Une autre façon de conciler.

[Fessochix]

J’étais le plus ancien locataire de cet immeuble de douze appartements et j’avais toute la confiance du propriétaire, puis de son fils qui avait pris la relève. J’assurais les petits dépannages et réglais la plupart des conflits entre locataires. J’étais aussi conciliateur de justice, ce qui m’assurait le respect. Je terminais une nouvelle période de trois ans, sans avoir l’intention de postuler pour un renouvellement, quand arriva une nouvelle : jeune, pas plus de vingt-cinq ans, et assez peu soucieuse de la tranquillité des autres. Et effrontée : avec de l’aplomb, de l’audace, et cela me plaisait, finalement. Je dus plusieurs fois intervenir auprès d’elle pour lui rappeler qu’on n’écoute pas sa musique à tue-tête, et encore moins passé une certaine heure.

« Ah, c’est vrai, vous êtes flic !

– On vous aura mal renseigné. Je suis conciliateur de justice, pour encore quelques semaines.

-C’est quoi la différence ?

-Un conciliateur vous évite, si vous l’écoutez, d’avoir à faire aux « flics », comme vous dites. Aux flics, au tribunal…

-Ça gagne bien ?

-Remboursement forfaitaire des frais, c’est bénévole.

-Ah, c’est pour ça que vous allez arrêter…

-Non. Mais j’ai fait mon temps, et place aux jeunes.

-Vous avez quel âge ?

-Cinquante-cinq : et vous ?

-Bientôt vingt-quatre.

-J’ai un peu plus du double ! Mais nous devrions nous entendre. Ne faites plus de bruit, vous n’êtes pas toute seule dans l’immeuble. J’essaie de mon côté de calmer ceux qui vous paraissent intolérants. Et si vous avez besoin que quoi que ce soit, vous pouvez me demander . Si c’est dans mes possibilités je vous aiderai : vous connaissez mon appartement ?

-Merci, et bonne soirée à vous. »

Une ou deux semaines après, elle sonne à ma porte. Son ordinateur ne fonctionne pas bien. Besoin sans doute d’une défragmentation et d’un nettoyage.

« Vous vous y connaissez ?

-Je touche à pas mal de choses…

-Ah ? vraiment ?

-Je veux dire je bricole, je répare. Vous m’apportez votre ordinateur ?

-C’est une tour. Venez chez moi : vous serez sage ?

-Un homme de mon âge, et conciliateur…

-Plus pour longtemps ! Vous prenez combien ?

-J’interviens toujours bénévolement.Vous aurez bien un rafraîchissement ?

-Je peux même vous préparer à manger. Allons-y. »

J’ai dû y passer pas loin de deux heures. Sur l’écran apparaissait entre autres le logo d’un site appelé « Qnu », et représentant une paire de fesses très stylisée. Je cliquai dessus quand elle revint de la cuisine pour me dire que le repas allait bientôt être prêt.

« Ah, ? Ça vous intéresse ? Qnu ?

-Mais c’est quoi ?

-Le cul nu, ça ne vous dit rien ?

-Ah, bon, oui, tout nu…mais pas de quoi faire un site ?

-Pas tout nu, ou toute nue : seulement le postérieur ! le derrière ! Le cul, plus simplement. Pantalon baissé, et la culotte aussi. C’est mon fantasme ! Mais ça ne s’arrête pas là… »

Elle a toutes les audaces !

«  Ça ne s’arrête pas là..?

-Il faut tout vous dire ! Quand les fesses sont nues ? Qu’est-ce qu’on peut leur faire ?

-Les…les caresser. »

J’étais quand même gêné.

« Lol, caresser, c’est bon pour les vanilles !

-Les vanilles ?

– Celles qui n’aiment recevoir pas la fessée !

-Parce que vous…

-Oh oui ! Disons que j’aimerais beaucoup la recevoir.

-C’est pour ça que vous faites du bruit ? dans l’immeuble ?

-Il faut bien trouver un prétexte. Et un monsieur respectable, plutôt âgé, serviable, avec le sens de l’autorité mais compréhensif me paraît tout à fait indiqué pour la flanquer à une jeune impertinente.

-Mais, sur votre site ? sur Qnu ?

