Une pause fessée efficace

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  • #99589
    Fessochix
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    Professeur de français en lycée j’assurais bénévolement et en direct le perfectionnement dans notre langue auprès de nouveaux arrivants et aussi, mais avec rémunération, auprès d’étrangers devant l’utiliser pour leur travail, pour leurs affaires. Pour ces derniers c’était par correspondance Internet.

    Ayant acquis une certaine réputation je fus contacté, par des personnes de ma ville, pour combler les lacunes en orthographe de leur fille : pourtant étudiante en lettres. Elle allait aborder à la rentrée sa troisième année de licence. L’enseignement met de nos jours moins l’accent sur cette discipline. En école élémentaire les profs se disent que les élèves auront le temps au collège de se perfectionner ; et les profs de collège considèrent que les bases devraient être acquises. Leurs collègues n’ont selon eux pas fait leur travail. Et au lycée, dès la Seconde, orthographe grammaire et conjugaison sont supposées acquises. Ainsi certains étudiants même avec de bonnes capacités continuent de faire des fautes : on ne leur a pas non plus suffisamment appris les bases de notre langue écrite. Cela finit par leur faire tort. Et cette étudiante envisageait de passer des concours administratifs, l’orthographe fait alors la différence. Et en poste de responsabilité les fautes sur un rapport ou une note de service ne font pas bon effet !

    Étudiante majeure : pas loin de vingt et un ans. Mais les parents détenant les cordons de la bourse continuent souvent d’assurer certaines initiatives. Je leur proposai une première séance gratuite pour m’assurer qu’elle était d’accord. Elle vint chez moi fin mai après ses derniers cours à la fac, c’était sur son trajet et cela m’évitait de se déplacer. Elle m’expliqua que pour juin et juillet elle préférait effectuer ce rattrapage chez moi. Elle devait s’y sentir plus adulte que chez ses parents.

    Et elle ne manquera pas d’occasions de faire comprendre qu’elle est devenue grande : besoin qui trahit un côté encore petite fille. Et, même convaincue de la nécessité de ce rattrapage elle manifesta de temps à autre quelque rébellion, comme une élève de CM2 ou de sixième cinquième qui estime tout savoir et qui refuse qu’on lui réexplique une règle. Et je me surpris à élever la voix, comme si elle n’avait que onze ou douze ans. Elle l’acceptait, au moins momentanément, comme rassurée par mon autorité. Elle me demanda un jour si je punissais. Je lui répondis que non, que je mettrais fin à ces séances si ça n’allait plus. Elle fit la moue, elle s’imagina certainement malgré son âge sermonnée par ses parents. Elle devait préférer une punition !

    Elle arriva très en retard pour une séance de juin, alors qu’elle n’avait plus d’examens à la fac : aucune excuse. Et elle n’avait pas fait les exercices d’entraînement que je lui avais donnés. Je lui demandai de repartir et lui dis que j’informerai ses parents de cet incident : qu’ils ne me paient pas la séance que je m’apprêtais à annuler.

    « Oh non, laissez mes parents tranquilles : réglez cela avec moi !

    -Et que veux-tu que je fasse ? que je te donne des lignes à copier ? »

    Je m’étais mis à la tutoyer.

    « Non, ils pourraient s’en apercevoir, et c’est long, ce genre de pensum…vous n’avez pas plus rapide ? et réalisable ici ? pour commencer la séance ?

    -Tu veux faire du ménage ?

    -Mais non, et c’est très propre, chez vous. »

    Je commençais à me dire qu’une fessée lui ferait du bien : et la lui donner me décrisperait, elle m’avait mis sous tension. J’avais déjà pratiqué, plus jeune, avec des étudiantes qui avaient mon âge. Sur pied d’égalité j’étais assuré de leur consentement, et les déculotter faisait partie du jeu. Avec elle cela s’annonçait comme un devoir. Je me levai et la pris par les avant-bras.

    « Tu ne veux pas copier de lignes ? Je te comprends, et une fessée va être plus efficace. »

    Plutôt petite, je la penchai sous mon bras gauche et sans autre forme de procès je lui claquai les fesses par dessus sa salopette short rose, assortie à un tee-shirt à rayures noires : une jolie tenue de printemps. Cela la fit rire.

    « Ah non, ah non, mais j’ai vingt ans ! Et presque vingt et un ! C’est quoi ces manières ? Pas comme ça, pas comme ça…

    -Pas comme ça ? Attends un peu… »

    Je la redressai et déboutonnai les bretelles de sa salopette.

    « Vous me déshabillez ?

    -C’est une autre façon de donner la fessée. Tu ne voulais pas comme ça ? ça va être autrement !

    -Mais ça va faire mal !

