Une fessée locale et bio

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  • #70564
    Rony
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    Jean-Michel avait repéré la jeune fille dès son entrée dans la boutique. Elle butinait dans les rayonnages de miel et autres produits artisanaux depuis un bon moment. Et comme par hasard, son petit sac à dos semblait se remplir comme par magie. Ce n’était pas très malin de jouer à la voleuse en cette fin de saison, la petite échope de Jean-Michel n’était désormais visitée que par quelques touristes anglais ou allemands en retraite et la jeune femme ne pouvait plus vraiment se fondre dans la foule. Une fin d’été typique de ce petit coin de Bretagne, dans un modeste commerce artisanal de miel, cidres et jus de pommes bio.
    Jean Michel, saluant un couple de clients qui sortaient, verrouilla rapidement la porte de son commerce, retournant le petit panneau côté « fermé » et s ‘apprêta donc à traiter avec la fautive.
    Cette dernière s’approchait justement de la sortie, avec un air ingénu très étudié. Elle avait la vingtaine, des cheveux bruns et un joli nez en trompette. Un petit t-shirt, un short moulant et des baskets laissaient peu de place à l’imagination. Indéniablement jolie, songea Jean-Michel.

    _ »Vous comptez payer tout ça, mademoiselle ? » demanda-t-il d’une voix posée alors que la jeune femme buttait sur la porte dorénavant fermée. Elle se retourna lentement, visiblement inquiète.
    _ « Ecoutez, posez le contenu de votre sac sur le comptoir et on va s’arranger » continua le commerçant, ferme mais calme.
    La fille, penaude, sortit de son sac plusieurs pots de miel (parmi les plus chers, s’il vous plaît) et quelques bières aromatisées. Elle n’avait pas décroché un mot.
    _ «  Vous avez de quoi payer, bien-sûr ? »
    Elle hésita

    _ »Non, Monsieur. Je m’excuse, je suis désolée ».
    _ « Bon, y’a pas mort d’homme, hein. Au moins tu fais pas semblant d’être innocente. Du coup, on n’a pas besoin de mettre la gendarmerie au courant de ce petit dérapage, non ? »
    _ »Non, non !C’est la première fois que je fais ça, je suis désolée, je recommencerai plus ! » bafouilla la jeune femme.
    _ » J’espère bien. En attendant, je vais devoir te punir. »
    Elle se figea.
    _ »Pardon ? »
    _ » Tu admettras que je te fais une fleur en n’appelant pas la maréchaussée. Mais tu ne t’en sortiras pas sans une bonne correction, il faut marquer le coup » continua le marchand.
    _ »Vous…Vous allez me punir comment ? » bredouilla-t-elle, les yeux écarquillés.
    _ »Suis moi » ordonna-t-il en ouvrant la porte en bois qui menait à une courette derrière la boutique. Quelques pommiers poussaient parmi un sol de terre meuble. Au fond, on distinguait l’entrée d’une jolie chaumière. L’endroit avait du charme et semblait hors du temps.

    _ »Choisis une branche » asséna Jean-Michel en désignant un fagot posé contre un mur.
    La fille, hésitante, tripotait maintenant les boutures.
    _ »Vous allez faire quoi ? »
    _ »Te punir, je t’ai dit » coupa-t-il sèchement. « Tu t ‘appelles comment ? Moi c’est Jean-Michel »
    _ »Nora » lâche-t-elle, une branche toujours à la main
    _« Allez, assez tergiversé, jeune fille ! » lança Jean-Michel.
    Il saisit la branche d’une main,le poignet de la fille de l’autre et l’attira dans la petite maison au fond de la cour.

    La bâtisse était basse de plafond et assez sombre. Nora eut le temps de distinguer un joli intérieur rustique, une large table et un banc en bois massif. Mais ce qu’elle eût le temps de détailler par contre fût le carrelage, une fois que Jean-Michel l’eût basculée en travers de ses genoux. Dans cette posture, son petit short lui moulait indécemment le derrière.
    Jean-Michel, une fois la jeune fille bien calée sur ses genoux, reprit la parole.
    _ »Bon, Nora, on va faire ça vite et bien. Tu as fait une grosse bêtise, tu vas être punie comme tu le mérites. Tu pourrais être ma fille, je vais te coller une bonne fessée »

