’expérience précédente, celle d’il y a deux ans, au plaisir qu’elle m’avait procuré et après avoir pris une grande bouffée d’air je me dirigeai vers mon rendez-vous.

    Je passai le petit portail puis une fois franchie la porte d’entrée, me retrouvai dans un petit hall sur le sol duquel un chemin matérialisé par de petites bougies m’invitait à poursuivre en direction d’une pièce dont l’obscurité n’était déchirée que par les flammèches provenant de quelques bougeoirs. Alors que mes yeux s’habituaient, j’aperçu légèrement sur ma droite un homme au physique plaisant. Je remarquai qu’il portait un costume et qu’il était pieds nus. M’adressant un beau sourire, il fit un mouvement de la tête puis du corps pour m’inviter à diriger mon regard un peu plus loin. Une femme nue assise sur ses talons me tournait le dos, les mains rassemblées sur ses fesses.

    L’homme s’approcha et murmura « Elle est à vous, maintenant. Toute à vous. Elle vous attend. Ne la ménagez pas.»

    La situation était totalement inédite pour moi. Lors de nos discussions, le mari m’avait indiqué que sa femme aimait beaucoup être bousculée mais que si elle venait à prononcer le mot «LIMITE», tout devrait s’arrêter sur le champ. le couple avait même prévu un signal : elle frapperait le sol par séquence de trois coups avec les mains ou les pieds au cas où elle ne serait pas en capacité de parler.

    Ces précautions m’avaient semblé logiques et, bien que ne me projetant pas dans un rôle de dominatrice hard, je me disais que ça rassurait tout le monde, moi y compris, et qu’ainsi je pourrais avoir une main bien leste; ce qui j’avoue me tentait bien.

    Je m’approchai de ce corps féminin qui m’attendait, me plaçai à genoux derrière. Caressant les épaules et longeant les bras jusqu’aux fesses, je griffai gentiment les hanches. J’entendis une inspiration plus forte en réponse à mes gestes. Je me penchai en avant, assez pour pouvoir passer mes mains sur le ventre de cette femme dont je ne savais rien, trois minutes auparavant. Alors que je pinçais doucement la peau en remontant vers les seins, je collai mon visage contre la nuque. Je sentais maintenant l’odeur de ses cheveux, de sa peau. Son parfum ne m’était pas étranger mais je me dis que je connaissais certainement des femmes qui portent le même.

    Je m’attardais sur ses seins, les carressant en suivant leurs courbes, puis les pétrissant  avec de plus en plus de fermeté. Leur propriétaire, dont la respiration devenait de plus en plus audible, émit de petits bruits très courts. J’en déduisis qu’elle appréciait et j’accentuai encore la pression tout en essayant d’identifier un éventuel signe de désapprobation qui ne vint pas. Au contraire, tout semblait indiquer que les caresses les plus appuyées étaient souhaitées. Je notais par ailleurs sous la paume de mes mains que la pointe des seins était très saillantes. Je m’appliquai alors à travailler les tétons de ma « soumise » et j’avoue que non seulement celle-ci m’étonna par sa capacité à endurer mais que je fus également surprise et troublée de constater à quel point ce jeu m’excitait. M’excitait beaucoup.

    Je décidai de passer à autre chose.

    Je saisis les poignets toujours posés sur les fesses pour placer les bras devant ma partenaire de jeu. Je souhaitais la conduire à se pencher en avant, les fesses en l’air dans l’intention de lui administrer une fessée et pourquoi pas la gratifier de quelques caresses pour la récompenser de sa docilité.

    Et c’est ainsi qu’en passant sur le côté, je vis pour la première fois le profil de la femme. Bien sûr, le bandeau qui lui couvrait les yeux cachait également une bonne partie de son nez mais, tout à coup, une chose inattendue  se produisit : cette femme dont le parfum ne m’était pas inconnu, cette femme au corps plutôt athlétique pour son âge, le profil de la bouche, du menton, et maintenant cette  frange que je n’avais pas vue tant que j’étais dans son dos, cette femme qui s’offrait à moi comme une proie docile, j’étais pratiquement certaine que c’était ma chef.

    J’ignore combien de secondes je suis restée en arrêt devant ma découverte. On dit parfois que le cerveau traite à un même moment autant d’informations que 100 000 téléphones portables. Chez moi, à ce moment précis, le standard faillit sauter.

    Je ne sais trop ce qui a pris le dessus, l’état d’excitation dans lequel je commençais à glisser, la haine que je nourrissais à l’égard de ma chef, la tentation d’assouvir ce sadisme que je me découvrais? Probablement les trois en même temps.

    Je me retournai vers là où j’avais quitté l’homme quelques minutes auparavant. Il avait quitté sa veste et s’était installé dans un fauteuil bridge un peu plus à gauche. Je feignais de ne pas voir sa main posée sur le pantalon et qui dissimulait mal une protubérance. Je lui souris. Il ne pouvait savoir que l’idée que le mari de ma chef allait se branler pendant que je corrigerais cette garce m’excitait au plus haut point.

    Je me retournais vers ma proie. Je décidai de poursuivre comme si de rien n’était et commençai par ajuster la position de la receveuse qui « allait bien recevoir », pensai-je alors. J’appuyai sur la nuque d’un geste précis et commençai à caresser les fesses charnues tendues vers le ciel.

