une delicieuse fessee trouvé sur le net

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    papy victor
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    <h1>La fessée de Marie-Hélène</h1>
    <h2>La femme du dentiste</h2>

     

    J’ai quarante-six ans. Je suis mariée depuis seize ans à un dentiste. Pour lui, j’ai abandonné l’enseignement et c’est de mon plein gré que je suis devenue une femme au foyer. Une femme soumise et heureuse de l’être.

    Mon mari est très traditionnaliste. Il m’a communiqué ses goûts, notamment en matière de lingeries. Depuis des années, je ne porte que des bas tenus par des guépières, des corsets ou des gaines, ainsi que des talons hauts. Jamais de pantalons. Comme je me suis très arrondie avec l’âge, cela m’aide à garder la taille fine. J’adore me sentir maintenue, cela participe complètement à ma docilité.

    Nous n’étions pas encore mariés quand il m’a administré ma première fessée, c’est vous dire si je l’ai acceptée puisque je l’ai épousé. Chez nous pas de planning ni de carnets de “fautes”. Mon mari me fesse à chaque fois qu’il en a envie, et toujours à mains nues. Au fil des années, nous avons rencontré d’autres couples et même des hommes seuls. Bien entendu, mon mari avait toutes sortes de rapports avec ses partenaires soumises (quelquefois, les échanges d’épouses duraient plusieurs jours). Cela me plaisait. Ce qui me plaisait moins, c’est ce qui m’arriva il y a un peu plus de six mois.

    Un matin, je me réveillai avec l’impression que mon mari me trompait. Non pas qu’il voyait une de nos relations échangistes en cachette, ce n’est pas son genre. Non. C’était plus grave. Je le sentais. Il y avait une autre femme dans sa vie.

    Je ne pensais plus qu’à ça. Fouineuse comme je suis, j’arrivais même à trouver qui c’était, car il y avait bien quelqu’un. Je n’eus pas à chercher bien loin. Mon mari avait des relations sexuelles avec sa secrétaire.

    C’est vrai qu’elle respirait la sensualité, celle-là. J’aurai pu m’en douter. Je la connaissais un peu, Sylvie, la trentaine, bien potelée elle aussi (mon mari n’aime que les rondes). Ils travaillaient ensemble depuis deux ans. Je n’aurai pas été étonnée que mon cher époux cherche à la faire rentrer dans nos jeux, mais qu’il l’a voit en dehors de moi, sans me le dire, faisait plus que me contrarier. Je les avais même espionné un soir alors qu’ils rentraient chez elle car, bien entendu, je m’étais procuré son adresse.

    Il n’empêche, cette pensée me bloquait de plus en plus. Un soir, sans rentrer dans les détails, j’en ai parlé à mon mari. Je lui ai dit que je savais qu’il voyait une autre femme en dehors de moi et que je connaissais même son nom. C’était Sylvie. Et savez-vous ce qu’il a fait, le bougre. Non seulement il m’a collé une de ces fessées comme il sait le faire mais, en plus, il m’a attachée à quatre pattes sur un fauteuil. Et là, j’ai encore reçu trente coups de badine fessière sur mon derrière déculotté.

    Pendant que mes larmes séchaient, mon fesseur m’avait détachée. J’étais calmée. A genoux devant lui, les mains derrière le dos, je savais que j’allais me faire gronder. Tout en frottant ses chaussures sur mes bouts de seins, mon mari m’expliqua des choses qui, c’est un comble, je sais, me paraissaient évidentes. Effectivement, il avait des relations avec Sylvie depuis au moins six mois. Et alors ? Il était mon Maître et pouvait s’autoriser tous les écarts qu’il voulait.

    J’étais d’accord et je me contentais de baisser les yeux.

    D’habitude, le week-end, nous faisons toujours des rencontres, mais là, je n’entendis parler de rien. Mon mari adore me regarder faire le ménage quand je suis en petite tenue, disons guépière, bas, talons et culotte bouffante. Baissée, bien entendu, la culotte, mais en prenant bien garde de ne pas la faire tomber, ce qui occasionne toujours des positions très indécentes, c’est le moins que l’on puisse dire.

