Un dimanche en vélo

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  • #93357
    Droopy
    Participant


    C’était un dimanche de mai. Ces jours de l’année où l’on profite du soleil. Le soleil qui chauffe après les froideurs de l’hiver ont quelques choses d’érotisant. Bref la journée idéale pour une belle rando en vélo tout terrain.

    Comme tous les dimanches nous sommes quelques vététistes à se retrouver pour des balades. C’est l’avantage des clubs, pouvoir rouler en groupe… Mais ce dimanche seule Agathe était au rendez-vous. Plus jeune que moi, la trentaine, elle s’est mise au vélo électrique. Pour nous les hommes c’est une aubaine. Le vélo électrique ou VAE a amené une certaine mixité, ce qui je vous l’avoue nous manquait franchement.

    Nous voilà donc partis sur les chemins de Provence. Nous papotions de la pluie et du beau temps. Les premières montées arrivant c’est tout naturellement qu’Agathe, aidée par son moteur, me passe devant pour ouvrir le chemin. Je m’accrochais donc fermement à sa roue, ou plus exactement à ses fesses. Son short moulant mettait en valeur son fessier qui m’hypnotisait. Chaque secousse de sa roue venait faire onduler son fessier. Je ne pouvais donc pas m’empêcher d’imaginer ce que donnerai son cul lors d’une sévère fessée.

    Après quelques centaines de mètre le sentier devenait de plus en plus chaotique, son fessier rebondissait, mes yeux de plus en plus fixés sur son postérieur, mon esprit de plus en plus vagabond… Mais sa technique de franchissement n’était pas au top, à tel point qu’elle s’arrêta brusquement ma roue vient taper dans la sienne. Surpris par cet arrêt subit je perdis l’équilibre emprisonné dans mes pédales automatiques. Tous les cyclistes vous le diront, des pédales trop fermes sont de vrais pièges à cons ! Bref je me suis retrouvé couché sur le côté prisonnier de mon vélo (comme un con). Je n’ai entendu qu’un « Oups ! »

    Vexé par ma position je me dégage comme je peux. Et Agathe qui me regardait avec un petit sourire mutin et ses yeux rieurs.

    -Toi tu ne manques pas d’air lui dis-je ! Tu me fais tomber et ça te fais sourire !

    -Tu ne veux pas que je pleure non plus !

    Quelle audace mon sang ne fait qu’un tour.

    -Si je t’attrape tu…

    -vas me mettre une fessée ? dit elle en repartant

    Sa réplique me laisse sans voix. Si elle savait que mes pensées rejoignaient ses paroles !

     

    Nous voilà donc repartis. Son moteur donnant toute sa puissance et mes jambes qui commençaient à fatiguer, ne me laissaient aucune chance de la rattraper. Et elle le savait !

     

    Le chemin qui s’était transformé en sentier continuait à grimper dans la garrigue. Au sommet de la bosse je savais qu’il y avait un borie. (Une cabane en pierre sèche qui abritait les bergers et typique de la Provence). Généralement nous nous arrêtons toujours à cet endroit.

    Quand j’arrive enfin au borie, haletant et transpirant, je vois le vélo d’Agathe appuyé contre le mur de pierre. Mais pas d’Agathe. Le casque et son haut du maillot accroché au guidon. Je compris rapidement que son arrêt c’était transformé en pause pipi. En effet pour enlever les bretelles du cuissard il faut enlever le haut. Mes yeux font rapidement le tour et je vois le cul blanc d’Agathe en fâcheuse position. Un petit jet doré finissait de s’écouler et le cuissard sur les chevilles. Son affaire finit elle se redresse remonte son cuissard et avant de remettre ses bretelles je l’interpelle. Elle sursaute et se retourne masquant sa poitrine malgré son soutien-gorge de sport.

    -Viens ici ! Lui ai-je crié

    Rouge de honte elle s’approche

    -Je ne pensais pas que tu sois déjà arrivé ! balbutia t’elle

    Elle savait que je l’avais vu dévêtue. Que j’avais pu ainsi regarder ses fesses blanches et pas encore bronzées par le soleil. Les bretelles du short de vélo pendaient de part et d’autre. Je la saisi par le poigné effleurant le tissu de son soutien-gorge. J’ai pu remarquer que les pointes de ses seins étaient dures. L’effort ? la situation ? En tout cas l’effet à travers le tissu ne me laissait pas insensible.  Je l’entraine manu militari vers l’entrée de la bergerie.  A l’intérieur dans la pénombre il y avait un restant de feu au milieu de la pièce. Encerclant les cendres froides, il y avait de grosses pierres. Je m’assieds sur la plus grosse. Agathe qui se tenait debout me regardait avec une certaine inquiétude dans le regard

    -Tu… tu ne vas pas me fesser ? dit-elle hésitante

    -C’est toi qui me l’as suggéré. Alonge toi sur mes genoux

    Et pour accompagner le geste à la parole Je l’attire vers moi en serrant toujours son poignet. Déséquilibrée, elle s’allonge sur mes genoux. De ma main droite j’abat ma main sur son fessier. Mais bien sur sans grand résultat. Le rembourrage du cuissard lui procure une bonne protection.

    Un petit gloussement s’échappe de sa bouche. Même pas mal ! marmonna t’elle

    Je saisi son cuissard et le descendit jusqu’aux genoux. Ses fesses blanches illuminées par la lumière de la porte du borie étaient encore plus belle que dans le fourré. Ma main droite se leva et s’abattit dans un bruit si caractéristique. La nature des murs amplifiant le son.

