Une fessée et rien d’autre

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  • Ce sujet contient 7 réponses, 6 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 5 années.
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  • #44743
    Myroir
    Participant


    Tout était convenu d’avance et il n’était pas question de dévier d’un iota du scénario que nous avions écrit ensemble avant notre rencontre. Ce scénario, nous l’avions écrit très rapidement, car il était guidé par la nature même du fantasme que nous voulions tous les deux assouvir. Un fantasme simple, banal mais épuré à l’extrême. Il s’agissait qu’elle vienne chez moi afin de recevoir une fessée déculottée. Mais l’originalité, c’était que nous devions être de parfaits inconnus l’un pour l’autre et que nos échanges préliminaires seraient ceux de parfaits inconnus. Nous n’avions même pas échangé nos prénoms.

    La réalisation d’un tel fantasme se heurte à la difficulté de se faire confiance alors même que nous sommes des étrangers. Pour des raisons évidentes, c’est assez difficile pour une femme. Mais ça l’est également pour moi, qui suis toujours en quête de sincérité. Mais nous avions réussi à intégrer cette contrainte, durant quelques heures de Chat et une conversation téléphonique assez courte durant laquelle des mots simples coulaient de façon naturelle. Sa voix me plaisait et m’inspirait confiance. Nous nous sommes contentés de rappeler les détails du scénario déjà élaboré par écrit.

    Le jour J est arrivé. Je lui avais donné le code d’entrée de ma résidence ainsi que le numéro d’interphone. Elle aurait pu connaître mon nom en cherchant la boîte aux lettres correspondante. Mais dans l’esprit de notre fantasme, il n’en était pas question. Elle s’est contentée d’annoncer :
    – C’est moi
    – Bonjour Mademoiselle, troisième étage porte de gauche.

    Quelques minutes plus tard, elle a sonné à ma porte, j’ai ouvert et nous nous sommes fait la bise en toute simplicité. Elle s’était habillée comme convenue : un jean délavé assez moulant qui mettait en valeur ses fesses un peu rondes et un T-shirt blanc qui moulait pour sa part sa poitrine de taille moyenne. Je l’ai invitée à s’asseoir sur un fauteuil dans le séjour et je suis parti dans la cuisine en disant :

    – Un petit verre de Bordeaux vous ferait plaisir, c’est cela ?
    – Oui s’il vous plaît, avec plaisir.

    Puis je suis revenu dans le séjour et me suis assis sur le canapé. Elle n’était pas exactement en face de moi. Il fallait que je tourne la tête vers la gauche pour lui parler. Nous n’avions pas planifié le sujet de notre conversation mais il devait être sans rapport avec la fessée. J’ai remarqué qu’elle jetait un coup d’œil sur ma terrasse.

    – Vous avez vu ? Mon rosier est déjà en train de fleurir. Il n’y a vraiment plus de saison.
    – Je vois que vous avez aussi un laurier rose qui bourgeonne également…

    Inutile que je développe le contenu de cette conversation qui n’avait d’autre intérêt que de donner un cadre banal à notre fantasme. Nous aurions pu convenir que la fessée que j’allais lui administrer serais motivée par un acte, une bêtise quelconque. Elle aurait pu casser son verre, faire dans sa culotte, critiquer la décoration de mon appartement ou allumer une cigarette. Tout cela était intéressant mais nous l’avions tous les deux vécus chacun de notre côté. Aujourd’hui, nous voulions que les choses se passent bien plus simplement.

    Ainsi, alors même que nous discutions, elle s’est levé et a baissé son jean, sans chichis ni strip-tease. Elle l’a posé sur le dossier du fauteuil voisin. Elle portait une culotte en dentelle noire. Nous aurions pu convenir qu’elle porterait une culotte blanche en coton, comme les vilaines petites filles. Cela aurait été excitant mais banal. Nous avions convenu qu’elle venait chez moi en tant que femme adulte. Elle s’est rassise, les jambes nues et imperceptiblement écartées, sans chercher à masquer son entrejambe ni à me l’exposer de façon impudique. Quant à moi, je restais dans ma tenue initiale : jean gris clair, ceinture en cuir, chemise blanche et blazer noir. Bien qu’étant chez moi, j’avais gardé mes chaussures de ville.

    Tout en continuant à me parler d’un sujet anodin, elle a enlevé son T-shirt et a dévoilé son soutien-gorge en dentelle noire, qui mettait en valeur sa poitrine. Nous avions beaucoup discuté de ce point. Elle comme moi avions envie qu’elle dévoile entièrement sa poitrine. Mais cela ne cadrait pas avec l’esprit de notre fantasme, qui devait rester épuré. D’un autre côté, nous ne voulions pas renoncer à une touche d’érotisme, au-delà de la fessée elle-même. Nous avions donc trouvé ce compromis : elle enlèverait son T-shirt mais resterait en soutien-gorge.

    J’ai attendu qu’elle ait fini de boire son verre de Bordeaux pour prononcer la phrase que nous avions convenue, sans toutefois aller jusqu’à la préciser au mot près :
    – Mademoiselle, il est temps que je vous administre une fessée déculottée.
    – Oui Monsieur, comment souhaitez-vous que l’on procède ?
    – Venez simplement vous allonger en travers de mes cuisses.