    Ce samedi donc, j’en étais au repassage, et il y en avait.. Face à ma table, je tournais le dos à mon mari. Il m’avait menotté les chevilles et profitait de mes dandinements fessiers. Quitte à faire le repassage d’un homme, je trouve que c’est mille fois plus agréable de le faire fesses nues devant lui et je me sentais tout à fait à ma place.

    Je m’y sentis moins quand on sonna à la porte.

    Mon cher époux évita mon regard désespéré. J’étais menottée aux chevilles. Il ne fallait pas qu’il bouge.. et lui qui se dirige vers l’entrée. J’entends parler. Je me dis qu’il a organisé une soirée fessées sans me prévenir. J’ai remonté ma culotte. Je n’ai pas le temps d’aller en sautant à pieds joints jusqu’au couloir. Mon mari est de retour dans la pièce. A ses côtés, Sylvie, sa secrétaire, le sourire aux lèvres.

    – Je vois que ta bonniche est timide, mon chéri, sort-elle froidement en s’asseyant dans “mon” canapé.

    Mon cher mari a l’air contrarié. En me tirant par l’oreille comme une vilaine, il me remet devant ma planche à repasser, puis il me baisse ma culotte à mi-cuisse. Mon gros derrière déculotté de femme mûre est entièrement montré devant mon mari et sa secrétaire. Montré pendant une heure entière.

    Car mon repassage a duré une bonne heure encore. Comme je leur montrais mes fesses toutes nues, je ne les voyais pas mais je les entendais parler et s’embrasser. Ils faisaient comme si je n’étais pas là, intentionnellement bien sur, car ils savaient bien que je tendais l’oreille.

    – J’avais remarqué que ta femme avait un gros cul, mon chéri, reprenait Sylvie, mais j’ai l’impression qu’elle a encore engraissé. Et engraissé, c’est le mot. Regarde, mon amour, les deux gros tas de graisse fessière de ta femme…

    Ce qui était extraordinaire, c’est que je n’étais pas loin de la jouissance en écoutant Sylvie. C’est vrai, j’avais eu peur, c’est vrai, de perdre mon mari, mon Maître. Sexuellement bien sur, mais sentimentalement aussi, je le sentais sous le charme de cette jeune femme, mais il avait eu la bonté de la faire rentrer dans notre jeu et cela me rassurait. J’étais prête à me comporter comme il m’en donnerait l’ordre.

    Et puis, je dois l’avouer, entendre cette femme parler de moi de cette manière, devant mon mari, était loin de me laisser de marbre. J’en avais des frissons d’humiliation.

    Tout en continuant mon repassage, j’appris de la bouche même de mon cher mari, car il s’adressait à moi maintenant, toujours dans mon dos, que Sylvie allait venir s’installer avec nous, ainsi ils ne se quitteraient plus, de jour comme de nuit. Elle aurait un droit absolu sur tout le fonctionnement de la maison, y compris sur ma nouvelle garde-robe puisqu’il était entendu que je serai à son service en permanence.

    – Cela doit te plaire que la chérie de ton mari accepte de te garder à notre service, continua-t-il. Tu as de la chance, elle adore humilier les grosses du fessier comme toi. Vois-tu, non seulement nous formons, Sylvie et moi un couple de dominateurs, mais en plus, nous sommes très amoureux l’un de l’autre. Je t’aime toujours, ne t’inquiètes pas, mais après tout ce temps passé ensemble, je crois que le moment est venu disons, d’institutionnaliser ta soumission et surtout de la rendre permanente et publique. Mais tu en sauras plus en temps voulu, c’est-à-dire ce soir. En attendant, range la table à repasser et va dans ta chambre.

    En venant m’enfermer à clef, mon merveilleux mari m’embrassa longuement sur la bouche en me pelotant les fesses. Je devais me reposer, penser à ce qu’il m’avait dit et me préparer une guépière, des bas, hauts talons, avec un petit tablier blanc et le petit bonnet assorti. Rien d’autre. Pas de culottes. Fesses nues.

    Je me laissai tellement aller à cette situation que je m’endormis. Comment aurai-je pu résister ? Et surtout, en avais-je envie ?

