Il n’est jamais trop tard…

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11 sujets de 1 à 11 (sur un total de 11)
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  • #106845
    Belami
    Participant


    IL N’EST JAMAIS TROP TARD…
    Je lui demandai de répéter les mots qu’elle venait de dire n’étant pas sûr d’avoir bien entendu.
    – Je voudrais que tu me donnes une fessée…
    Devant mon air surpris elle afficha un petit sourire malicieux avant de m’avouer que cette idée lui traversait la tête depuis longtemps, à tel point que c’était devenu un fantasme.
    Elle venait d’arriver et nous buvions un café assis sur le canapé.
    J’avais fait sa connaissance il y a deux ou trois mois, lorsqu’elle avait été embauchée comme secrétaire bureautique dans l’entreprise où j’occupais un poste de contrôleur de gestion.
    J’avais tout de suite été conquis par la douceur de ses traits. On croit bien souvent que les hommes ne s’attachent qu’à la silhouette d’une femme et à ses contours. Pour ma part, j’ai toujours été sensible à la beauté d’un visage qu’illuminent un sourire et un regard profond.
    Nos relations, à priori professionnelles, évoluèrent bientôt vers une inclination réciproque qui nous conduisit à nous rencontrer en dehors du lieu de travail.
    Ce furent d’abord des rendez-vous destinés à mieux nous connaître et au cours desquels je me montrai circonspect et attentionné. J’avais une bonne dizaine d’années de plus qu’elle et la quarantaine bien sonnée m’apportait une certaine expérience de la vie. J’étais divorcé depuis quelques années et n’étais pas disposé à repartir dans une vie commune. De son côté, elle sortait d’une relation avec un de ses anciens amis de l’université et vivait seule dans un appartement qui appartenait à ses parents. Nous avions de longues discussions sur les sujets les plus variés. Nous partagions ces moments où, l’endroit le plus insignifiant nous parait digne d’intérêt parce qu’on le traverse avec une personne aimée.
    Nos rapports intimes ne remontaient qu’à une quinzaine de jours. Ce n’est qu’après plusieurs rencontres que je l’invitai à venir chez moi et que notre relation prit une autre tournure.
    Désormais, nous prîmes l’habitude de nous retrouver à mon domicile, son logement étant exigu et moins propice à nos ébats amoureux. Nous continuâmes nos discussions mais le plus souvent nus et dans le lit. Je découvris chez elle une sensualité à fleur de peau qui agrémentait les intermèdes dont désormais ma vie se constellait
    Elle avait un superbe cul. Des fesses délicieusement moulées, que je passai de longs moments à caresser. Je suis un adepte de la fessée et l’idée de la lui donner me chatouillait à chaque apparition de sa lune joufflue mais j’éloignais de moi cette perspective de peur qu’elle voit là une transgression à nos pratiques habituelles susceptible de perturber la suite de notre relation.
    Aussi, quel ne fut pas mon étonnement lorsque je l’entendis prononcer ces mots :
    – Je voudrais que tu me donnes une fessée…
    Comme je l’interrogeai sur la motivation d’une telle demande, elle m’expliqua qu’elle était fille unique et que ses parents l’avaient toujours traitée comme une petite princesse. Elle avait été très gâtée et elle obtenait ce qu’elle voulait alors qu’avec le recul elle se rendait compte qu’elle avait toujours eu un caractère capricieux, qu’elle faisait preuve d’égoïsme et d’ingratitude. Bien sûr, elle n’avait jamais reçu de fessée.
    Bien qu’étant une bonne élève, elle manquait d’assiduité et de sérieux dans ses études qu’elle abandonna trop tôt avec l’approbation de ses parents qui avaient l’habitude d’applaudir à chacune de ses décisions.
    Elle me révéla que son fantasme de la fessée était né à la suite d’un incident qui s’était produit lorsqu’elle avait seize ans et qu’elle gardait toujours en mémoire.
    – A l’époque avec mes copines, nous nous retrouvions dans un pub et nous allions au cinéma ou dans les grands magasins et je dépensais de l’argent. Beaucoup plus que l’argent de poche que mes parents me donnaient chaque semaine. Ce jour-là, dans une boutique, j’avais craqué pour un petit chemisier qui semblait fait pour moi mais dont le prix dépassait mes disponibilités. Je demandai donc à ma copine de m’avancer les euros qui me faisaient défaut. Elle accepta sans problème mais me fit promettre de les lui rendre le lendemain sans faute. Je promis, évitant de me poser trop de questions sur la façon dont je pourrai la rembourser. Et le lendemain, en fin de matinée, elle me passa un coup de fil pour me rappeler ma promesse car elle avait besoin de la somme qu’elle m’avait avancée.
    Affolée, j’acceptai de la rejoindre me disant que je trouverais sans doute un prétexte pour retarder le remboursement. C’est alors, après avoir raccroché, que j’aperçus sur le buffet du salon, le sac à main de ma mère. Elle était dans la salle de bain et la tentation était grande. Après avoir réfléchi, hésité, tergiversé, le coeur battant je finis par fouiller dans le sac, en sortir le porte-monnaie et en tirer deux billets de dix euros. J’étais tremblante, consciente que je venais de commettre un vol, même s’il n’était pas important et que je le considérai comme une avance sur mon argent de poche. Je pus ainsi rembourser ma copine mais l’histoire ne s’arrête pas là.
    Hélas, ma mère qui un peu plus tard partait faire des courses, s’aperçut que de l’argent manquait dans son porte-monnaie. Pour elle, bien sûr, j’étais au-dessus de tout soupçon. Il émergea donc en elle l’idée que la seule personne qui ait pu commettre ce vol, c’était la jeune femme qui venait deux fois par semaine faire le ménage. Elle était venue justement ce matin-là.
    Ma mère décida dès lors de se passer de ses services alors que je savais que cette personne avait besoin d’argent car elle élevait seule un enfant en bas âge.
    J’avais fait punir une innocente et depuis ce jour-là, pour la première fois, m’est montée l’envie de subir une cuisante punition. Je suis régulièrement tourmentée par cette idée. J’imagine, souvent le soir en me mettant au lit, la fessée que mes parents ont eu le tort de ne jamais me donner alors que je l’aurais méritée.
    Depuis, je rêve de rencontrer un homme qui me ferait payer en travers de ses genoux mon comportement affligeant en m’administrant une bonne fessée, une vraie fessée qui laisse un souvenir cuisant.
    Après avoir écouté avec attention son récit, je décidai de prendre mon rôle au sérieux et de satisfaire sa demande qui, outre l’agrément qu’elle m’offrait, me donnait l’occasion de réparer une injustice.
    Sans hésiter, je la saisis par le bras et la fis allonger en travers de mes genoux. Elle portait une jupe légère que je relevai sur ses reins. Son insolent fessier apparut revêtu d’une minuscule culotte qui avait du mal à le dissimuler. Je la fis glisser sur ses cuisses.
    Je commençai par palper et caresser les deux hémisphères séparés par un sillon profond. Puis je démarrai la fessée. Les premières claques distribuées tantôt sur la fesse gauche, tantôt sur la droite, n’étaient pas vigoureuses mais commençaient à leur donner une teinte rosée. Peu à peu j’augmentai la cadence. Ce qu’elle souhaitait c’était une punition, et bien elle allait l’avoir ! Bientôt la roseur de son derrière se changea en rouge coquelicot.
    – Tiens, prends-ça…des bonnes claques sur les fesses… C’est comme ça qu’on corrige les vilaines filles comme toi… Une bonne fessée, voilà ce qu’il te faut… de bonnes claques… Ça c’est pour avoir volé… Et ça, c’est pour avoir fait accuser une innocente…Pour de telles fautes, il faut qu’elles soient bien rouges ces fesses !
    Ses rondeurs tressautaient sous l’averse de claques. Elle émettait de petits gémissements chaque fois que main entrait en contact avec ses fesses.
    Je décidai de m’arrêter lorsqu’au travers de ses soupirs, je la sentis au bord des larmes. Son cul était écarlate. Elle quitta la position et se remit debout en se frottant les fesses.
    Je la pris contre moi et la serrai tendrement.
    – Voilà, tu as payé pour tes fautes. Est-ce que tu te sens mieux ?
    – Oui. Ça m’a fait du bien… Enfin, sauf à un certain endroit !
    Nous échangeames un long baiser puis, un sourire au coin des lèvres ,elle me dit :
    – Je crois que j’aime ça…

