Un aftercare un peu spécial
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- Ce sujet contient 2 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Efficace, le il y a 2 années et 7 mois.
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- 16 juillet 2022 à 07:18 #79974
Anonyme
InactifJ’aime bien après une bonne fessée à la main suivie de divers instruments prendre soin des fesses de ma partenaire, en crémant son fessier par exemple suivi d’un bon massage de celui-ci.
Mais il y a un autre “aftercare” auquel je m’adonne régulièrement, j’aime passer sur les fesses endolories la roulette de Wartenberg, histoire de réveiller les sens de ce postérieur et de ramener un peu de piquant 😁.
Et vous, avez-vous également une façon de faire un peu particulière pour l’aftercare ?
16 juillet 2022 à 09:32 #79976Saul
VisiteurAprès avoir mise au coin ma punir pour contempler mon œuvre, j’aime beaucoup la faire asseoir sur mes genoux afin de la consoler en lui malaxant les fesses
Suite sans doute à mon post récent, je reçois des sollicitations de fesseurs. donc pour éviter ses importuns avec lesquels je ne me connecterais je précise immédiatement que je suis HETERO, donc messieurs passez votre chemin MERCI
17 juillet 2022 à 08:41 #80005Efficace
ParticipantPas d’after sans un “before”. Avant de punir une jeune femme (ou pas si jeune d’ailleurs), je pense qu’il est important d’avoir une discussion sur ce qui va lui arriver, sans trop rentrer dans les détails. Par exemple le nombre de claques ou de coups de martinet. Le but, comme dans une technique de vente, est d’obtenir un assentiment qui met la future fessée dans un esprit d’ouverture. Ceci amènera, après la punition un after apaisé. Nos partenaires de jeux sont, somme toute, plutôt contentes que la séance soit achevée surtout si elle est punitive. Faire preuve de tendresse à son égard, la mettre assise toujours déculottée sur ses genoux, lui parler tout bas près de l’oreille, passer un doigt sous son menton et son cou, lui caresser sa croupe etc etc participe pleinement à la séance, l’apaise, et peux lui donner l’envie de recommencer en effaçant le côté traumatique de la correction qu’elle vient de recevoir. J’ai toujours procédé ainsi, et je doit dire que je ne l’ai jamais regretté, car je ne connais pas une femme qui soit insensible au fait qu’elle soit considérée pour ce qu’elle est : un être unique, capitale pour la personne qu’elle estime.
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