Les petits dessins du Colibri
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Le bureau du directeur
Le directeur, M. Laroche, ajusta ses lunettes et posa ses mains sur la pile de dossiers qui trônait sur son bureau. Il regardait Lisa, qui se tenait devant lui, le menton levé et l’air hautain.
« Ah, te voilà, Lisa ! » dit-il d’une voix calme. « Je vois que tu commences bien ton année. Tu veux que je mentionne tes bêtises ou tu préfères le faire toute seule, comme une grande ? »
Lisa croisa les bras sur sa poitrine, son regard plein de dédain. « Je vois pas de quoi vous parlez. J’ai rien fait. »
« Vraiment ? » Le directeur attrapa le dossier du dessus. « Parce que mon rapport dit que tu as hacké le système de son de l’école pour diffuser un concert de punk rock en plein pendant le cours de latin de M. Martin. »
Lisa eut un petit sourire en coin. « C’était un manque de culture. Je me suis dit que M. Martin avait besoin d’un peu d’énergie. »
Le directeur ne sourit pas. Il se pencha en avant, son ton devenant plus sérieux. « Lisa, tu es brillante. Ton dossier scolaire est exemplaire. Mais tes ‘bêtises’ sont de plus en plus… sophistiquées. C’était quoi le but, cette fois ? Mettre le bazar ? Ou prouver que tu pouvais le faire ? »
Lisa ne répondit pas tout de suite. Son insolence était un bouclier, une manière de ne pas se montrer vulnérable. « On a trop de règles. On nous demande de rentrer dans des cases. Et vous, vous attendez quoi de nous ? D’être des robots, des clones ? »
Le directeur soupira. « Je m’attends à ce que vous respectiez les autres, et l’institution. On peut s’amuser, être créatifs, mais il y a une limite. Tu le sais. » Il se leva, sa voix ferme et son regard la fixant sans ciller.
La punition
« Et cette fois, je crois que tu vas avoir du temps pour réfléchir à l’utilité des règles, » continua M. Laroche d’un ton résolu. Il ouvrit un tiroir de son bureau, en sortant une lanière de cuir large et épaisse. Un strap.
Lisa le regarda, l’expression de défi s’estompant peu à peu pour laisser place à une certaine appréhension. Elle connaissait la réputation de M. Laroche pour ses méthodes disciplinaires strictes, mais elle espérait toujours y échapper.
« Viens ici, Lisa, » ordonna-t-il d’une voix qui ne tolérait aucune discussion.
Lisa hésita un instant, le corps raide, mais l’autorité dans la voix du directeur était indéniable. Elle s’avança lentement et se mit en position pour être corrigée. L’intention du directeur, celle de la déculotter, était ferme. Mais l’instant qui précéda le châtiment fut d’une douceur inattendue. Alors que Lisa se mettait en position, sa jupe remonta, trahissant un aperçu de dentelle délicate. Les yeux de M. Laroche s’attardant un instant sur ce détail, un sourire discret aux lèvres. Il savourait ce prélude visuel, ce petit secret révélé par le mouvement, avant que la punition ne reprenne son droit. Ce moment fugace, suspendu entre l’attente et l’action, était un jeu dont il détenait les règles.
Un son sec et cinglant résonna dans le bureau silencieux. Puis un autre. Puis un troisième. La douleur, vive et surprenante, fit grimacer Lisa, mais elle serra les dents, refusant de laisser échapper le moindre son ou la moindre larme devant le directeur. Elle sentit ses fesses chauffer, et le silence entre chaque coup était presque aussi lourd que le coup lui-même.
Quand le directeur eut fini, il la fit se redresser. « J’espère que cela te fera réfléchir, Lisa, » dit-il d’une voix ferme, remettant le strap dans le tiroir. « Tu es une élève brillante, et je détesterais te voir gaspiller ton potentiel à cause d’une attitude répréhensible. Maintenant, retourne en cours. Et la prochaine fois, j’espère que nous n’aurons pas à revivre cette scène. »
Lisa, les joues toujours écarlates et le corps un peu endolori, se rhabilla en silence et quitta le bureau du directeur, une nouvelle résolution silencieuse
dans le regard.
Merci, très joli dessin et en plus dans le thème de la rentrée. On apprécie toujours beaucoup 🙂
“Lisa se rhabilla en silence” : donc fessée bel et bien administrée culotte baissée, après avoir remonté la jupe écossaise. C’est tellement évident que @linette ne fait pas même état du déshabillage ! Le strap ajoute à la sévérité et vient en cela au-dessus du déculottage. Le retour à la page précédente et aux dessins de @cool_colibri confirme que cette correction a bien été donnée dans la tenue la plus appropriée.
Modification : @linette, par un petit ajout, a bien fait comprendre que ce préparatif vestimentaire avait été respecté.
Un collège anglais ? collège privé ? Les châtiments corporels y étaient longtemps restés autorisés, et pratiqués.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 4 semaines par .
On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...
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Cette réponse a été modifiée le il y a 4 semaines et 1 jour par
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