Une deuxième fessée pour Madame

[Léandre]

C’était un jeudi soir. Pour une fois je ne travaillais pas ce soir-là. J’étais seul à la maison car ma moitié avait décidé de sortir boire un verre avec ses copines. J’avais pour ma part préféré rester à la maison. Travaillant au bar presque tous les soirs j’appréciais de rester au calme mes rares soirs de libre.

J’attendais tout de même le retour Madame avec impatience, content de pouvoir passer la deuxième partie de soirée en amoureux.

Mais un peu avant 22h30, heure à laquelle elle m’avait dit qu’elle rentrait, je sentis mon téléphone vibrer. Un message de Madame.

« Je suis désolé chérie, je reste un peu plus tard que prévu. On est en train de jouer au billard avec les filles »

Pas de problème pour moi, même si j’aurais aimé être prévenue un peu plus en avance.

Au moins je sais où elle est. Et puis c’est jeudi soir quand même ! Si j’étais encore étudiant je serais sans doute moi aussi de sorti.

Nous échangeons ensuite quelques messages dans lesquels elle me promet de ne pas tarder.

Je prends donc mon mal en patience allongé sur le canapé.

A peine vingt minutes plus tard je reçois un message de ma chérie dans lequel elle me dit qu’elle est sortie du bar et qu’elle commence à rentrer. Ma patience est récompensée.

D’autant plus qu’elle rajoute.

« J’ai vraiment très envie de toi ce soir, hâte d’être à la maison »

Nous échangeons à nouveau quelques SMS dans lesquels je lui fais part de la réciprocité de ses désirs.

Pourtant trente minutes plus tard pas de signe de Madame. Je sais que normalement seulement une vingtaine de minute la sépare de chez nous. Je commence donc à m’impatienter.

J’envoie donc rapidement un énième message pour savoir où elle en est.

Je reçois une réponse seulement un quart d’heure plus tard.

« Désolé amour, je suis resté discuter avec les filles devant le bar. Mais là je suis en chemin j’arrive bientôt »

« Mouais tu pourrais quand même te dépêcher un peu, ça fait un moment que je t’attends » Répondais je, de mauvaise humeur.

« je suis vraiment désolé mon cœur. En rentrant je te sucerais pour me faire pardonner. Et puis après j’ai bien envie que tu me prennes bien fort »

Même si je dois avouer que ses mots ne me laissent pas totalement indifférent. Je suis un peu étonné, ce n’est pas dans les habitudes de ma chérie de me parler comme cela. Je comprends que c’est surement un petit peu trop d’alcool qui la dévergonde. Et je suis énervé, même si la proposition est assurément intéressante. Je n’aime pas qu’elle pense pouvoir se permettre de rentrer en retard et me manipuler comme cela.

Etant donné qu’elle me parait être déjà bien chaude je me dis que c’est le moment de profiter de la situation pour de nouveau expérimenter ce que nous avions mis en pratique lors de son retour de Corée.

« Tout ce que tu vas prendre c’est la fessée, avec une bonne claque par minutes de retard ! »

Cette fois elle me répondit très rapidement.

« Non je crois pas ! Aucune fessée n’a été convenue Monsieur ! Et je rentre quand je veux je suis grande ! »

 

« Apparemment pas assez grande pour rentrer à l’heure. A ta place je me dépêcherais le temps défile, je compte les minutes »

« Non c’est bon je suis presque là, je suis dans la rue. A tout de suite Amour »

Quelques minutes après j’entendit des pas dans l’escalier puis la serrure s’ouvrir difficilement. Puis ma copine rentrer dans l’appartement. Alors que je m’approchais d’elle, elle me sauta au cou pour m’embrasser.

Son haleine sentait la bière fruitée et ses joues était rosé. Je me rendais compte qu’elle était plus soul que je le pensais. Pas très attirant pensais je.

Je l’aidais à enlever son manteau et ses chaussures. En lui demandant si sa soirée c’était bien passé. Apparemment elle s’était bien amusée.

Je la conduisis dans notre chambre en lui demandant si elle voulait un verre d’eau avant de dormir.

C’est alors qu’elle me poussa sur le lit. Surpris je tombais et alors que j’étais en train de me redresser en position assise, elle s’assit en amazone sur moi avant de m’embrasser goulument.

