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Carry a commencé le sujet Des soldes soldé d'une (première ) fessée dans le forum Récits il y a 7 mois et 3 semaines
*Recit fictif* Hello a tous les membres de la planète Rose. Je me permet de poster mon premier récit, j’ai essayé de faire un petit truc sympa, il est long je sais car personnellement j’adore la lecture, il est potentiellement bourré de faute d’orthographe mais fermez les yeux j’ai fait au mieux. Merci pour vos retour, bisouille sur vos fesses droites ! MOUAHHH
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C’était un jour de soldes, et nous faisions les magasins avec mon copain. Ah oui, je m’appelle Liora et j’ai 23 ans, mais bref, ce n’est pas ce que je suis venue raconter… En ce jour de soldes d’hiver, je suis tombée follement amoureuse, non pas de mon copain, mais d’un sac ! Mamama, le sac de mes rêves, vert, petit, avec un petit ruban. Je me voyais déjà le porter avec une tenue noire ! Ça aurait été la pièce de couleur, le petit plus qui fait la différence. Après plus de dix minutes à le regarder en bavant, je me rends compte du prix ! 620 € !! Et, cerise sur le couscous, il n’est même pas soldé ! Ah, et en restant à rêver devant le sac, j’ai aussi perdu mon homme… Ne vous méprenez pas, j’aime mon homme, mais on dit bien que les bijoux et les sacs sont les meilleurs amis de la femme, non ?
Alors me vint une idée sournoise, machiavélique, mais… surtout illégale, ce dont je n’avais pas conscience avant la fin du récit, vous allez comprendre… Je me mis donc en mode Totally Spies et pris une étiquette de solde d’un autre article que j’accrochais à mon futur nouveau bébé !
Sac en main, je cherchais mon homme, Silas, qui a 26 ans… beau, brun, ténébreux, grand, musclé… ne vous emballez pas les filles, il est à moi ! Je le retrouve dans le magasin et lui montre ma merveilleuse trouvaille.
« Je vois, le sac est beau, mais pourquoi tu as ta main sur le Jacquemus en lettres d’or sur le côté… t’essaies de me cacher que c’est un sac affreusement cher ? » dit-il avec un ton rieur.
« Ah oui ! Ça pour être cher, il l’est, mais, oh regarde, il est en solde ! De 60% en plus ! Alors, ta copine, c’est pas la meilleure pour dénicher les bonnes affaires !! »
« Oui, quand ça la concerne surtout, quel était le prix de base ? »
Je rougis en me rappelant du prix et de ma supercherie. Je me dis que je vais arrêter mon mensonge, mais non, il me faut ce sac !
« Il coûte… Mhh… Enfin, il coûtait 620 €. »
« D’accord, je vois, ça fait un peu cher, non ? »
« Bébé, tu oublies la réduction ! »
« Ça va, je veux bien te faire plaisir, à condition que tu fasses le calcul et que tu me donnes le prix exact, sinon bye-bye le sac. »
Il me le disait avec un air narquois et moqueur ! Je ne pouvais pas faire marche arrière et je n’avais pas songé au prix après réduction, donc j’utilise mes trois derniers petits neurones qui dansent la samba (c’est à cause de la musique dans le magasin) et je réfléchis… AAAARGGG quelle est cette foutue formule de calcul !!!
« Est-ce que j’ai le droit à la calculatrice ? »
Bas quoi, je ne suis pas un Einstein non plus.
« Pour les calculs simples, vas-y, mais il me faut que tu me dises à voix haute ce que tu calcules. »
« D’accord, donc la remise est de 60%, donc on multiplie 0,60 par le prix ce qui nous donne 372, puis je soustrais ce nombre au prix, ce qui nous donne… 248 !! »
« Bravo princesse, on le prend ! »
Tout heureuse d’avoir réussi mon calcul, d’ailleurs, retenez-le, ça peut toujours servir, c’est là que je me rends compte que les maths, c’est important. J’ai oublié ma petite supercherie et au passage en caisse, je suis un peu stressée… La caissière passe le sac et le prix réel s’affiche, et, MON MEC LE VOIT, oulala ça ne sent pas bon pour moi, les amis du site, priez pour moi s’il vous plaît. Mon mari s’adresse à la caissière, non non non non, tais-toi, tais-toi nom d’une licorne magique.