    #106846
    Dyonisos
    Participant


    Quelle chance de pouvoir concilier amour et fessée ! Récit très sympa et excitant.

    Dans la vie, mieux vaut avoir des remords que des regrets !

    #106847
    Paulparis
    Participant


    Voilà un récit qui sonne juste et qui, j’imagine, n’est pas resté sans lendemain

    #106848
    Belami
    Participant


    La fessée est aussi un acte d’amour.

    #106849
    Fessochix
    Participant


    Chassez la fessée, elle revient au galop.

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #106851
    Paulparis
    Participant


    La fessée est aussi un acte d’amour.

    J’irai même plus loin. L’amour est très souvent essentiel dans la pratique de la fessée. Certes pas dans al fessée d’un soir, dans la fessée spontanée administrée lors d’une rencontre impromptue. Mais à mon sens, la fessée est souvent un acte d’amour. Fesser une femme c’est aimer la femme passionnément. La femme en général mais à l’instant T, la femme qu’on a en face de soi, à laquelle ont accorde toute son attention, dont on sonde toutes les réactions pour ne pas faire le geste de trop, le coup de trop qui anéantirait immédiatement la magie du moment. Fesser c’est rechercher avec sa partenaire un degré de complicité qui au fil du temps mène à l’amour. J’ai bien sûr fessé des femmes lors de rencontres sans lendemain. Par jeu et sans amour. Mais fesser une partenaire régulière c’est autre chose et il y a eu de ma part à chaque fois une sacré dose d’amour au bout du chemin. Il est vrai que j’ai un vrai coeur d’artichaut !!

    Et, j’ai la faiblesse de croire que pour offrir, même l’espace d’un instant, son cul et son corps à un partenaire, et arriver à lacher prise est aussi une forme d’amour de la part de celle qui ainsi s’abandonne.

    Donc oui, il y a bien souvent de l’amour dans la fessée. C’est un ingrédient fort de la réussite

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 1 semaine et 2 jours par Paulparis.
    #106852
    Rosée
    Participant


    Bravo et merci pour ce très beau récit ! 🥰

    #106870
    Belami
    Participant


    Je suis tout à fait d’accord avec Paulparis, la fessée lorsqu’elle est consentie suppose une complicité entre les partenaires qui amène un rapprochement et pourquoi pas l’amour…

    #106874
    Belami
    Participant


    Bravo et merci pour ce très beau récit ! 🥰

    Merci à vous

    #106879
    Monsieur Armand
    Participant


    C’est une belle histoire avec un côté moral : le besoin d’expier une faute grave qui hante cette jeune femme depuis son adolescence. Merci

    #106885
    Belami
    Participant


    Il y a peut-être d’autres femmes dans cette situation qui attendent une fessée rédemptrice…

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