A votre service Monsieur

[Paulparis]

Cette histoire a un vrai fond de vérité, en ce sens qu’elle s’est vraiment déroulée même si j’ai dû changer des personnages et prévoir des inversions pour de rester dans le cadre de la charte de notre site et des fessées administrées à des femmes par des hommes…

[Paulparis]

Suite

Il avait en effet invité chez lui une douzaine de convives à dîner. Un dîner fin, élégant, parisien, un peu guindé, autour d’une table bien décorée et éclairée de candélabres. Chez un bon traiteur Paul avait commandé des mets raffinés. Sauf que pour un dîner de ce standing, il fallait du personnel qualifié pour servir les convives. Et sur ce point là aussi Paul fait eu une idée. Il avait demandé à Natacha de porter une chemiser strict, blanc et avait ceint sa taille élégante d’un tablier blanc comme en porte les femmes de chambres dans les hôtels de luxe. Et pour donner le ton, évidemment Natacha restait les fesses nues sous ce tablier. Si bien que mandatée pour ouvrir la porte à l’arrivée de chaque convive, Natacha avait vite fait de faire comprendre à chacun que ce dîner n’était pas juste une simple réception mondaine.

à suivre…

[Paulparis]

Le premier couple invité sonna à la porte de l’appartement de Paul à 20H00 pile. La ponctualité est la politesse des rois. Natacha conformément aux instructions reçues alla ouvrir pour faire entrer les invités. Avec déférence elle les salua puis proposa de se charger de prendre les manteaux avant de les précéder vers le salon. Ce n’est qu’à ce moment-là, que Michel et Virginie se rendirent compte de la tenue explicite de Natacha qui n’était ainsi pas seulement la compagne de Paul mais serait à son – à leur- service pour le dîner. Le manège et les mêmes mimiques de surprise sur les visages des arrivants se sont renouvelés au gré des arrivés. Lorsque tout le monde fut installé dans le salon (sauf Natacha qui se tenait debout), Paul, d’un air détaché remercia les convives pour leur présence puis fit remarquer à tous que çà et là on pouvait apercevoir des instruments (paddles, cravaches et autres badines) à portée de main. Précision étant faite que Natacha était là pour apprendre son nouveau métier de femme de chambre, il comptait sur les invités pour l’aider dans ces fonctions éducatives selon une méthodologie qui semblait à chacun couler de source

Puis pour siffler le début du jeu, Paul fit remarquer d’un ton sévère que les verres de champagne des invités restaient vides et que Natacha avait manqué ainsi à son premier devoir. D’un geste il lui intima l’ordre de se mettre en position sur ses genoux et, sans avoir à procéder au moindre déculottage, il la fessa d’importance devant l’assistance ravie. Une bonne fessée à la main, progressive mais suffisamment sévère pour provoquer les premières rougeurs et surtout pour mettre les invités dans le bain.

Natacha passa donc de convives en convives pour servir le champagne. Ce qui devait arriver arriva. Allez savoir si ce fut l’effet d’une faute d’inattention ou d’une provocation volontaire mais en servant Nathalie, quelques gouttes de champagne tomber à côté du verre sur les cuisses bronzées de la jeune femme qui, après avoir sollicité d’un regard l’approbation de Paul, demanda à Natacha de lui présenter son séant pour une dizaine de coups bien forts d’un paddle souple qui se trouvait là par un heureux hasard…

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[Paulparis]

et la suite…

Natacha, les fesses un peu plus colorées, s’esquiva vers la cuisine pour préparer le dîner. Mais au bout d’une dizaine de minutes un bruit de porcelaine cassée parvint aux oreilles de tous dans le salon… Paul, en maître de maison attentif alla constater l’étendue des dégâts… Rien de grave dit-il en revenant au salon, tenant néanmoins la fautive par le lobe de l’oreille. mais une assiette cassée ne peut m’inciter à la clémence. Michel me rendrait -il le service d’administrer une punition appropriée à Natacha dit-il en la plaçant les mains sur le bord de la cheminée, les fesses cambrées face à l’assistance ravie.

Michel, enchanté, s’appliqua avec attention à dessiner sur les jolies fesses de la femme de chambre d’un soir des jolies marques parallèles et rouges. Une vingtaine de coups claquants. Au-dessus de la cheminée, un grand miroir permettait de voir le visage de Natacha, concentrée, les mâchoires serrées pour subir sans brocher la juste punition.   Se redressant croyant le supplice terminé, Natacha fit mine de retourner en cuisine, mais Michel la rattrapa par le bras : “Quand on est bien élevée, on dit quoi ?”. Natacha comprenait vite “Merci Monsieur”. Mais cet oubli lui aura valu 5 coups de cravache supplémentaires. “Allez file, maladroite”.

Le dîner se déroulait ensuite « normalement », comme n’importe quel dîner en ville, à ceci près que les convives avaient du mal à rester concentrés sur la conversation à chaque fois que Natacha passait, le cul nu, à proximité d’eux. Il faut dire que le spectacle de ce fessier superbe et déjà coloré par les premières punitions justifiait de se tordre le coup pour l’admirer. Et puis un autre détail pouvait surprendre. Si d’aucuns mettent des fleurs pour décorer le centre de la table, le vase était remplacé opportunément par une fine cravache marron (qui montrait quelques traces d’usure) et une canne en rotin. L’entrée, des langoustines rôties si ma mémoire est bonne fut servie sans anicroches. Il en fut de même pour le bourgogne blanc, un Meursault je crois qui allait avec. On se doutait simplement qu’un incident devrait arriver soit très naturellement soit par la volonté de Natacha qu’on savait friande de fessées. L’incident arriva lorsque notre jeune amie entrepris de débarrasser les assiettes pour passer au plat principal. Un faux mouvement et un léger choc d’une assiette contre un verre d’eau renversa le liquide heureusement incolore sur la nappe blanche. Immédiatement, la convive concernée, une jolie blonde fine recula sa chaise pour faciliter la position de Natacha sur ses cuisses et la fessa d’importance, ravivant la couleur rouge. Une bonne fessée qui stoppa les conversations. Mais son voisin de droite, suggérant que la sanction n’était pas à la hauteur de la faute (quelle mauvaise foi, pour un peu d’eau) se leva derechef, pris les mains de la fautive pour les placer sur le dossier de sa chaise et saisissant une cravache, lui demanda de compter quinze coups à haute voix. Natacha était endurante et compte d’une voix claire et assurée, ponctuée à chaque fois d’un « merci Monsieur » qui semblait vouloir dire « Même pas mal ! ».

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