Un cadeau particulier

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  • #97900
    Bettyboo
    Participant


    Aujourd’hui est un jour spécial, c’est mon anniversaire je viens d’avoir 35 ans, comme souvent je ne tiens pas en place et je saute par tout.
    Après le traditionnel repas en famille et l’ouverture des cadeaux. Je rentre chez moi heureuse, comblée. Je me prépare ce soir, Matthieu mon flirt du moment vient dîner à la maison. Il m’envoie un message juste avant d’arriver:

    _  « j’ai un cadeau qui devrait beaucoup te plaire »

    En lisant ce message, je ne peux m’empêcher de le bombarder de questions: qu’est-ce que c’est? Est-ce que ça se mange? Est-ce que c’est quelque chose que je peux porter? Je le supplie de me donner un indice. Au bout d’une dizaine de minutes et suite au bombardement de message il finit par me répondre:

    -tu verras ce soir, c’est à propos d’une conversation 😈

    Lorsque je lis ce message, je commence à être excitée par la vue de l’emoji se pourrait-il qu’il m’est acheté un cadeau que je ne pourrais pas envoyer à mes amies… Depuis le début de notre flirt, je me sens suffisamment en confiance pour lui parler de mes fantasmes et lui des siens… Je suis vraiment intriguée, lorsqu’il arrive je lui saute dessus.

    -Alors il est où ce cadeau??

    -Patience me répond-il

    Allez donne-moi un indice?

    -Arrête où tu vas aggraver ton cas me dit-il.

    Son ton est plus dur qu’habituellement, je marque un temps d’arrêt et un frisson naît au bas de ma colonne vertébrale.

    Puis nous dînions tranquillement, il me parle de sa journée et moi de la mienne, nous passons un moment agréable mais au moment du dessert je ne tiens plus, je trépigne d’impatience…

    Il me tend une boîte assez grande, j’arrache le papier et je découvre un aspirateur euh pardon minute c’est une blague, devant mon air ahurie il rit:

    -Allez ouvre-le

    J’ouvre le carton à l’intérieur se trouve une autre boîte je le regarde suspicieuse

    -Allons ma biche, tu es joueuse d’habitude continue à ouvrir…

    Puis j’ouvre la deuxième boîte et là je découvre un martinet.
    Matthieu me dit à ce moment-là :

    -tu te rappelles l’autre soir quand tu me disais que tu souhaitais recevoir une fessée, j’ai pensé que ce petit instrument pourrait te plaire.
    Je le regarde et je ressens un désir monter en moi et en même temps une certaine appréhension. Mon regard lui transmets mes doutes.

    -Ne t’en fais pas si vraiment tu te sens mal à l’aise tu n’as qu’à me dire stop et j’arrêterai on peut utiliser un mot si tu veux…

    Mon cœur bat la chamade, je m’apprête à sauter dans le vide, je déglutis péniblement. Mais sans plus réfléchir je lui dis :

    Non c’est bon je te fais confiance vas-y , je suis partante! Il me sourit et caresse doucement ma joue.

    -Dans ce cas tu as 10 min pour aller dans ta chambre enlever ce pantalon et ce pull et mettre une robe, je tiens beaucoup à ce que tu portes un shorty.

    alors que je balbutie un oui timide, il me dit

    -Ah et une dernière chose ne me fait pas attendre, j’ai horreur d’attendre.
    Je pars en courant dans ma chambre dans mon excitation j’ai dû mal à ouvrir la porte une fois à l’intérieur je jette mon pull par terre bientôt suivi par mon pantalon puis je change de sous-vêtements à ma grande honte je m’aperçois que j’ai mouillée. Je ne sais pas a trop quoi m’attendre je m’assieds sur le lit, je me remets debout et d’un seul coup, là porte s’ouvre Matthieu se tient à la porte, il a le martinet avec lui…

    -Si tu te sens inconfortable tu n’auras qu’à dire pomme et j’arrêterai commencent-il à me dire.

    Je le coupe oui oui j’ai compris.

    il me sourit et s’approche de moi, il jette le martinet sur le lit et me murmure à l’oreille: très bien comme tu voudras mais après cet instant tes fesses m’appartiennent. Puis il s’assoit et je le vois remonter ses manches, je tremble d’excitation et de peur.

