fessée, jazz, fessée, douche…

Accueil Forums Discussions générales Récits fessée, jazz, fessée, douche…

6 sujets de 1 à 6 (sur un total de 6)
  • Auteur
    Messages
  • #106118
    Fessochix
    Participant


    J’approchais des soixante ans et elle en avait douze de moins que moi. Nous nous étions connus par un site de sortie, nous avions fait des marches ensemble, petites randonnées à la mi-journée ou à la journée. Des sorties cinéma, films d’art et essai dans une ville voisine. Et dans cette même ville des sorties jazz, une fois par mois. Après l’entracte il y avait un moment de jam session, les musiciens présents dans la salle pouvaient jouer. Cela se limitait à trois ou quatre morceaux et, comme pianiste, j’y participais. Cela avait contribué à faire naître notre histoire d’amour. C’était, au début, tout à fait platonique. Nous nous tenions par la main, nous nous embrassions parfois sur la bouche : comme de jeunes ados ! Nous ne vivions pas ensemble. Elle ne semblait pas attirée par le sexe et à mon âge je n’étais plus empressé comme à vingt ans. Mais son attitude m’interrogeait. J’allais me décider à lui en parler quand fut proposé sur les écrans le deuxième épisode de “cinquante nuances” : pas vraiment un film d’art et essai ! Mais, à ma surprise, elle me proposa d’aller le voir ensemble, et sans passer par le site de sortie.
    Au moment des fessées elle se blottit langoureusement contre moi ! C’était donc là son fantasme, ou un de ses fantasmes : on n’est après tout pas obligé d’en avoir. Après le film nous sommes allés boire un verre dans un bar où on peut discuter sans se faire entendre.
    -“Tu me donnerais une fessée ?
    -Si tu y tiens…
    -Tu en as déjà donné ?
    -J’ai croisé des femmes qui aiment la recevoir. Je ne savais pas que tu en faisais partie.
    – Tu ne pouvais pas savoir. J’aimerais que tu me corriges dans ta voiture !
    -Ce n’était pas dans le film, mais si tu y tiens…
    -Il y a une soirée jazz vendredi : dans deux jours ! Tu passes me prendre ? Avec une bonne demi-heure d’avance.
    -Tes désirs seront respectés.”
    Comme quoi celle qui va recevoir la fessée décide largement des circonstances, de son mode d’application…
    Elle est toute frétillante le jeudi en prenant place dans ma voiture, mais garde le silence pour ne pas perturber ma conduite. C’est le début de mars, il fait déjà nuit, mais pas froid. Je quitte la route principale et cherche un endroit où m’arrêter. Une voie sans issue menant vers un pré et tout de même assez large fera l’affaire.
    Mise en place : je sors, lui ouvre la portière, elle quitte son siège et je m’y assieds.
    “Tu me baisses le pantalon encore debout ? Ce sera plus facile. Je te rappelle qu’une vraie fessée, c’est déculottée ! ”
    Sa voix est bien déterminée, avec aussi un côté amusé. Elle a une jolie veste en laine qui pourrait gêner. Elle la retire sans que je ne le lui demande, me la passe, et je la place sur la banquette arrière. Puis elle soulève son chandail.
    “À toi, maintenant !”
    Je m’étais demandé si j’allais ou non commencer par dessus les habits. Elle vient de me donner la réponse. Je ne l’avais vue que complètement habillée. Je déboutonne et dégrafe le pantalon, baisse la fermeture et le descends . Elle a, dans la pénombre de la nuit, de belles et longues cuisses. Je les contemple quelques instants et elle se couche spontanément sur mes cuisses. Je n’aurais pas osé lui baisser la culotte de face et apparemment elle ne le souhaitait pas non plus.
    Elle a un petit rire quand je lui mets les fesses à nu : elles sont admirables. Bien galbées, un peu larges. Fermes mais avec ce qu’il faut d’une petite couche de graisse et tissu conjonctif. Elle m’offre un ravissant spectacle, avec son pantalon et sa culotte aux genoux.
    “Je suis prête !”
    Elle va, je n’en doute pas, y prendre plaisir. Je ne l’avais jamais caressée et voilà que je vais la claquer, sur ses magnifiques rondeurs. Claques qui sont si on y réfléchit des caresses bien appuyées. Elle aime les sensations fortes ? Les fesses s’y prêtent à merveille. Bien innervées, bien rembourrées. Jolis muscles de par leur forme, muscles très particuliers à l’Homme et à sa station debout et, quand ils sont enrobés juste ce qu’il faut, tout à fait tentants chez la Femme. La paume les épouse parfaitement et pour une fessée elle y met tout son cœur.
    Titillée qu’elle était par son envie de se faire délicieusement piquer et chauffer la peau du postérieur je m’applique à lui apporter satisfaction. Mes premières claques la font rire comme au moment de la descente de sa culotte. Le côté brave d’une volontaire pour la fessée ! Puis rire plus nerveux, suivi de gémissements montrant que finalement ça fait mal, mais qu’il faut continuer. Elle se trémousse, agite les jambes. Je garde la même force, la même fréquence. J’ai trouvé le juste milieu entre petite fessée et correction intenable.
    Puis des cris où se mêlent douleur et plaisir me font comprendre qu’il est temps que cette fessée cesse. Quelques claques moins fortes et je la rassure :
    “C’est fini.
    -Tu as été délicieux ! Ce fut une excellente fessée. Il ne va pas falloir tarder à nous remettre en route.”
    Quelques petites tapes amicales sur ses fesses et je laisse se rhabiller sans regarder. Je reprends ma place de conducteur et nous arrivons sur les lieux de la soirée jazz. L’appétit bien ouvert nous commandons des sandwichs au bar. Nous conversons avec des personnes du site de sortie
    Je participe pour deux morceaux à la jam, au bœuf. Quand je reviens près d’elle elle me glisse : “you’ve been spanking !” Magie de ce mot anglais qui comme adjectif veut dire quelque chose comme “formidable”.
    L’heure du retour : pas loin de minuit. Mais ni elle ni moi n’avons envie de dormir. Et elle me demande de retourner sur le lieu de la fessée : pour une deuxième ! Plus courte et plus forte, me précise-t-elle. Elle se déculotte elle-même : debout et devant moi. A abandonné toute pudeur. Elle pousse des cris de rage et de satisfaction encore plus marqués, et même emprunts d’une sorte de jouissance.
    “A spanking spanking ! Tu me ramènes chez moi ? Je veux dire…tu viens chez moi ? avec moi ? “.
    Je ne vais pas refuser.
    “Je vais prendre une douche : tu viendras me frotter le dos ?”
    Un autre fantasme, sans doute. Je la rejoins. Elle se met en position. Elle a les fesses encore rouges ; cela se voyait moins, dans la nuit.
    “Tu veux une troisième fessée ? sur ta peau mouillée ?
    -Lol, ça fait encore plus mal. Mais je suis déjà bien excitée par les deux premières, il faut en garder pour la suite. Frotte doucement. Puis tu te déshabilleras et tu prendras ma place. ”
    Elle me savonne amoureusement : le dos, puis de face.
    Deux serviettes nous attendent, nous nous essuyons mutuellement.
    “Il serait temps d’aller au lit !”
    La nuit n’était pas finie…