    -Aie, mais tu es fou ! cria t’elle

    Je ne lui laisse pas le temps de se ressaisir. Une deuxième, une troisième… alternant sur chaque globe de ses fesses. Les claques pleuvaient. Elle me supplia d’arrêter. Ses fesses avaient pris une couleur pourpre, toujours embellies par la lumière. Enfin calmé, je m’arrêtais. Ma main posée sur ses fesses. Je commençais à les caresser en lui chuchotant

    -Tu vois il ne faut pas me provoquer

    Elle laissa échapper un petit gémissement. De ma main gauche je lui caressais les seins. Les tétons durcis ne laissaient aucun doute à son excitation. Un doigt passé entre ses cuisses qui s’étaient largement ouvertes me confirma mon impression. Inutile de vous dire que le cuissard le soutien-gorge tombèrent rapidement au sol. La bosse sous mon cuissard était plus que visible.

    La suite bien sûr m’appartient mais la rando a vite tournée court….

    #93387
    Rony
    Participant


    Très chouette récit.
    J’adore quand les fessées dégénèrent en… autre chose ^^

    J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.

    #93388
    Monsieurgigi
    Participant


    C’est un récit qui ne manque pas de…selle!   😉

    Monsieurgigi : l'essayer, c'est l'adopter !

    #93389
    Saul
    Visiteur


    Sympa simple efficace, ça donne envie de se remettre au vélo 🚲 😂😂😂

    Suite sans doute à mon post récent, je reçois des sollicitations de fesseurs. donc pour éviter ses importuns avec lesquels je ne me connecterais je précise immédiatement que je suis HETERO, donc messieurs passez votre chemin MERCI

    #93390
    Grosminet
    Participant


    c’est tout naturellement qu’Agathe, aidée par son moteur, me passe devant pour ouvrir le chemin. Je m’accrochais donc fermement à sa roue, ou plus exactement à ses fesses. Son short moulant mettait en valeur son fessier qui m’hypnotisait.

    Amusant, j’ai vécu presque la même situation il y a quelques années. Lors d’un weekend à la côte d’Albâtre (là ou il y a des hautes falaises et des routes qui font montagnes russes) nous avions loué des vélos; elle un VAE et moi comme un con qui joue les superman un vélo normal…
    Forcément dans les côtes je suais en tirant la langue pour essayer de tenir son rythme, avec comme carotte son short moulant quelques mètres devant moi…
    En rendant les vélos à la société de location elle se marrait en disant aux employés que le VAE pour les femmes, c’est une bonne thérapie de couple pour remettre les mecs à leur place !
    Le soir je me suis un peu vengé sur ses fesses pour la remettre à sa place ! 😂

    Matou reproducteur, fournisseur de bébé-Antéchrist garanti, tarif de groupe possible 👻

    #93393
    Droopy
    Participant


    Désolé j’ai effacé les réponses de ces dames par mégarde. Mais oui. Gros minet est un sadique

    #93396
    Geralt
    Participant


    Ah une sortie vélo comme j’adorerais en faire !

    La pauvre, moi qui connais l’inconfort d’une selle classique de VTT, le retour à du se faire en danseuse !

    Il m’est déjà arrivé la même chose, je veux dire taper dans la roue de mon prédécesseur.. Malheureusement moi c’était Gilbert… Donc franchement heureux que ça c’est arrêté à la chute ! 😂

    #93397
    Linette
    Participant


    Ça sent bon le printemps déjà, très joli récit qui donne envie de faire des activités et de découvrir certains lieux, mais aussi de voir qu’il ne manque pas de piquant à certains qui se veulent plus malins que certaines chipies… 😅

     

    #93409
    Prunelle
    Participant


    La petite Prunille qui est fâchée avec les vélos depuis un bon moment, aurait presque envie de remonter sur cet objet de torture.

    La dernière fois que je suis monté sur cet objet de malheur, c’était lors d’une cousinade en Auvergne. Fallait resserrer les liens de la famille en faisant une activité tous ensemble dans la joie et la bonne humeur… Tu parles en plus tout le monde ne parlait pas la même langue. Bref vélo en montagne. Juste cette idée était pourrie à la base. Nous avons notre fierté et voulons relever le défi alors que nous sommes tous nuls dans ce domaine. ( Je voulais refuser, mais ma cousine me force pour ne pas être la seule femme de la bande).

    Première côte, je descends du vélo, mal aux cuisses, fesses et sexe engourdi. Un de mes cousins avec qui ça ne passe pas, me provoque sans cesse. Dans la joie et la bonne humeur… la sortie dure deux heures. Je n’en peux plus comme beaucoup d’entre nous, cependant, nous refusons d’abandonner. Une descente dans un chemin de terre pas vraiment entretenue remplie de ronces, orties sur les bords. Le ton monte entre mon cousin, mon frère et moi. Nous ne faisons plus attention, j’en ai marre, la colère m’envahit, je fais exprès d’aller plus vite pour toucher la roue de mon frère. Sauf que je n’avais pas prévu de provoquer un carambolage dans les orties. 😅 ( Oui, je suis rancunière)

    Les trois quarts des participants sont revenus dans le domaine familial en se grattant, éraflés, sales et bougons. Merci Prunille!

    Toutefois, nous avons réussi à resserrer les liens et nous en rions maintenant

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