    C’est mon mari qui me réveilla. Je devais me préparer comme convenu et, dès que j’étais prête, venir le rejoindre dans le salon, dans “mon” salon. Comme il avait bien insisté pour que mon gros fessier soit très visible, j’avais mis un corset serre-taille rose qui exposait bien mon derrière, avec de longues jarretelles pour retenir les bas. Le petit tablier ne cachait pas grand chose devant et le petit bonnet m’allait très bien.

    Croyez-moi, je n’en menais pas large en poussant la porte du salon. Mon petit coeur battait à toute vitesse. Il accéléra encore quand je vis que nous n’étions pas seuls, je veux dire nous trois. Il y avait un couple, ce qui me m’étonnait pas de la part de mon mari, mais ce qui me coupait le souffle, c’est que c’était nos voisins de palier.

    Oui. Nos voisins de palier. En trois ans, nous avions du échanger quelques dizaines de bonjours dans l’ascenseur, sans plus, et voila que je me retrouvais fesses nues devant eux.

    Madame Françoise, la voisine, est plutôt du genre douairière, un peu comme moi, mais en moins rondouillarde quand même. Elle me parut ce soir-là beaucoup plus éveillée que d’habitude et même très directive. Quant à son mari, je ne le vis pratiquement pas de la soirée car il l’a passa la tête derrière l’objectif de son camescope. Oui, il filma tout, absolument tout. Mon mari en avait décidé ainsi. Je réalisais alors clairement qu’il ne plaisantait pas quand il m’avait annoncé qu’il souhaitait rendre publique ma soumission sa secrétaire s’installait chez moi comme Maîtresse de maison et me prenait comme bonniche, les voisins assistaient à mon cocufiage et, si on me filmait, c’était bien pour que des gens les regardent, ces films. Non ?

    Je sus plus tard que si mon mari avait pu mettre nos voisins dans le coup, c’est tout simplement parce qu’il avait eu une aventure avec Madame Françoise. Et moi qui croyait naïvement que je partageais toute sa vie sexuelle! En tous cas, je reconnus bien là son sens de l’organisation, même si c’est Maîtresse Sylvie qui m’informa de mon nouvel emploi du temps.

    Ce fut aussi un choc pour moi de la découvrir dans mon salon ce soir-là, même si je m’y attendais. Elle avait poussé le raffinement jusqu’à porter une de mes robes, la plus sexy évidemment, ainsi que mes plus beaux bijoux. En la regardant, je découvris combien elle était désirable et de savoir que mon mari couchait avec elle, dans mon lit, me donnait des frissons partout. C’est lui d’ailleurs, comme il avait l’habitude, qui m’attacha à quatre pattes sur un petit fauteuil au milieu de la pièce. Le voisin me braqua son camescope sur le visage. J’étais immobilisée, offerte, exposée, mon gros fessier de femme mûre et mariée tout déculotté présenté à tous. J’en avais la chair de poule.

    Ce sont ces dames qui, ce soir prendront soin de mon éducation. Madame Françoise sera en charge de me fesser pendant que Maîtresse Sylvie statuera sur mon sort. Mon mari se contenterait de profiter du spectacle et de veiller à ce que le voisin ne manque rien avec sa camera.

    La position où j’étais m’obligeait à tendre la tête pour regarder Maîtresse Sylvie pendant qu’elle parlait. Cela devait me donner un air suppliant et ridicule. Et dire que la camera me filmait.

    Je m’aperçois que j’ai complètement oublié de vous donner mon prénom. Je m’appelle, enfin, je m’appelais Marie-Hélène car la première chose que j’appris de ma nouvelle patronne, c’est que j’allais être débaptisée.

    – A dater de ce soir, m’annonça donc Maîtresse Sylvie, nous avons décidé, ton ex-mari et moi, que tu répondrais au doux prénom de Fernande, oui, Fernande, la grosse Fernande. Ca te va très bien, je trouve. Bien entendu mon chéri, ton ex-mari, ne te connaîtra plus que sous le nom de Fernande lui aussi, ainsi que nos charmants voisins. Maintenant, à toi, ma chère Françoise…

