Les petits dessins du Colibri
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, le il y a 3 mois.
Bonjour bonjour ! Une nouvelle petite série de dessins pour égayer votre lundi 🌻 N’oubliez pas de jeter un oeil à mon Patreon, j’y poste un dessin par jour, dont plein d’inédits 🤭 Voici le lien : https://patreon.com/CoolColibri?utm_medium=unknown&utm_source=join_link&utm_campaign=creatorshare_creator&utm_content=copyLink
Dans un petit appartement baigné d’une lumière douce, Gabriel, un homme aux épaules larges et au regard calme, s’apprêtait à une étrange cérémonie avec Léa. Depuis des mois, leur relation explorait des territoires intimes où le jeu et la discipline se mêlaient, toujours avec un consentement mutuel et une profonde confiance.
Aujourd’hui, l’air était empreint d’une tension particulière. Léa, un sourire discret aux lèvres, se tenait devant lui. Gabriel, assis, la regardait. C’était un rituel qu’ils avaient établi : un moment où Léa s’offrait à une forme de correction, non par punition, mais comme une exploration de leurs limites et de leur connexion.
Léa commença à retirer ses vêtements, un geste lent et délibéré qui annonçait le début de leur jeu. Elle se plaça ensuite à quatre pattes devant Gabriel, la tête légèrement baissée, attendant son geste. Gabriel leva sa canne, un objet en bois poli qu’il utilisait rarement, préférant souvent sa main. Mais aujourd’hui, Léa avait demandé une intensité différente.
Les coups résonnèrent doucement dans la pièce, mesurés et appliqués avec une fermeté calculée. Léa laissait échapper de petits gémissements, mélange de surprise et de sensations intenses. Ce n’était pas une punition douloureuse, mais une stimulation qui réveillait des émotions enfouies, une forme de libération à travers la soumission consentie.
Puis, tout s’arrêta. Léa se releva et alla se tenir contre le mur, se frottant les fesses qui étaient rougies par les marques de la canne. Gabriel, de son côté, prit une gorgée de son café posé à côté de lui. Un sourire narquois apparut sur ses lèvres alors qu’il observait Léa.
“J’espère que mon café est encore chaud”, dit-il d’une voix traînante, un brin d’ironie dans le ton, “aussi chaud que ton derrière, vilaine fille.”
Léa leva les yeux vers lui, un petit sourire en coin, comprenant le jeu de mots et la taquinerie. Dans le silence qui suivit, ils savaient tous deux que ces moments, bien que singuliers, renforçaient leur lien, ajoutant une profondeur inattendue à leur intimité, teintée d’une espièglerie qu’ils appréciaient tous deux.😁
Encore une fois Merci pour ce Joli dessin 🙂et j espère qu’il y’en n’aura d’autres…
Pur hasard, mais je viens de voir que je suis pile dans le thème d’une des discussions du moment 🤭🏖️
C’est clair et c’est trop cool. Très beau dessin ! Et cela confirme que quelle que soit la couleur de chacune, les marques de bronzage sont pleinement euphorisantes dans le cadre d’une bonne fessée !
💻
Il y a un mois, la jeune femme, prénommée Chloé, se sentait perdue dans son projet d’écriture. L’échéance pour son premier roman approchait, mais l’inspiration et la discipline lui faisaient cruellement défaut. C’est à ce moment qu’elle s’est tournée vers sa meilleure amie, Léa, qu’elle voyait actuellement à l’écran.
Léa, une coach de vie avec un grand sens de l’humour et une rigueur à toute épreuve, avait proposé une méthode radicale pour la sortir de son marasme créatif : un “contrat de discipline”. Chaque matin, Chloé s’engageait à écrire au moins une page de son roman. Si elle manquait à sa tâche plus de trois fois en une semaine, elle devait s’infliger une petite punition physique,une fessée !un peu à la manière d’une “punition” de sport scolaire, pour symboliser son échec à se tenir à ses engagements. Ce n’était pas un acte de violence, mais un moyen ludique et sérieux de se rappeler l’importance de son objectif.
Pendant plusieurs semaines, le plan a fonctionné à merveille. Stimulée par l’idée de ne pas avoir à passer à l’acte, Chloé avait retrouvé une productivité qu’elle n’avait pas connue depuis longtemps. Les mots coulaient, les chapitres s’enchaînaient. Puis, la fatigue et les doutes sont revenus. Elle a manqué un jour, puis un autre, jusqu’à en rater cinq en l’espace d’une semaine.
C’est là que l’image commence. Après avoir éteint l’ordinateur, Chloé s’est levée et, d’un geste lourd, a saisi le martinet. Le lourd silence de l’appartement fut rompu par le claquement sec du cuir fouettant l’air, suivi d’un contact qui arracha des gémissements de douleur. Elle ne s’était pas attendue à ce que la souffrance soit si vive, ni que l’acte, pourtant volontaire, soit si humiliant. Chaque coup de fouet sur ses fesses était comme une inscription de son propre échec, un rappel physique de la promesse qu’elle s’était faite et qu’elle n’avait pas tenue. À travers des sanglots, elle continua, s’infligeant trois marques rouges et brûlantes. Après l’acte, elle a effleuré du bout des doigts la peau rougie, sentant les traces de son manque de discipline. Les larmes, qu’elle n’avait pas voulu laisser couler, glissèrent le long de ses joues, non pas à cause de la douleur physique, mais de la déception et de la honte qu’elle ressentait envers elle-même.
À présent, elle était de retour devant l’écran, le visage rougi et l’expression à la fois gênée et honteuse. Léa la regardait, patiente et compréhensive. Elle ne la jugeait pas, elle attendait juste qu’elle ait le courage de lui avouer.
Chloé déglutit difficilement. “J’ai échoué, Léa,” murmura-t-elle, les yeux embués. “J’ai… j’ai dû le faire.”
Léa hocha doucement la tête. “Ce n’est pas un échec, Chloé. C’est juste le début d’un nouvel élan. Maintenant, tu sais que tu ne veux plus que ça se reproduise. Oublie ce qu’il s’est passé, et va écrire ton histoire. Je t’attends demain matin pour une nouvelle page.”
Chloé regarda le fouet dans sa main, puis l’écran. Elle comprit que la vraie punition n’était pas la douleur physique, mais la déception qu’elle se faisait à elle-même. Avec un léger sourire qui se dessinait sur son visage, elle le reposa sur son bureau bien en vue et se sentit prête à se remettre au travail.Merci,pour ces très jolis dessins. 🙂
Le début d’une série de dessins postés sur mon Patreon (le lien est sur mon profil). Cette jeune fille a passé une sacrée semaine à l’internat 😱
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