Alors que je la repoussais gentiment, ne me susurra à l’oreille.

• J’ai envie de toi.
• Tu sais mon cœur tu as un peu trop bu ce n’est pas très sexy.
• Allé j’ai envie de faire l’amour s’il te plait.

Je la repoussais un peu plus pour pouvoir la regarder dans les yeux.

• Non pas maintenant. Et puis avant toute chose tu dois prendre ta fessée de retard !
• Roooh ça va je suis pas trop en retard. Et puis on n’avait jamais conclu ça !
• Si tu es beaucoup trop en retard et ton comportement mérite d’être punit. Si tu veux tu peux aller dormir maintenant mais demain je m’expliquerais avec tes fesses !

A ces mots Madame pris une moue boudeuse.

• Gnagnagna il va rien se passer demain. Et puis j’ai bu que trois pinte ça va ! Et puis j’ai pas sommeil. Sinon on pourrait regarder un film ?
• Non on ne fera rien ensemble tant que tu n’auras pas reçu ta fessée c’est comme ça.

C’est alors que Madame se laissa tomber lentement à genoux parterre devant le lit.

– Au lieu d’une fessée je pourrais peut-être me faire pardonner autrement ? »

Dit-elle, en me caressant les cuisses et me fixant du regard en humidifiant ses lèvres.

Décidément elle avait du culot ce soir. Mais je n’allais pas me laisser corrompre aussi facilement. Aussi je décidais que finalement Madame semblait suffisamment sobre pour une fessée.

Je l’attrapais sous les bras pour la redresser.

•  Je t’ai dit que non ! Puisque tu à l’air en forme je vais m’occuper de tes fesses pour te calmer »

Je la tirais fermement par les poignets et Madame se retrouva allongé sur mes genoux.

A ma surprise bien loin de se débattre elle prit position se cambrant de manière insolente, le derrière bien haut, parfaitement moulé dans son jean.

• Même pas peur !

Je la ceinturais pour déboutonner son jean.

• On va voir

Je fis glisser son jean découvrant ses fesses encore toute blanches. Je continuai le faisant descendre jusqu’à mi-cuisse pour avoir plus de champs. Je m’aperçus que la petite culotte était venue avec, c’est ça de porter des jeans trop moulants. De toute façon ce n’est pas comme si j’allais la lui laisser.

Elle continuait de me tendre ses fesses, cul nu, les dandinant légèrement, provocatrice.

-Même pas peur de tes fessées me répéta-t-elle.

Visiblement l’alcool avait le don de la désinhibé. Elle n’avait pas fait la fier comme ça la dernière fois.

Ne voulant pas lui laisser le contrôle, je réprimais mon avis de claquer fesses. Je posais une main sur son dos et une autre en haut de sa cuisse pour l’immobiliser, décidé à reprendre l’initiative.

• Ça fait exactement 1h36 que je t’attends, donc 96 minutes donc 96 fessées !
• Non mais n’importe quoi ! je t’ai envoyé des messages pour te prévenir. En vrai j’ai que quelques minutes de retard par rapport aux derniers messages c’est tout !
• On avait dit 22h30, j’ai accepté de te laisser sortir un peu plus longtemps et tu m’as menti. On reprend donc le décompte depuis 22h30
• Nan je mérite pas !! T’as même pas le droit en plus, je suis ta copine !
• Justement ! Pas la peine de discuter, tu vas prendre ta fessée.
• Mais euh !

Sans plus attendre, décidant que j’avais déjà trop tardé je commençais à claquer ses fesses à grandes volées. L’alcool anesthésiant il ne fallait pas que j’y aille de main morte. Sous mes claques Madame ne faisait plus la maligne. Heureusement que ma main gauche la tenait fermement car elle gesticulait dans tous les sens. Suivant son déhanché ses fesses se tortillaient de gauche à droite sans pour autant éviter les bonne claqué que je leurs distribuaient.

Au début elle poussait des petits cris entre le couinement et le rire puis à mesure que la fessée avançait les rires s’estompèrent et les cris devinrent plus aigüe accompagné de :

• Aie !
• Oula ! ça pique ça pique !
• Hi hiii mes fesses !!

Après une trentaine de claques je décidais de faire une pause. Madame semblait avoir besoin de reprendre son souffle.