    -J’y compte bien… »

    Je plaçai une chaise au milieu de la pièce et lui demandai de s’approcher, la plaçai de côté puis descendis la salopette avant de la coucher en travers de mes genoux. Elle portait une simple culotte blanche, un peu épaisse, qui protégeait un peu, et surtout préservait sa pudeur. Vu nos écarts en âge et surtout mon statut je n’osais pas de moi-même aller jusqu’au bout. Et bien que majeure ce n’était pas vraiment mon rôle que de lui donner la fessée : mais cela lui faisait du bien ; du mal et du bien. Elle ne riait plus mais restait stoïque, montrant qu’elle l’avait bien cherché et méritée. Elle finit quand même par pousser de petits gémissements. Je fis une pause.

    « C’est terminé ?

    -Encore un peu, que tu aies bien mal !

    – Pour la honte, je m’en tire bien…

    -Pour l’instant !

    -Vous oseriez ? »

    C’était une incitation. Et elle souleva d’un côté puis de l’autre son bassin pour m’aider à lui descendre la culotte. Ses jolies fesses étaient déjà bien rouges. Je n’en aurai pas pour longtemps à lui faire lâcher prise.Ses gémissements devinrent de petits cris qui finirent en un long soulagement. Elle se mit alors à remuer les fesses en plaçant sa main entre ses cuisses.

    « Mais c’est une punition ! Qu’est-ce que tu fais là ?

    -C’était une punition, il est temps de passer à autre chose…donne-moi ta main et continue la fessée de l’autre, mais doucement.

    Elle me guida vers son plaisir, tout en continuant de recevoir une fessée, mais douce et gentille. Elle jouit avec ostentation, se reposa un instant puis se leva pour aller vers un fauteuil, sans remonter ses vêtements.

    « Maintenant, à ton tour !

    -Mon tour ?

    -De jouir ! Je te dois bien ça. Va chercher une serviette. »

    Elle la posa sur ses genoux et me déculotta.

    « Monsieur est bien excité ! En donnant la fessée ? Tu ne peux pas rester comme ça…mais prends ton temps. »

    Elle eut un beau sourire en me regardant arroser la serviette. Elle passa ensuite à la salle de bains, puis ce fut mon tour de me savonner et de me réajuster.

    « Je me sens mieux…on fait de l’orthographe ? »

    Elle resta ensuite pour dîner, ses parents étaient sortis. Omelette nouilles et salade : le classique quand rien n’a été prévu ! Elle fit beaucoup de progrès en juin et juillet, et partit en vacances en août. Moins de séances pendant la troisième année de licence, elle ne pouvait pas être partout, et elles étaient aussi moins nécessaires.

    Nous sommes restés longtemps sans parler de cette fessée, ni la fessée en général. Et une bien réussie ne promet pas que les suivantes le seront : autant rester sur une bonne impression. Elle avait aussi gagné en maturité, elle n’avait plus besoin d’être, bien que majeure, punie comme une petite fille. Et sa fessée s’était prolongée par une relation avec une vraie femme. Je lui avais assuré la transition : ce qui n’empêche pas de jouer la petite fille. Tout est possible, entre adultes consentants. Elle avait bien fait de me provoquer. A l’utile de l’orthographe elle avait joint l’agréable. Je pouvais être content de moi, même si elle avait montré de bonnes dispositions, dont j’ignore les antécédents, pour la fessée.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 semaine et 1 jour par Fessochix.
    • Ce sujet a été modifié le il y a 1 semaine et 1 jour par Fessochix.
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    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #99595
    Rony
    Participant


    Charmant récit.
    Et puis j’aime bien quand les demoiselles prennent du plaisir sous la fessée 🙂

    J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.

    #99597
    Fessochix
    Participant


    Charmant récit. Et puis j’aime bien quand les demoiselles prennent du plaisir sous la fessée 🙂.

    Et c’est là Rony la philosophie de ce site : la demoiselle ou la dame, et les deux participants, doivent aimer  la fessée. Ce qui n’empêche pas  éventuellement la crainte de la recevoir ou  le sentiment d’être , et fort justement, punie. Elle peut aussi faire mal et susciter la honte : mais c’ est apprécié, des amatrices…

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #99648
    Efficace
    Participant


    Bonjour et bravo pour ce récit, c’est frais et spontané. Toutefois je précise que “Efficace” est protégé à l’I.N.P.I.” et son emploi soumis à royalties ….. si si

    Efficace

    #99650
    Fessochix
    Participant


    Comme “Timide ” et “Grincheux”, donc.

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #99665
    Mister_T
    Participant


    Un très beau récit. Comme quoi il n’y a pas d’âge pour apprécier l’intérêt d’une bonne fessée. Et le style, tout à fait dans l’esprit du site, est un bonheur. Bravo et merci !

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