Des différences usages de la couche

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 16)
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  • #89933
    Anonyme
    Inactif


    Il existe plusieurs façons d’appréhender l’usage de la couche dans les jeux de régression.

    La couche, accessoire essentiel de la régression au stade bébé ou petite fille, cet élément de confort et de sécurité quand la propreté n’est pas assurée, quand on aime à s’oublier dans sa couche.

    La couche plaisir, quand on est à un âge plus avancé, que le corps à ses exigences et que le doux frottement de la couche est apprécié, recherché par celle qui la porte. C’est alors un accessoire sexuel qui pourra être caressé, pressé, contourné à la recherche du plaisir.

    La couche punitive, celle qui prive d’accès à cette intimité, cet accessoire envahissant à l’entrejambe et socialement un peu honteux que l’on a du mal à assumer. Cette couche aux mains d’un ou d’une partenaire qui vous y oblige, objet de votre punition et de votre gêne, de la privation d’accès aux toilettes vous ramenant à une période normalement révolue ou vous deviez en porter.

     

    #89943
    Anonyme
    Inactif


    La couche, chacun est en droit d’en avoir sa propre vision. Ce que j’en retiens , c’est la possibilité d’une très grande complicité entre deux partenaires (ou plus mais jamais fait pour ma part) et de nombreuses variantes envisageables. Cela peut commencer par l’achat du paquet, on peut évidemment commander sur internet et certains modèles abdl ne se trouvent que chez des fournisseurs en ligne mais pharmacies, supermarchés et magasins médicaux offrent déjà un certain choix.

    Ensuite vient toute la diversité des jeux possibles parmi lesquels, sortir avec, être changée dans des lieux plus ou moins insolites, associer à ces jeux des odeurs diverses telles le talc, le liniment, les crèmes diverses. Apprécier les matières diverses du lange choisi, in tissé, plastifié, ou molleton (associé aux épingles à nourrice, j’ai connu ça avec une partenaire et rien qu’à l’écrire la nostalgie m’envahit…). Je reviendrai peut-être compléter ce post mais quoi qu’il en soit je garde un merveilleux souvenir d’avoir pu par deux fois convertir des partenaires à ce jeu et être témoin du plaisir et de la joie que cela leur a procuré.

    #89948
    lunapower
    Participant


    Pour avoir eu aussi l’occasion de langer quelques partenaires je dirais que pour certaines c’est un savant mélange de ces trois situations tout du moins pour les premières fois.

    Un désir parfois mal assumé de part sa vision sociétal, l’image que cela renvoie. J’ai le souvenir d’une little avec qui j’ai joué quelques temps et qui a mis un certain temps à le verbaliser. Je me souviens très bien de sa honte lorsque je l’ai faite asseoir sur ce carré ouaté, bien qu’elle en ait envie elle était gênée. Ca lui a quand même pris quelques “séances” avant qu’elle n’apprivoise cette nouvelle sensation et quelques mots suffisaient de la faire passer de la little bien dans sa couche à la grande honteusement punie.

    Sinon comme @longui j’en retiens aussi ce haut degré de confiance et de complicité avec ces demoiselles avec qui j’ai pu partager ces instants.

     

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #89987
    Nush
    Maitre des clés &
    fouetteuse en talons hauts et bas résilles


    Pendant des années j’ai négligé, pour ne pas dire refuser, cette zone grise de la pratique. Probablement parce que, comme pour beaucoup, le port de couches est lié à la régression et qu’un amalgame pourrait être fait avec la pédophilie.

    J’ai mis beaucoup d’années à replacer cette pratique dans quelque chose d’érotiquement acceptable.
    J’ai mis beaucoup de temps à passer d’une sorte de répulsion à une attraction (fatale ?!…).

    En discuter avec quelques hommes pratiquants m’a aidé à comprendre en quoi le port de couches pourrait accompagner ma pratique de la fessée.

    Ce que je sais c’est que je n’ai toujours pas franchi le pas. Que cela se fera ou pas.
    Que c’est juste une éventualité qui trotte dans ma tête à fantasmes.

    Cependant, ce dont je suis sûre, c’est que dans les propositions de LaurentD, je me situe clairement dans le « port punitif ».

    Un port assujetti à un châtiment et à l’inconfort que cela impose. Un port qui serait vécu comme honteux car imposé, un port qui contrasterait de manière absolue avec l’image que je projette de moi aux autres.
    Un port comme une ceinture de chasteté ouatée.

     

    Car le feu qui me brûle est celui qui m'éclaire .

    #89998
    Anonyme
    Inactif


    Je comprends qu’on puisse être réfractaires à certaines pratiques, soit parve qu’elles nous perturbent soit parce qu’on ne les a a intégrées dans notre libido. Pour autant on ne peut pas juger les autres, en fin de compte on est toujours le grand méchant loup pour certains et le petit chaperon rouge pour d’autres, n’est-ce pas ? (J’ai toujours le petit pot de beurre à portée de main, c’est la galette qui fait défaut !)

    Quand à s’y mettre, c’est une autre histoire. Il faut sans doute un déclic pour franchir le pas et transgresser pour de bon.

    #90524
    Myroir
    Participant


    @falbalas

    Je ne comprends bien le port de la couche en tant que punition, que dans un seul cas : celui où elle a fait pipi dans sa culotte et plus précisément, où elle a fait pipi dans sa culotte intentionnellement, que ce soit pour le plaisir, par défit ou encore par désir de ressentir de la honte (donc quelque part pour le plaisir).

    Dans le cas d’autres bêtises, je ne vois pas bien le rapport avec le port de la couche. Et dans le cas d’un pipi culotte (réellement) involontaire, le principe d’une punition ne me semble pas opportun. J’aurais plutôt envie de la consoler et de l’aider à se changer.