« – Excusez-moi madame, vous devez vous tromper, ce sac n’est pas à ce prix, il est en solde de 60%.
– Non monsieur, je suis navrée, cet article n’est pas en solde du tout, de plus c’est la nouvelle collection, impossible qu’il soit mis ici à seulement 248 €, c’est sûrement une personne qui a mis l’étiquette de solde, regardez, il y a un nœud sur l’attache. »
Rhoo elle ne peut pas s’empêcher de donner des détails, elle là, son long monologue aussi… elle me met de plus en plus dans le pétrin, elle n’a pas idée. Silas, ayant compris, me lance un regard noir. Pardonnez-moi de ce terme amoindri, je voulais dire : un regard venant des ténèbres du fin fond de l’enfer.
« – Vous le prenez toujours donc ?
– Non merci madame ça va aller. Je répondis car Silas n’avais toujours pas détourné des yeux affamé de moi, hihi … c’est peut-être parce que je suis magnifique non ? »
De retour dans la voiture j’avais l’impression qu’Elsa avais embarqué avec nous tellement l’ambiance était glaciale, mais je n’étais ni libérer ni délivrer et a ce moment précis je ne savais pas ce qui allais m’attendre.
De retour à la maison, je n’en pouvais plus, je l’aime et être en froid (c’est le cas de le dire) comme ça avec lui me fait du mal
« – Bébé vraiment je suis désolé je ne voulais pas tu sais je suis tombé amoureuse …. Euh … de toi oui mais du sac aussi je le voulais je ne pensais pas à mal, je…
– Tu te rends compte que c’est illégal Liora ?– Je ne m’en rendais pas compte…
– Tu as toujours ta brosse en bois dans la salle de bain ?
– Oui, mais pourquoi ?
– Tu me la descends tu ne discutes pas, tu veux que je te pardonne ?
– Oui plus que tout
– Tu me fais confiance
– Évidemment
– Donc tu feras ce que je te dis. »
Je monte chercher ma belle brosse en bois au poil doux de sanglier qui brossais parfaitement mes cheveux rendant un fini doux et démêlé. Après ce qui c’est passer je vous jure je ne vois plus ma brosse comme avant, maintenant je la regarde mal cette garce ! Brosse tu étais sensé être de mon cotée !
Je lui donne donc la brosse et j’attend« – Bien Liora je n’accepte pas ton attitude, ce n’est pas la première fois que tu te permet de dépasser les limites et c’est à chaque fois moi qui répare tes boudes, tu dois aussi réparer tes erreurs.
– Je suis désolé Silas, je ne le referrais plus je …– Tut tut tut, Mon amour je vais te donner une fessée
– Excuse-moi ? Je crois que j’ai mal entendu, je vais prendre rendez-vous chez l’ophtalmo parce que j’entends des trucs chelou…
– Liora tu a très bien entendu, tu as besoin d’être puni comme un enfant qui fait les bêtises que tu fais. »
Je comprends ce qu’il veut dire je baisse à tête, a je ne faisais pas la fière, il prit ça pour une acceptation et une résiliation, il me bacula en travers de ses genoux, je sentais sa main grande et forte caresser mes fesses, ce dont j’avais l’habitude en temps normal, mais le je sentais que ça n’allait pas être aussi agréable que d’habitude.
Il leva sa main et claqua un première fois, je me demandais s’il n’avait pas utilisé une planche en bois tellement se premier coup m’a surprise. Pensez-vous qu’il n’y a qu’un coup ? Évidemment que non, il continua a claquer encore et encore, je sentais qu’on pouvait cuir des merguez sur mon cul. Puis d’un coup d’un seul je sens ma jupe blanche se relever EEEEHHH C’ETAIT PAS DANS LE CONTRAT CA !