     

     

     

    Pièces jointes:
    Vous devez être connecté pour voir les fichiers attachés

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #106121
    Monsieur Armand
    Participant


    Belle histoire! Qui sort des sentiers battus où les fesseurs sont des dominants et leurs partenaires des soumises. L’apport du jazz est primordial. En jazz, on commence par exposer le thème avant de laisser libre cours à l’improvisation: et ça claque en rythme ternaire et ça fait swinguer les fesses!

    #106122
    Fessochix
    Participant


    Bien vu, @monsieur-armand. On peut tout à fait rapprocher le jazz et la fessée. Et les femmes qui aiment se la faire donner, tout du moins celles que j’ai connues, s’expriment comme les musiciens de ce mouvement musical : avec une belle liberté.

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #106180
    Nush
    Maitre des clés &
    fouetteuse en talons hauts et bas résilles


    Il y a souvent un lien entre la pratique de la fessée et la musique. Ne serait-ce que parce le fond musical peut cacher certains sons qu’on peut clairement identifier si on est initiés.

    Le jazz et ses détours associatifs ou clubistiques est souvent un lieu de rencontres. La vôtre de rencontre est bien plus intéressante que les habituelles.

    J’aime les fins d’histoires mouillées…-)

    Car le feu qui me brûle est celui qui m'éclaire .

    #106181
    Fessochix
    Participant


    Ce récit est Nush,  ou @falbalas,  inspiré de faits réellement vécus ou s’en inspirant. Pas forcément dans la même  soirée. Je participais au piano aux moments de scène ouverte dans des soirées jazz. Je les avais connues par un site de rencontres, et j’y croisais des femmes aimant recevoir la fessée. La scène de la douche, c’était dans un bain,  mais bel et bien un final mouillé : et dans tous les sens du terme.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 4 jours et 3 heures par Fessochix.

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #106188


    Un des récits qui m as le plus plu, on y lit de la complicité, un échange, j aimes beaucoup on s y croirais!

6 sujets de 1 à 6 (sur un total de 6)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
PHP Code Snippets Powered By : XYZScripts.com