    _ » Quoi ?! Non, pas comme ça ! » cria la jeune femme
    Jean Michel fit siffler plusieurs fois la fine badine qu’il tenait en main d’un geste de connaisseur, cala sa main gauche au creux des reins de la fille. Et sur ces entrefaites il commença de fouetter le joli séant désormais à sa merci.
    Car si Nora avait une silhouette plutôt menue, son large derrière contrastait un peu. Large, haut perché et insolent mais avec un peu de gras, il était au goût de pas mal d’hommes. Et cela, du haut de ses vingt ans, Nora en avait bien conscience. Néanmoins jusqu’ici personne n’avait eu l’idée saugrenue de lui fouetter le cul, pas même son cher papa.
    Et pour l’heure elle n’était pas sûre d’apprécier.
    Jean-Michel, dans la fleur de l’âge, ne se laissait pas attendrir par la jolie vue. Les coups de badine se succédaient à grande vitesse. Il veillait à frapper uniquement le gras des fesses, épargnant les cuisses nues de sa victime. De toutes façons, le mince short en lycra offrait une protection très relative aux jolies courbes. Nora avait depuis longtemps commencé à battre des jambes et se tortiller, le short laissait maintenant apparaître une partie de la naissance de ses fesses, déjà bien rougies.
    Bon sang, quel pétard, songea Jean Michel en veillant à appliquer une fessée de qualité, bien rythmée.
    wish

    _ »Aïe »

    wish
    _ « Ouille »
    wish
    _ »S’il vous plaît, stop ! »
    La douce musique de la fessée emplissait la pièce depuis plusieurs minutes, Nora commençait à être vraiment très bruyante et hurlait maintenant à pleine gorge.
    Jean-Michel, goguenard : « N’hésitez pas à crier, jeune fille, les murs sont épais ».
    La correction continuait et le commerçant ne faiblissait pas. Il était conscient d’avoir le devoir sacré de remettre une jeune âme dans le droit chemin. Que cette jeune âme s’avère avoir un très joli cul s’avérait bien-sûr une heureuse coïncidence. Cette fessée était avant tout un service qu’il lui rendait, songeait-il en admirant les roulements lascifs des deux globes rebondis qui se contractaient et bondissaient sous les morsures du fouet.
    Depuis un moment déjà, il avait coincé les jambes de Nora avec sa propre cuisse, la punie commençait en effet à se débattre trop violemment. Il en avait profité pour surélever encore le joli derrière et accentuer la cambrure de la petite voleuse. Cette dernière, les cheveux balayant le sol et les mains crispés sur le tibia de son tourmenteur n’était pas vraiment consciente de cet état de fait, tout occupée qu’elle était à recevoir une fessée décidément magistrale. A chaque coup de badine, elle hurlait et demandait pardon. Les larmes n’était pas loin.
    Jean-Michel, qui n’était pas un mauvais bougre, cessa la fessée. Il posa la badine sur la table, Nora toujours couchée en travers de ses genoux.
    _ « Bon, je crois que ça suffira avec le fouet » déclara-t-il
    _ « Ouf, c’est pas trop tôt » grommela Nora en commençant de se relever
    _ « Mais je n’en ai pas fini avec toi, petite » asséna Jean-Michel, péremptoire. Il saisit l’ourlet du short et le baissa sans vergogne, révélant une sage culotte de coton rose.

    _ « Oh,non, pas ça ! Non ! » criait déjà Nora.
    _ « Et c’est pas fini » continua son tourmenteur pendant qu’il la déculottait totalement. Il saisit ensuite d’un même mouvement short et petites culotte qui étaient entortillés aux chevilles de la punie et jeta les petites pièces de tissu dans un coin de la pièce. Nora ne cherchait même plus à se débattre, la scène semblait figée.
    La jeune fille, désormais nue à partir de la taille (si ce n’est une paire de baskets blanches d’une marque à trois bandes) offrait un tableau charmant. Elle pratiquait visiblement le bronzage intégral et l’ensemble de son corps avait une couleur dorée homogène, fruit d’un bel été ensoleillé. Ses jolies fesses étaient bien sûr zébrées de dizaines de traits rouges, mais cela ajoutait à la beauté de cette croupe désormais bien punie.
    Jean Michel prit un moment pour admirer la beauté de ce postérieur. Il ne put s’empêcher de complimenter la jeune voleuse

    _ « Tu as un de ces culs, ma jolie » souffla-t-il, ému.
    Nora, se tortillant sur les genoux du commerçant, le fixa dans les yeux.
    _ « Vous trouvez ? Moi je le trouve trop gros. » répliqua-t-elle.
    _ « Ne te mets pas de telles bêtises en tête, tu es magnifique. » dit Jean Michel en commençant à caresser les jolies fesses. Il en appréciait maintenant la texture, le velouté. La peau de pêche d’une fille de vingt ans. Les globes irradiaient une douce chaleur, le rouge des zébrures tournait au rose léger.
    Jean-Michel reprit