Je mis ma main afin de redescendre ma jupe et pour protester mais une large main vînt plaquer la mienne sur mon dos et une vois que je ne connais que trop bien me dis
« Tu sais un grand homme a dit un jour qu’une bonne fessée se donnais toujours cul nu ! »
Je ne mis pas plus de résistance et évidemment ma culotte passa elle aussi par-dessus bord, les claques ont continué de plus belle, au début j’essayais de compter mais a partir de 50 je ne les comptais plus je me laissais aller, je comprenais la gravité de ma bêtises sous les claques qui me brûlais. Je commençais à gigoter les jambes, et dans ma douleur je me disais que cette danse de jambe irai à merveille avec la musique du magasin de tout à l’heure, je ri et Silas l’a entendu« – Ah je vois que ça te faire rire, on va passer au chose sérieuse bébé, ça ne me plaît pas de te punir ainsi mais tu en as besoin »
Je le vis prendre la brosse mais je ne comprenais toujours pas ce qu’il allait faire avec jusqu’au moment ou …. Misère, il l’a pris à l’envers … LES GARS IL VA ME TAPPER AVEC L’ARRIERE DE LA BROSSE ! En comprenant je commençais à gigoter telle un limaçon qui voulais s’échapper de l’oiseau qui allais le manger mais deux coups fort sur le bas de mes fesses me fit arrêter.
« – Liora, tu vas prendre ta punition si tu continues j’ajouterais des coups supplémentaires et tu gouteras au cuir de ma ceinture, ça te rappellera le cuir de ton sac.
– Haha, très drôle Silas
Il remit de coup qui m’on fit sursauter de douleur
– Merci mon amour, je sais que j’ai un talent fou pour l’humour »Il tapa mes fesses beaucoup moins fort que tout a l’heure avec cette maudite brosse mais qui me faisais terriblement mal étant donné les coups précédents, là je sentais que mes fesses n’était plus barbecue mais que c’était carrément la chaleur du soleil.
« – Bien, on va terminer par un petit calcul, si j’ai un sac de 110 euros et qu’il y a 60% de remise combien cela fait »
Prise par la douleur je n’arrive pas à réfléchir, mais mon imbécile de copain continue a claquer mes fesses encore et encore pendant que je réfléchis, tant que je ne donnerais pas la bonne réponse il ne cessera pas
« – 66 euros ? »
Une claque plus forte vînt s’abattre sur mon autrefois blanc fessier
« – 44 ! Oui 44 euros »
Les claques cessèrent
« – Bien, pour m’assurer que cette leçon a été apprise et que tu as voulu te jouer de moi alors tu vas recevoir 44 coups de plus et comme tu as dit que je n’étais pas drôle les 14 derniers ce sera avec ma ceinture. »
Il continua des plus belle, et je gigotais encore plus, chaque coup le rappeler la bêtise que j’avais faite et mon excitation grandissais de plus en plus, je trouvais mon homme encore plus sexy qu’il n’était, c’est normal ?
Il en avait enfin fini avec la brosse il me releva et je mis mas mains par reflexe sur mes fesses, mes fesses était si chaude mais avec sa ceinture il mit un coup sur mes mains je compris qu’il faut que je les enlève
« Couche toi sur le bord du canapé fesse en l’air »
J’obéis, le premier coup tombe *CHLACK* les larme commençais à monter, *CHLACK* le deuxième coup me fis pleurer, Silas l’avais entendu et hésitais a continuer je le sentais mais je sentis le troisième coup s’abattre jusqu’au quatorzième, mes fesses était en feu. Quand il eut fini Silas me releva et me pris dans ses bras en caressant mon derrière chaud comme de la braise. Il m’embrasse et me dis doucement
« -Je suis désolé Liora, mais je devais te punir, si tu recommences c’est ce qui arrivera dès maintenant »
Pour seul réponse je lui fis un câlin et lui dit :
« Merci »- cela monte crescendo …