    Et la fessée commença. Et ce n’était plus une inconnue adepte des jeux de soumission que je fessais, c’était la femme que je détestais le plus au monde. C’était cette salope qui, dès qu’elle se retrouvait seule avec moi dans un bureau, me balançait des réflexions sur mon travail « ni fait ni à faire » et qualifiait mes capacités de nulles et d’une « médiocrité crasse ». Une femme que tous ses subalternes craignaient et haïssaient.

    Je lui administrais un nombre incalculable de claques sur les fesses espérant qu’elle ne prononce pas le mot de sécurité trop tôt mais elle encaissait à un point que j’en avais mal aux mains. Elle poussait des gémissements de plaisir entre deux claques, de petits cris quand mes mains frappaient la peau de ses fesses ou de ses cuisses, endroit normalement particulièrement sensible. Mais cette femme semblait prendre son pied à être fessée avec autant de fermeté qu’elle maltraitait son équipe.

    Comme mes mains commençaient à me faire souffrir mais que je souhaitais poursuivre, je me levai et me dirigeai vers l’endroit où, je supposais, se trouvait la cuisine. Je passai devant l’homme qui avait apparemment sorti sa queue et qui, peut-être fut ravi de pouvoir l’exhiber un peu tout à son ignorance du fait que mon kiff j’étais en train de le trouver à corriger sa femme, ma chef, et pas à constater son érection.

    Dans un tiroir de la cuisine, je trouvai une petite planche à découper pas très épaisse et une longue spatule en plastique comme celle qu’on utilise pour retourner les crêpes.

    De retour dans la salle, je rectifiai à nouveau la position de la soumise. J’appuyai avec insistance sur sa nuque afin de lui signifier qu’elle n’avait pas le droit de se relever. D’une claque sur chaque cuisses, je lui fit les écarter tout en gardant les fesses en l’air. J’en profitai pour glisser ma main sur son intimité. Trempée. Elle était trempée. Je jouai un peu avec ses lèvres et son bouton saillant et repris la fessée par quelques claques à main nue. Puis, la petite planche à découper entra en piste et je sentis que la garce accusait le coup mais comme depuis le début, plus c’était fort plus elle semblait aimer. Après une bonne série avec la planchette, je glissai ma main sur ses fesses et dans leur sillon.

    La pénombre ne me permettait pas de voir l’état de ses fesses mais la chaleur qu’elle dégageait était significative.

    Je tentai à nouveau quelques claques à la main et décidai qu’il était l’heure de célébrer la chandeleur. La longue raclette en plastique ne produisait pas autant de bruit que la planchette mais il ne faisait nul doute que sa morsure était redoutable. La garce geignait mais lorsque je laissais passer du temps entre deux frappes, elle tendait son cul comme pour appeler à la correction. Je ne me suis pas privé de lui donner ce qu’elle voulait. Lorsque je cessai, presque épuisée, je devinais les longues traces laissées par la spatule sur la peau des fesses.

    J’estimai que de toute façon, j’en avais assez. Mais je voulais m’offrir un dernier plaisir et je me souvenais que le mari avait évoqué le goût de sa femme pour la fessée , les pincements et… les situations légèrement humiliantes.

    D’un mouvement ferme, je poussais la femme à s’allonger sur le ventre puis à basculer sur le dos les bras ramenés sur le corps, mains sur son mont de Vénus. Je relevai ma jupe et me positionnant accroupie au dessus de sa bouche, j’écartai ma culotte pour frotter ma vulve contre son nez, contre ses lèvres. Au bout de très peu de temps, la garce tendit sa langue hors de sa bouche. Je sentais que je mouillais abondamment. Je constatais aussi que ses mains jouaient avec son clitoris. Elle serrait et desserrait ses cuisses frénétiquement. J’étais très excitée mais je ne me sentais pas capable de jouir en compagnie de cette femme détestée. Cependant, je voulais finir en beauté et sentant qu’elle approchait du climax, je me concentrai de sorte à lui servir une jolie giclée de mon pipi dans sa bouche et lorsque cela se produisit, alors que je m’attendais à ce qu’elle cherche à s’extraire de l’emprise de mon cul, elle serra les cuisses et jouit en poussant un grognement mêlé d’une plainte ne laissant aucun doute sur le niveau de décollage de la fusée.

    Je réajustai ma culotte et ma jupe et sans  un mot, je quittai la maison en passant devant le mari dont le sourire béat faisait ton sur ton avec la queue devenue flaccide qu’il tenait encore en main.

    « Nulle et médiocre » qu’elle disait?…

    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 jour par Gentilhomme.
    • Ce sujet a été modifié le il y a 23 heures et 59 minutes par Gentilhomme.
    • Ce sujet a été modifié le il y a 23 heures et 54 minutes par Gentilhomme.
    #106438
    couleur fuchsia
    Participant


    Un grand merci, un pur délice que ce moment de lecture..!

    #106439
    Monsieur Armand
    Participant


    Voilà un excellent récit érotique superbement construit et écrit avec talent ! Bravo!

    Je me permettrais cependant une petite mise en garde concernant l’onanisme au volant car n’oublions pas le slogan de la sécurité routière : “Jouir ou conduire, à vous de choisir!”

    #106440
    Gentilhomme
    Participant


    😂 merci @monsieur-armand pour votre appréciation et votre message de prévention.
    Je me demande juste si, selon le Code la route, conjouir c’est choisir?

     

     

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