Max

  • Autre exemple de l’anxiété qui monte. J’ai proposé à la partenaire d’aller la fesser en plein air, dans un lieu que je connais assez pour lui garantir sa sécurité, mais qu’elle sait public. Je l’emmène à pied de la voiture au lieu choisi, et peux sur le chemin lui prendre la main, ou lui palper discrètement le derrière à travers la robe, hist…En afficher davantage

  • L’usage du suppositoire, rendu bien entendu nécessaire par la prétendue lecture du thermomètre, est certainement moins sauvage que ces pratiques. Pour le rendre inoffensif et néanmoins lui confier des effets secondaires, le suppositoire de glycérine (ou plutôt plusieurs l’un après l’autre) est sympathique, ses effets secondaires étant un peu lax…En afficher davantage

  • Mais chère Vilaine, rien ne vous oblige à réaliser ce fantasme très humiliant, le simple fait de nous lire peut déjà vous troubler. Déjà, l’utilisation ludique du thermomètre (de préférence à mercure, oui !) et ses suites possibles est largement suffisante pour compléter les plaisirs d’être sur les genoux du fesseur, la culotte à mi cuisses.

  • Bien sûr, rester devant la punie, la porte des toilettes ouvertes, c’est une possibilité déjà pratiquée. Et en cas de refus, il y a une autre fessée après s’être soulagée.

  • Surtout humiliation totale accompagnée de sensations inavouables et délicieuses pour la punie, les joues rouges.

    Etre en position de fessée, à plat ventre sur les cuisses du fesseur, et probablement les fesses déjà roses.

    Sentir le fesseur écarter les fesses en prenant son temps, examiner le petit oeillet, y appliquer un peu de gel, bien le lub…En afficher davantage

  • Pour la honte sans la cruauté, il y a toujours le lavement…

     

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