    Pendant que Maîtresse Sylvie parlait, Madame Françoise, ma voisine, n’avait pas cessé de pincer mes grosses fesses étalées sous ses yeux. Je compris tout de suite ce que cela voulait dire, ce “à toi, ma chère Françoise”, car elle m’administra alors une longue série de claques fessières sur chacune de mes grosses mappemondes honteuses. Sur le canapé, mon mari avait sorti son sexe de son pantalon et il le caressait doucement en me regardant me faire fesser. A la fin de la série de panpan sur mes grosses fefesses, Maîtresse Sylvie me posa un certain nombres de questions. Je devais y répondre face à la camera et recommencer plusieurs fois. C’est comme cela que je dus confirmer, entre deux sanglots, que ma nouvelle identité était bien Fernande, Fernande Legras, et que j’acceptais de mon plein gré que Maîtresse Sylvie devienne la femme officielle de mon mari. Je lui étais également reconnaissante de bien vouloir me garder comme bonniche et je lui jurais une obéissance totale et de tous les instants.

    Tout le monde semblait satisfait.

    Après avoir vérifié que, côté camescope, tout avait été enregistré, Maîtresse Sylvie m’informa de la suite de mon programme. Comme elle continuerait à travailler avec mon mari, je serai donc laissée seule pendant la journée. D’où la chance d’avoir des voisins conciliants..

    – Chance que nous devons aux qualités de baiseur de ton ex-mari, ma grosse, continua-t-elle. Comme cette chère Françoise ne travaille pas, elle aura plus qu’un oeil sur toi, et tu as déjà pu apprécier ses talents de fesseuse de gros derrières mûrs et gras comme le tien. Bien entendu, c’est toi qui fera tout le ménage chez elle à partir de lundi , en plus d’ici. Elle a le double des clefs d’ici et peut aller et venir comme elle le souhaite.

    Nos chers voisins poussaient même la bonté jusqu’à me loger chez eux, de manière à ce que mon ex-mari et sa nouvelle femme puisse être tranquille.

    Ce programme terminé, Maîtresse Sylvie s’en alla rejoindre Madame Françoise derrière moi et commença alors la plus longue fessée de ma vie, et pourtant j’en reçois depuis longtemps.

    Elles s’étaient attribué chacune une fesse. A chaque claque, je devais répéter à haute voix que je m’appelais Fernande et que j’étais la bonniche. Cent fois j’ai du le dire et le redire. Aussitôt, une nouvelle claque tombait. Mes fesses me brûlaient autant que les humiliations que j’avais reçu ce jour-là. Humiliée comme je l’avais été par tous ces gens, je n’avais plus rien à cacher et c’est sans aucune retenue, sans aucune pudeur non plus, que je me mis à jouir comme jamais je n’avais jouis de toute ma vie.

    Visiblement, mon mari et sa nouvelle femme souhaitaient maintenant se retrouver seuls. Je suivis donc les voisins chez eux, sans rien emmener, ça n’était pas la peine. Je les suivis donc fesses nues, puisque c’est comme-ça que je vivrai dorenavant entre les deux appartements. D’ailleurs, pour m’habituer à ces petits passages d’un appartement à l’autre, Madame Françoise me laissa une bonne demi-heure toute seule, attachée les fesses en l’air, en guépière sur mon propre palier. C’était terrorisant mais en même temps je regrettais presque que personne ne soit monté…

    Tout nouveau, tout beau. Exceptionnellement ce soir, je coucherai avec Madame Françoise. J’assistais néanmoins au déshabillage du voisin, ce qui me permit de découvrir que le cher homme portait des dessous féminins sous ses costumes. A mon âge, c’était la première fois que je me retrouvais face à un homme en porte-jarretelles, c’était incroyablement troublant. Il faut dire qu’avec ce qui m’était arrivé ce jour-là, tout me mettait en émoi.

    Madame Françoise me mit entièrement nue pour la nuit et, tout en me faisant chavirer de plaisir sous ses claques et ses explorations profondes, elle me fit part de ses projets me concernant. Libérée de ses obligations domestiques, elle aurait, me dit-elle, tout le temps de se consacrer à ses aventures sexuelles. Son mari lui étant totalement soumis, elle comptait développer son réseau d’amants et de maîtresses et comptait bien sur ma présence pour appâter de nouveaux pervers.

    Je m’endormis la bouche collée à son derrière…

     

     

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    #77288
    Christal
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