Un conte divin et d’antan

[Linette]

 

Le Conte de la Révolution Fessière

Dans un royaume lointain, où les normes étaient aussi rigides que les corsets d’antan, vivait une population de fesses discrètes et soumises. Elles étaient reléguées au second plan, oubliées dans l’ombre des convenances, et traitées avec une indifférence presque cruelle. Mais un jour, une voix s’éleva, une voix de révolte, une voix… fessière !

Une fesse audacieuse, nommée Gloria Gluteus, proclama haut et fort : « Assez de cette injustice ! Nous aussi, nous avons le droit à la dignité et à l’épanouissement ! » Et c’est ainsi que naquit la Déclaration des Droits de la Fesse.

Les fesses, enfin libérées de leurs chaînes de préjugés, se virent attribuer des droits fondamentaux : le droit à un siège confortable, à un massage relaxant, à une culotte en coton doux, et même à une petite sieste quotidienne. Elles avaient le droit de s’exprimer librement, de communiquer leurs besoins par des mouvements subtils, et de participer à des débats philosophiques sur l’essence même de la fessitude.

Pour veiller au respect de ces droits, le Conseil Supérieur de la Fesse fut créé. Il organisait des concours de « Fesse de l’année », des débats enflammés, et même des compétitions de twerk inter-fessières. L’Académie Fessière, quant à elle, se consacrait à l’étude des arts fessiers, de la langue fessière, et de l’histoire tumultueuse de cette partie du corps.

Et n’oublions pas l’hymne national, « Taper plus haut, taper plus fort », qui résonnait dans les stades lors des compétitions inter-fessières, et qui mettait l’ambiance dans toutes les soirées fessières.

Ainsi, les fesses vécurent heureuses et épanouies, dans un monde où elles étaient enfin respectées et célébrées. Elles avaient leur propre monnaie, le « fessant », leurs propres écoles spécialisées, et même leurs propres stars de cinéma.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. On raconte que, dans les contrées lointaines, des fesses rebelles attendent leur châtiment, et que la révolution fessière est loin d’être terminée….

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