    Tu es décidément une vilaine fille. Monte dans la chambre et attends-moi.

    #90525
    Anonyme
    Inactif


    Bonjour Myroir.

    Pour vous éclairer sur le côté punitif du port de la couche il faut le décoréler du fait de savoir si la jeune femme a fait ou non pipi dans sa culotte et qu’elle qu’en soit la raison. Ici cette dernière n’a a priori aucune raison d’en porter, le fait de la mettre en couche a pour but de la rabaisser au stade petite ou bébé, lui nier son statut de femme adulte et la traiter comme une petite fille pas encore propre. On joue sur la honte, sur l’humiliation de devoir porter cette couche qui nie la féminité de celle qui en est affublée et qui doit parfois faire pipi dedans n’ayant plus accès aux toilettes des “grands”.

    #90527
    Myroir
    Participant


    Bonjour LaurentD.

    J’entends bien et je respecte parfaitement ta “position”.  Mais c’est cette vision qui ne me parle pas bien. Dans l’infantilisation, j’ai besoin que la femme adulte reste omniprésente. Donc, je n’ai pas envie de nier sa féminité. Et si elle se comporte comme une petite fille, j’ai envie que ce soit exprès, sans que je lui impose (par exemple en lui interdisant d’aller aux toilettes). J’apprécie aussi la notion d’humiliation mais je préfère qu’elle se l’impose elle-même, ce qui est “pire”, puisqu’elle n’a pas l’excuse que j’en aie pris l’initiative. Même si quelque part, j’en suis quand même responsable. Mais tout cela est un jeu 🙂

    Tu es décidément une vilaine fille. Monte dans la chambre et attends-moi.

    #90641
    Liza
    Participant


    Des goûts et des couleurs…du moment que chacun y trouve son compte. Les différents scenarios peuvent répondre à différentes envies voire apporter de la variété. J’aime bien le scenario du pipi culotte, volontaire, qui appelle naturellement à une bonne fessee et le port d’une couche sans qu’il soit besoin de trop l’expliquer.

    La vie est un songe.

    #91117
    SanDydi
    Participant


    Personnellement, en tant que vilaine, je suis attirée par le côté punitif de la couche. Qu’on me l’impose car mon comportement est celui d’une enfant.
    Ne plus avoir le contrôle, dépendre du bon vouloir de l’homme qui prend soin de moi.
    C’est un accessoire qui me trouble et en même temps me semble réconfortant. Une douce protection sur des fesses meurtries.

    #96827
    Lune11037
    Participant


    Personnellement j’apprécie le port de la couche de son côté punitif comme plaisir *même si j’en suis quand même gênée*

    #97826
    Babybratt
    Participant


    Il existe plusieurs façons d’appréhender l’usage de la couche dans les jeux de régression. La couche, accessoire essentiel de la régression au stade bébé ou petite fille, cet élément de confort et de sécurité quand la propreté n’est pas assurée, quand on aime à s’oublier dans sa couche. La couche plaisir, quand on est à un âge plus avancé, que le corps à ses exigences et que le doux frottement de la couche est apprécié, recherché par celle qui la porte. C’est alors un accessoire sexuel qui pourra être caressé, pressé, contourné à la recherche du plaisir. La couche punitive, celle qui prive d’accès à cette intimité, cet accessoire envahissant à l’entrejambe et socialement un peu honteux que l’on a du mal à assumer. Cette couche aux mains d’un ou d’une partenaire qui vous y oblige, objet de votre punition et de votre gêne, de la privation d’accès aux toilettes vous ramenant à une période normalement révolue ou vous deviez en porter.

    Me concernant c’est également un mélange des trois, à la fois pour me rappeler que je suis une gamine qui fait encore pipi à la culotte, mais aussi pour le plaisir de la sensation de porter une couche et le côté punitif, avec les fesses rouges en prime 😉

    #98142
    laetitia
    Participant


    bonjour

    depuis quelques temps mon mari avec qui je vis une relation dd a décider d’instaurer un week end ou je serais une petite fille de 3ou 4ans

    pendant ce week je n’aurais que des activités de petite fille de cet âge. et le port de la couche va faire partie de l’aventure. mon mari me fera porter une couche pendant mes heures de sieste et pour la nuit. ce week end durera du vendredi soir au lundi matin.

    çà sera ma première expérience de port de couche. autant j’ai hate de tester ce week end autant j’appréhende un peu

    #98239
    Fessenheim
    Participant


    J’apprécie beaucoup la couche, mais c’est un domaine que je n’ai pas pratiqué. Ni avec des intéressées ponctuelles, ni avec de  partenaires. J’ai aussi un intérêt prononcé pour la couche car je suis excité par les domaines uro et scato soft, et la couche cristallise tout cela : le lâcher prise, l’accident, l’abandon de soi. Elle permet à la personne de faire sur elle et ce que j’aime, ce sont les réactions, ce sentiment d’humiliation mais aussi de plaisir de la personne. Pour cette pratique, la couche est un outil de sécurité vet d’hygiène, même si j’aime tout autant les histoires de pantalon souillé, avec l’humiliation, puis la punition et la consolation que cela doit impliquer. J’imagine aussi le plaisir de la texture, de caresser sa partenaire portant une couche pleine, le bruit. Je rêve d’un ASMR couches qui doit forcément exister, je vais garder les sources ASMR ABDL secrètes pour l’instant…

    #98278
    Elea
    Participant


    Je suis toujours de celles qui disent : “il ne faut jamais dire jamais “…

    Mais là , pour le coup, je ne peux pas.

    Aucun fantasme pour la couche, ni pour cet univers régressif.

    Mais je juge nullement ceux pour qui cela peut être source d’excitation…

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