    Assis, les fesses justes au bord du canapé, j’avais les cuisses au-dessus du parquet. Si bien qu’en s’allongeant, elle avait obligatoirement la tête proche du sol. C’était un faire confortable. Nous avions convenu que je la fesserai sans préliminaires mais la vue de ses deux lobes m’a fugacement détourné de cette résolution. Je n’ai pu m’empêcher de lui caresser les fesses.

    – Vous avez un superbe cul, Mademoiselle.
    – Je vous remercie, c’est très aimable à vous, m’a-t-elle simplement répondu. À l’évidence, ce petit écart ne la contrariait guère.

    Puis j’ai baissé sa culotte, juste assez pour dévoiler entièrement ses fesses. Il n’était pas question de l’enlever complètement. Nous avions convenu qu’avec les cuisses ainsi entravées, elle se sentirait plus vulnérable. Elle s’est légèrement tortillée sur mes cuisses. Je me suis demandé si elle cherchait une position plus confortable ou si elle essayait de voler un peu de plaisir, en se frottant sur la bosse naissante de mon jean, qu’il m’était impossible de contrôler. Un inévitable effet collatéral que nous avions évoqué par écrit mais qui devait rester anecdotique. Ma main s’est abattue sans le moindre signe annonciateur. Les claquements caractéristiques d’une fessée ont fendu l’air, au rythme du son de sa voix qui hésitait entre cri et gémissement. Je l’ai fessée durant plusieurs minutes. D’abord immobile, elle a commencé peu à peu à se tortiller d’un mouvement involontaire ou irrépressible, ce qui a eu pour effet de faire encore gonfler ma bosse. Mais il n’était pas question que les choses dérapent. Je me suis donc arrêté de la fessée :
    – Mademoiselle, je vous en prie, un peu de tenue. C’est très inconvenant. Vous n’êtes pas ici pour vous branler contre moi.
    – Je vous prie de m’excuser Monsieur, je vais mieux me contrôler.
    – Vous êtes sure ? Puis-je reprendre ?
    – Oui s’il vous plaît, reprenez.

    J’ai recommencé à la fessée, un peu plus fort, tout en continuant à lui parler.
    – Vous vous souvenez de ce que nous avions convenu. Je vous administre une fessée déculottée. Et c’est tout.
    – Oui Monsieur.
    – Il n’est pas question pour vous ni pour moi, de jouir sexuellement.
    – Oui, Monsieur, excusez-moi.
    – Ce serait parfaitement inconvenant.
    – Oui…

    Elle a recommencé à se tortiller. Je sentais qu’il était impossible pour elle de se contrôler complètement. Je ne l’ai pas grondé davantage, par pur égoïsme : ses mouvements me procuraient du plaisir. Mais je me suis remémoré nos longues discussions. Pour que notre fantasme soit une parfaite réussite, il fallait que nous tenions jusqu’au bout. Il fallait qu’à la fin de la fessée, je remonte sa culotte, qu’elle remette elle-même son pantalon, qu’elle enfile son T-shirt et que nous nous disions à revoir, comme si elle était simplement venue boire un verre chez moi. Et c’est presque ainsi que les choses se sont passées. A un petit détail près. Après avoir donné la dernière claque, je n’ai pu m’empêcher de glisser ma main entre ses cuisses pour contrôler l’état de son sexe. Elle a juste réprimé un petit gémissement qui aurait dû être réprobateur mais qui ne l’était pas. notre frustration était extrême. Mais j’ai réussi à enchaîner sur le scénario. Je l’ai raccompagnée jusqu’au pas de ma porte. Je lui fais une chaste bise. Elle a appelé l’ascenseur et je n’ai même pas attendu qu’il arrive pour fermer ma porte.

    Tu es décidément une vilaine fille. Monte dans la chambre et attends-moi.

    #44796
    Anonyme
    Inactif


    Hummm Délicieux ce récit, merci d’avoir partagé votre aventure.

    #44797
    Rem25
    Participant


    Parfait ce récit

    #44798
    Myroir
    Participant


    Hummm Délicieux ce récit, merci d’avoir partagé votre aventure.

    Je n’ai pas vécu cette aventure. J’ai vécu “pire” mais pas ce fantasme aussi épuré 🙂

    Tu es décidément une vilaine fille. Monte dans la chambre et attends-moi.

    #44804
    Badine79
    Participant


    Bonjour
    Un délicieux recit j adore merci pour ce partage

    #44807
    Zatopek33
    Bloqué


    ” pire ” ? Qu’est-ce que cela doit être ? Notre curiosité est délicieusement titillée …

    #44809
    Myroir
    Participant


    ” pire ” ? Qu’est-ce que cela doit être ? Notre curiosité est délicieusement titillée …

    Hé bien on peut considérer que tout ce que nous avons évité de faire dans ce récit, je l’ai fait au moins durant une vraie rencontre 🙂 Mais ce fantasme tel que je le raconte, reste à ce jour un fantasme.

    Tu es décidément une vilaine fille. Monte dans la chambre et attends-moi.

    #44842
    Anonyme
    Inactif


    beau récit et quel fantasme et scénario

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