    _ « Tu as été courageuse, jusqu’ici tu as pris ta punition comme une grande. Mais ça n’est pas fini. Comme je te l’ai dit,il faut marquer le coup »
    A ces mots, il leva haut la main et l’abattit avec force sur les fesses de Nora. Ses paluches étaient de vraies battoirs et couvraient une partie non négligeable du derrière pourtant large de la jeune femme. Cette dernière poussa un cri bref, décollant ses hanches des genoux de Jean Michel, mais reprit sa position initiale, docile. Jean Mich avait déjà le bras levé pour continuer la fessée.
    Une fessée traditionnelle donc : sur les genoux, cul nu, comme une gamine. Nora aurait dû être morte de honte mais bizarrement cette nouvelle phase de la punition déclenchait en elle de troublantes émotions. La chaleur qui irradiait de son cul semblait se diffuser dans tout le bas ventre, provoquant une excitation grandissante et jusqu’ici jamais ressentie. Inconsciemment, à chaque claque, Nora offrait et tendait son cul à la fessée. Ce faisant, elle offrait une vue imprenable sur toutes ses parties les plus intimes à son fesseur. Ses cris se faisaient plus rauques, elle tentait de garder contenance en agrippant un des pieds du banc.
    Jean-Michel, tout à sa tâche, ne semblait avoir rien remarqué. Au bout de quelques dizaines de claques sévères mais justes, il reprit la parole :

    « On approche de la fin de ta fessée, alors répète après moi! »

    Nora sembla opiner de la tête
    _«  A l’avenir »
    _« Je ferai l’effort »
    _« D’acheter »
    _« Et surtout pas de VOLER»
    _« Des produits sains »
    _« Fabriqués par de petits paysans »
    _« C’est bon pour ma santé »
    _« Et pour le pays »
    Chaque phrase était ponctuée d’une claque d’intensité croissante sur le cul désormais cramoisi de Nora. Elle hurlait à chaque coup mais se plia courageusement aux ordres jusqu’à l’ultime taloche. Jean Michel laissa reposer sa main au creux des reins de la punie. Cette dernière ne bougeait plus, ne tentant même pas de frotter des fesses pourtant écarlates.
    Le commerçant prit la parole pour féliciter la jeune fille
    _ »Je te félicite, tu as été courageuse. Je vais te faire essayer un produit qui calmera la douleur, c’est un baume à base de miel, tu m’en diras des nouvelles». Tout en gardant Nora couchée en travers de ses genoux, il se pencha pour saisir un bocal à une extrémité de la table.
    Il appliqua une noix du mélange dorée sur les jolies fesses et commença à masser les rondeurs pour faire pénétrer le produit.

    _ « Tu vas voir, ce baume est magique »
    Ses mains couvraient et malaxaient l’ensemble du cul de la punie, tentant de ne laisser aucune zone épargnée par la crème réparatrice. Rapidement, le gros derrière fut luisant et poisseux, exhalant une douce odeur de miel. Nora commençait à produire des sons assez caractéristiques et Jean Michel, enhardi, envoya quelques doigts inquisiteurs explorer le sexe de la jeune fille. Il ne fut guère surpris de le découvrir littéralement trempé. Les gros doigts du commerçant jouèrent longuement avec les muqueuses offertes, amenant la jeune femme au bord de l’orgasme.
    Puis, tendrement mais fermement, il positionna Nora à quatre pattes sur la table. Les jambes écartées et les fesses tendues vers le ciel, dans une position parfaitement impudique, il pouvait admirer la rondeur parfaite de son derrière bien puni, la fente de sa petite chatte rose et luisante, la fine pastille de son anus.
    Il mit ensuite du cœur à l’ouvrage pour faire oublier à la jeune fille les morsures de la fessée. Ecartant des mains les gros globes brûlants, enfoncé au cœur de ce cul glorieux et rougi, le visage de Jean Michel fut rapidement couvert d’un mélange de cyprine et de miel, tandis que les gémissement de Nora et une odeur musquée emplissaient la pièce. De la langue et des doigts, il explora longuement tous les trous offerts.

    Jean Michel eut tout loisir ensuite de faire essayer à Nora sa production locale et bio. La jeune femme eut notamment l’occasion de sucer une bite enduite d’un miel délicieux et crémeux. Et le baume “magique” servit entre autres choses à dilater le petit trou du cul de la voleuse désormais repentie pour lui faire découvrir des délices jusqu’ici inconnus.

    Au final, Nora cria beaucoup cet après-midi là.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 2 années et 7 mois par Rony.

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

    #70566
    BadCristou
    Participant


    La honte d’être prise sur le fait, la découverte de la fessée… Jolie histoire, même si elle part un peu en “sucette” sur la fin 😉

    #70567
    Rony
    Participant


    La honte d’être prise sur le fait, la découverte de la fessée… Jolie histoire, même si elle part un peu en “sucette” sur la fin

    😉

    Oui, une sucette à l’anis, quoi 🙂 J’avoue que pour moi la fessée est souvent un préliminaire à d’autres jeux.

     

    Viser la lune, ça ne me fait pas peur.

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