    Il m’attrape et me positionne sur ses genoux, il attrapent mes mains et les tient d’un poigne ferme. Et la première claque part puissante.

    Je bredouille est-ce que je dois compter?,

    – il rit et me répond: compter pour quoi faire tu sais combien je vais t’en donner et avant même que j’ai pu réfléchir quoi lui répondre une deuxième claque s’abat sur mon postérieur suivie par d’autres, je commence à pousser des couinements, cette douleur est délicieuse je sens la chaleur qui irradie mon derrière. Par moment j’ai l’impression qu’il va arrêter mais non il reprend de plus belle fesse droite fesse gauche ou par moment il claque plusieurs fois la même fesse je perds le compte, il n’y a plus que les coups et mes couinements…

    -Voyons voir de quelle couleur est ce petit cul, je le sens relever ma jupe

    -Oh nous avons une jolie couleur rosé mais il m’en faudra plus. Et la fessée redémarre là je ne couine plus mais j’ai mal et pourtant à aucun moment je n’envie de lui dire t’arrêter au contraire plus la douleur s’accentue plus mon plaisir s’accroît jusqu’à ce que je sois dans une autre réalité, j’ai chaud j’ai mal et enfin je lache prise, mon dieu puis vient le moment où il me baisse le shorty et là la cadence reprend infernale salvatrice, je me rends même pas compte à quel point j’ai mal des larmes commencent à couler. Puis tout s’arrête, Matthieu me relève et me dit enlève cette robe et cette culotte je me retrouve nue devant lui si on enlève mon soutien gorge, il me prend la main et me dirige vers mon armoire et il ouvre l’une des portes vitrées et me chuchote à l’oreille:

    -regarde toi regarde ce beau petit cul rouge. Mes yeux parcourent mes fesses, elles sont d’un rouge que je n’avais jamais vu.

    -Mais nous n’avons pas terminé n’est ce pas? Il nous reste notre petit jouet puis il referme la porte de l’armoire

    -Appuie_toi sur l’armoire, il se dirige vers le lit et reprend le martinet. A travers la glace je le vois derrière moi le martinet en main

    -Inspire me dit-il Puis les premières morsures apparaissent je gigote je pleurs j’ai mal et je me sens délivrée du poids de mes problèmes de ma vie de tout. Le martinet claque sur mes fesses nues et on n’entend plus que les coups de martinet et mes cris mon dieu j’ai mal mais c’est tellement excitant.

    Puis au bout d’un moment, Matthieu s’approche de moi et me dit : tu as été parfaite c’est fini viens là et il me prends dans ses bras. Avant de partir il me glisse un ah et au fait un joyeux anniversaire. Pour sûre c’est un anniversaire que je n’oublierais pas et mes fesses aussi

    #97902
    Bouledegomme
    Participant


    Je ne sais pas si ce récit est inspiré d’un fait réel ou s’il est complètement fictif, mais il est agréable à lire et très suggestif  ( a priori, je pencherais plutôt pour la deuxième option).
    Bravo Bettyboo

    #97903
    Bettyboo
    Participant


    Merci beaucoup @boule66 il est complètement fictif

    #97909
    Sade73
    Participant


    Très beau récit… j’espère que c’est le début d’une longue histoire de fessées avec ton flirt et qui deviendra un jour un mode de vie accompagné de la discipline domestique….

    Continues de nous raconter tes punitions fesses à l’air et bien zébrées….

    #97911
    Bettyboo
    Participant


    Merci pour cet encouragement venant d’un tel débauché je suis flattée

    #97929
    Masseur1105
    Participant


    Trés jolie histoire à lire

    #97933
    Bettyboo
    Participant


    Merci beaucoup

    #97958
    manodura
    Participant


    Quelle maîtrise dans l’écriture!

    J’aurais parié que c’était du vécu.

    Bravissimo!!!

    #97968
    Bettyboo
    Participant


    Grazi mille signor è un piacere

    #98073
    Alu-fess
    Participant


    Belle plume, tellement bien écrit que l’on s’y croirait

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