-Ils sont loin, et on ne peut guère avoir confiance. Ça part vite en sucette. Je vais vous montrer le Chat. »

« Partir en sucette », sans connaître l’expression je me doute de ce dont il s’agit. Elle me montre un dialogue entre un homme et une femme. Il lui explique qu’il lui donnera la fessée après l’avoir allongée sur le dos, lui avoir complètement retiré pantalon et culotte et lui avoir fait relever et écarter les cuisses. Et devant deux autres hommes. Ce à quoi elle répond qu’elle espère que ça les fera bander.

« Tu connais cette dame ?

-Lol, c’est moi !

-Mais ça va loin !

-T’inquiète, c’est le jeu de l’écriture, on se laisse déborder.

-Tu mérites vraiment une bonne…

-Une bonne ?

-Une bonne fessée ! Pour t’apprendre à provoquer ainsi un homme.

-Toi ?

-Non, celui de ce site.

-Je ne le connais pas et on écrit sous pseudo, sur Qnu. Mais de toi, je la mérite. On se lance ?

-Tu en as déjà reçu ?

-Non, te dis-je. Même pas dans l’enfance. C’était déjà dépassé. Mais j’enviais une copine qui l’avait reçue de sa grande sœur et j’aurais aimé y assister, puis y passer à mon tour. On fait cela avant le repas ? »

Elle m’expliqua ses lectures de jeunesse, la classique comtesse de Ségur, puis les films qu’elle avait pu voir, ou les extraits. « Le bal des vampires », même si la fille de l’aubergiste la reçoit habillée . « La Madriguera », Geraldine Chaplin la reçoit sur la culotte, en jouant au papa et à la fille avec son mari.

« Rien que de me déculotter toute seule m’excite. Puis je me donne des claques et ça me pique délicieusement. J’utilise parfois une règle en bois. Mais il me manque quelqu’un : c’est quand même mieux à deux ? On reste dans cette pièce ? »

Je n’avais jamais non plus donné de fessée : mais j’étais motivé ! Je mis une chaise au milieu de la pièce et lui demandai de s’approcher.

« Je vais te déculotter !

-Faites donc, cher monsieur. »

Elle se laissa délicieusement faire, plaçant ses mains derrière le dos pour mieux me laisser déboutonner et dégrafer son pantalon. Elle ferma les yeux et devint rouge de honte quand je tirai dessus pour bien le descendre. Puis, toujours debout, ce fut le tour de la culotte. Elle avait une belle toison. Elle m’expliqua après la fessée que j’avais eu de l’audace, que j’aurais pu la coucher en travers de mes genoux avant de finir de la déculotter : mais que c’était très bien ainsi.

Je l’aidai à prendre la position et lui demandai si elle était prête : « tu peux y aller ! »

Je commençai par des claques bien vigoureuses mais espacées. Elles lui arrachaient de petits gémissements de douleur et de satisfaction. Puis je les rapprochais tout en maintenant une certaine vivacité et elle se mit à se tortiller. Je la fis alors se lever, avançais mon pied gauche et lui fis enlever complètement pantalon et culotte. Elle revint d’elle-même se placer pour la suite mais face à moi, sur mon genou gauche et serrant bien ses cuisses autour. Je repris la fessée qu’elle assuma par des mouvements de bassin qui la firent jouir. C’était le moment d’arrêter ! Elle s’agenouilla le temps de reprendre ses esprits.

« C’était excellent ! Merci ! «

Une réussite, pour sa première fessée.

Et le repas fut fort bon.

On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

[Anonyme]

c’est un excellent récit ,on sent le vécu, elle a du ce rappeler de sa première fessée et bien Qnu .

[Fessochix]

C’est que c’est important, une première fessée, fesseur21. Si elle n’est pas réussie on peut bien sûr réessayer mais c’est mieux de commencer par du bon. Après, il faut que ça le reste…et ce n’est pas non plus évident.

On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

[Anonyme]

exactement Fessochix, c’est  la première  la plus importante et vu ce que j’ai lu  elle a du comprendre, je pense que ca va lui rester

[Fessochix]

Oui : elle en recevra certainement d’autres, fesseur21.

• Cette réponse a été modifiée le il y a 1 mois et 2 semaines par Fessochix.

On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

[Anonyme]

oh oui j’en suis certain Fessochix, mais tu lui a donné la première ça lui as donné une première expérience

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