quand noud étions un peu plus jeune, il y a avait une punition que ma jeune épouse redoutait.
Dans le jardin, nous avons une petite pièce, qui sert à ranger des affaires.
En été, parfois il est arrivé que j’emmène ma femme dans cette pièce, lui mette une fessée après une grosse bêtise, parfois avec le martinet, et ensuite je la faisais se déshabiller entièrement, et la laissait toute nue, fesses rouges, pendant quelque temps. Quand je revenais la libérer, je retrouvais une épouse toute douce, il y a eu quelques variantes à cette punition.
Stephane
@milu, chez nous, cela s’appelait le “cabinet noir” ou certaines se retrouvent dans une pièce sans lumière. Ce n’a aucun rapport avec le cabinet noir de Fillon.
C’est vrai que je l’avais oublié cette punition qui s’apparent à la cellule, geôle ou mise en cage. Et là, après une bonne correction t’as le fessier cuit-cuit !
Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir,
Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir,
J’allai voir la proscrite en pleine forfaiture,
Et lui glissai dans l’ombre un pot de confiture
Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité,
Repose le salut de la société,
S’indignèrent, et Jeanne a dit d’une voix douce :
– Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ;
Je ne me ferai plus griffer par le minet.
Mais on s’est récrié : – Cette enfant vous connaît ;
Elle sait à quel point vous êtes faible et lâche.
Elle vous voit toujours rire quand on se fâche.
Pas de gouvernement possible. À chaque instant
L’ordre est troublé par vous ; le pouvoir se détend ;
Plus de règle. L’enfant n’a plus rien qui l’arrête.
Vous démolissez tout. – Et j’ai baissé la tête,
Et j’ai dit : – Je n’ai rien à répondre à cela,
J’ai tort. Oui, c’est avec ces indulgences-là
Qu’on a toujours conduit les peuples à leur perte.
Qu’on me mette au pain sec. – Vous le méritez, certe,
On vous y mettra. – Jeanne alors, dans son coin noir,
M’a dit tout bas, levant ses yeux si beaux à voir,
Pleins de l’autorité des douces créatures :
– Eh bien, moi, je t’irai porter des confitures.
J’ai un scoup !
En fait d’autres punitions, qui a déjà été enfermé dans une pièce noire ou un placard comme punition ?
Je demande ça car on a enfin une image de ce qui se passe dans un cabinet noir !
Quand on est sage, qu’on apprend bien ses leçons qu’elle soit scolaire ou de la vie, on vous donne un bon point !
Les “Bag Bad girl”, sales gamines, on leur fout la honte. Quand on n’a pas de “cabinet noir” et que, surtout, on veut vous surveiller, l’idée du sac papier est bonne, dans le noir, au coin ou au piquet vous permet de bien cogiter à vos bêtises ou indisciplines.
Et l’affaire est dans le sac !
Surtout si c’est vous qui devez inscrire sur le sac la raison de votre punition.
Bad Girl – Méchante, mauvaise fille
Bad little girl – Vilaine petit fille
Naughty Girls – Vilaine
Bag of shame, le sac de la honte
Ben oui, vous pouvez avoir honte d’être ridicule comme ça !
Ha ha ha !!!
Oui, je sais, je suis z’horib !
Oui, je sais, depuis le 6 octobre, c’est long mais tous vient à point à qui sait attendre.
(Comme pour les fessées, “tous vient à point à qui sait les tendre)
Avez vous remarqué qu’au moment du sermon, à la phrase “Vous allez prendre une bonne fessée” ou “Je vais vous donner une fesser” ou ce genre de sentence, les mains de la réprimandée vont directement sur ses fesses ?
@vil1tidiab…Oui, je confirme. Quand Monsieur m’appelle, me libérant du coin (nous, le coin, c’est «avant»). Je commence à jouer avec l’élastique de mon pantalon (souvent de pyjama puisqu’on fait le bilan de la journée). Une main sur l’élastique hésitante à le baisser et l’autre à masser mes fesses avant même la première tape.
Je fini par baisser pantalon et culotte mais mes mains remontent instinctivement sur mes fesses…avant de devoir me positionner par moi même.
Il m’arrive même de porter mes mains aux fesses à la simple phrase «tu vas voir ce soir»….Malheureusement pour moi….où que je sois..trahissant sans le vouloir que ce qui m’attend n’est pas une simple discussion entre adultes…mais bien une infantilisante fessée.
Cela amuse beaucoup Monsieur.
Dans Confesser, il y a fesser. Avouer ses fautes est à moitié pardonné mais l’autre moitié peut être cuisante.
“Mon père, cela fait une année depuis ma dernière confession et j’ai peur que nous ayons besoin de beaucoup de temps pour parler de …
Je suis prête à expier mes fautes mais ne soyez pas trop sévère.”
Un avant punition que j’aime beaucoup, et vu en vidéo, c’est d’aller faire chercher, par la fautive, nue, une ou quelques badines, dans le jardin ou autre, la/les préparer correctement, et me la/les présenter, en demandant sa punition, correctement.