Fessée cuillère en bois repas sur le tapis coco
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Petite Chipie, le il y a 3 jours et 1 heure.
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- 22 septembre 2025 à 19:14 #106409
Petite Chipie
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Voici le récit du combo « fessée à la cuillère en bois » + « repas sur le paillasson coco ». Oui oui, celui que Daddy a posé sur ma chaise comme si j’étais un chat adolescent puni. Tout ça pour un caprice. Un pauvre tout petit caprice…J’avais déjà eu droit à une fessée le matin, mais visiblement la douleur s’était suffisamment estompée et mon imagination avait décidé que ce n’était pas suffisant.
J’avoue que l’idée me démangeait depuis un moment : tester Monsieur en provoquant un vrai caprice. Pas un simple soupir, pas une petite moue boudeuse, non… un vrai caprice, assumé, construit, voulu. Mon esprit se mit alors à tourner à toute vitesse : comment m’y prendre ? Quoi dire ? Jusqu’où pousser sans déclencher l’apocalypse trop tôt ? J’avais presque l’impression de monter un plan machiavélique.
J’étais frustrée de ne pas pouvoir tester ça en public. Dans un magasin par exemple, ça aurait eu un goût encore plus excitant. Je sais qu’il m’avait déjà prévenue : si jamais j’osais faire ça dehors, les conséquences seraient terribles. Mais au fond de moi, j’aurais adoré le voir réagir devant les autres, sentir sa fermeté me recadrer sans tenir compte du regard des gens. Tant pis. Une prochaine fois… (je garde cette idée au chaud).
À la maison, j’optai donc pour une version « soft » mais tout de même piquante. Je lançai le caprice par une demande innocente : une glace. Ça, je sais que c’est mon point faible. Été, hiver, peu importe, la glace c’est ma passion. Mais sa réaction fut trop calme à mon goût, alors je montai d’un cran. Je rajoutai les bonbons. Puis les gâteaux. Puis, en vrac, tous les plaisirs sucrés possibles. Je ne les consomme presque jamais, mais justement : cette exagération était parfaite pour l’agacer.
Évidemment, la réponse tomba sèche, ferme, claire : « NON. » Et avec ce « non » vinrent les rappels, mes efforts, la santé, le sucre, mon poids, les dangers de tout gâcher. (il faut savoir que cela ne m’est pas interdit, mais que je dois faire très attention à toutes ces choses-là ! Plus facile à dire qu’à faire…) Je savais qu’il avait raison, et je savais aussi qu’il était fier de mes 21 kg déjà envolés.
Moi aussi, d’ailleurs, et mon état de santé tout comme mon physique s’améliore de mois en mois. J’ai encore un (plus si) long chemin devant moi, mais je suis une warrior, je finirai par atteindre mon objectif ! Mais ce soir-là, ce n’était pas la guerrière disciplinée qui parlait : c’était la gamine capricieuse qui s’était installée dans ma tête.
Alors j’insistai. Encore. Et encore. Chaque refus de sa part était suivi d’un « je veux ! » encore plus appuyé. J’y ajoutai des « et que ça saute ! », et des « immédiatement » , histoire de bien tester ses limites. Mes yeux le défiaient ouvertement, et je savais, oh oui je savais, que je marchais droit dans la gueule du loup.
Puis nos regards se croisèrent. Intense. Silencieux. Là, j’ai compris que j’étais allée trop loin.
Il se leva d’un coup sec, sans un mot. Sa main m’attrapa le bras, ferme mais pas brutal. L’autre se posa naturellement sur la cuillère en bois posée sur la table. À cet instant, mon ventre se serra, et je sentis ce mélange étrange d’appréhension et d’excitation. En une fraction de seconde, mon short et ma culotte glissèrent à mes chevilles. Je n’eus même pas le temps de souffler un « pardon » que déjà, j’étais basculée sur ses genoux.
Et là… mes pauvres fesses. Elles qui n’avaient rien fait, se retrouvèrent martyrisées par cette traîtresse de cuillère en bois. Chaque claquement résonnait dans la cuisine comme un coup de marteau. J’avais beau me tortiller, supplier, me mordre les lèvres pour ne pas trop crier, rien n’y faisait : il avait décidé de me faire passer le message. Je sentais le feu s’installer, les larmes me monter aux yeux, et malgré tout, quelque chose en moi frissonnait de satisfaction. Quand la cuillère finit enfin son travail, mes fesses vibraient encore sous l’onde des coups, marquées de bleus qui allaient rester comme autant de signatures.
Daddy me releva calmement, me tenant toujours par le bras. Il quitta la pièce, revint avec le tapis coco et, sans un mot, le posa sur ma chaise. Je n’eus qu’à obéir. Saleté de tapis. Dès que mes cuisses et mes fesses s’y posèrent, je compris l’ampleur du supplice. Chaque fibre rugueuse s’enfonçait dans ma peau déjà échauffée. Et comme mes pieds ne touchaient pas le sol car, je suis petite, impossible de me soulager en m’appuyant dessus. Coincée. Punie. Exposée.
Et lui, se remit à cuisiner. Comme si de rien n’était. Ses gestes précis, réguliers, le bruit des ustensiles, l’odeur qui commençait à remplir la cuisine… tout cela contrastait cruellement avec mon inconfort.
Pendant tout le repas, je bougonnai intérieurement. Mon assiette devant moi, mes fesses écrasées sur ce tapis de torture, et lui, imperturbable, qui mangeait tranquillement. Pas un mot. Pas un regard. Comme si de rien n’était. Cette indifférence feinte était presque pire que la cuillère.
À la fin, je n’en pouvais plus. J’osai lever la voix, timidement, pour demander : -Je peux me lever, maintenant ?
Il prit son temps avant de répondre. Enfin, il lâcha :
-Oui.
Libération. Mais je ne pouvais pas en rester là. Mes yeux cherchèrent les siens, et avec mon air de biche préférée, je suppliai doucement :
-Daddy… tu pourrais me mettre de la crème… sur mes fesses ?
Il céda, bien sûr. Je retrouvai sa chaleur, allongée de nouveau sur ses genoux. Mais cette fois, ses mains n’étaient plus punisseuses : elles étaient douces, apaisantes, enveloppées de crème froide qui calmait le feu. Chaque geste me faisait soupirer de soulagement. Et pour sceller le tout, un long câlin. Dans ses bras, je me blottis, bercée par sa force et sa tendresse mêlées. Ce fut comme une rédemption…et tellement bon d’être contre lui.
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