Pourtant à mon grand étonnement avant que je n’ai pu dire quoi que ce soit. Madame se cambra secouant les fesses.

• Même pas mal !

Je resserrais ma prise avec ma main gauche, puisque c’est comme ça qu’elle le prenait les fesses de Madame allait déguster.

Je reprenais la fessée bien décidée à lui faire regretter son insolence.

Je lui giflais le derrière avec un rythme un peu plus lent cette fois mais en appuyant davantage mes claques prenant le temps de levé ma main bien haut avant de la faire redescendre bien fort sur chacune de ses fesses tour à tour.

Madame se permis tout de même le luxe de commenté les première claquées
CLAC

• pff je sens rien

CLAC

• Tu appelles ça une fessée ?

CLAC

• Si j’avais su je serais rentré plus tard

CLAC

• Aille ! Pas mal !

CLAC

-Aille ! Aille !

 

Mais finalement après quelques claques Madame recommença ses petits cris aigues et à gesticuler dans tous les sens.

Pas facile de fessée une jeune femme éméché.

 

Je profitais que Madame est finalement décidée de faire profil bas pour la sermonner. Elle l’avait bien cherché !

• Alors finalement tu les sens maintenant tes fesses ? Voilà ce qui arrive quand on fait attendre son amoureux ! On reçoit une bonne fessée déculottée !

Je pense que je devais avoir rajouter une cinquantaine de claques au trente initial mais j’avoue que je n’aime pas compter les fessées. Maintenant les fesses de ma chérie étaient bien rouges. Je décidais d’une deuxième pose pour apprécier mon œuvre et faire un peu redescendre la pression.

J’entendit rapidement Madame me demander d’une toute petite voie cette fois.

• C’est fini ? J’ai pris toutes les claques ?

Même si le compte s’approchait de sa fin je n’avais aucune attention de finir cette fessée. Et puis je savais très bien que Madame non plus n’avais pas compté.

• Pas du tout ! Tu l’as bien cherché celle-là tu vas t’en souvenir

Je massais un moment ses deux fesses rouges. Je les sentais bien chaudes sous ma main. Le contact était agréable et pas seulement pour moi, je sentais ma demoiselle se détendre sous mes caresses. Cependant après quelque minute ma main recommença à me démanger. J’avais encore des comptes à régler avec ce postérieur. Et je gardais fraichement en mémoire les provocations de madame que je n’avais toujours pas digéré.

Je repris alors la fessée. D’abord lentement laissant un temps ma main reposer sur la fesse que je venais de claquer avant de m’attaquer à sa jumelle. Puis j’accélérai le rythme. Ma main volait de fesse en fesse de plus en plus vite. Les jambes de Madame elles aussi battaient de plus ne plus vite. La cacophonie de mes claques étaient accompagnait par un gémissement ininterrompu de Madame qui de sa main libre serrait de toutes ses forces un pant des draps du lit.

J’aurais surement dû m’inquiéter au sujet des voisins. Surtout vu l’heure tardive mais sur l’excitation du moment je n’y pensais même pas.

Quand j’arrêta la fessée ma belle était toute transpirante. Je la laissais reprendre ses esprits toujours allongés sur mes genoux la rassurant.

• Voilà c’est fini. C’est fini la fessée.

Je tapotais doucement ses fesses.

• Maintenant on est quitte pour le retard, c’était une bonne fessée, tes fesses sont bien rouges.

Pendant de longue seconde ma chérie ne dit un mot. Puis elle se levât doucement et se frictionnât doucement les fesses avant de se diriger toujours sans rien jusqu’au grand placard mural qui se trouvait en face de moi. Me tournant le dos elle y apposât ses mains et écarta légèrement les jambes avant détourner la tête vers moi. Elle ne me regardât pas dans les yeux directement mais plutôt au niveau des jambes, son regard semblait légèrement fiévreux et elle me dit juste.

• J’ai compris la leçon cette fois… Mais j’ai toujours pas envie de dormir…

 

 

 

[Anonyme]

Beau récit ! Faire la maligne pendant la punition n’est jamais un bon point pour la fessée 😉

[Droopy]

J’imagine que la suite n’est pas racontable 😉

J’ai beaucoup aimé

[Auteur]

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