On doit se voir aujourd’hui, j’en suis ravi, c’est un kink qui est longtemps ancré en moi et que tu en aies envie aussi, c’est juste inespéré.
Je jubile intérieurement en attendant notre nouvelle rencontre.
J’ai pu trouver la table d’examen, je l’ai installée, j’ai réuni tout le matériel, j’aurais pu me servir à l’hôpital mais j’ai préferé l’acheter.
Voilà tout est prêt, pas de champagne, un blanc sec, selon tes envies, j’optais alors pour un Chablis Grand cru.
C’est le moment, tu es là devant moi, en petite robe d’été, des sandales nus-pieds. Magnifique, tes cheveux marrons un peu défait, comme d’habitude je dirais et ton petit sourire radieux, mais narquois, et tes yeux qui pétillent.
Je mets de la musique, classique cette fois, Sibelius, le concerto pour violon en Ré mineur.
Je te déshabille, je constate que tu es nue sous ta robe, coquine…
Tu t’allonges sur ma table nue, le sexe parfaitement épilé, comme je l’avais souhaité.
Je te laisses quelques instants, après avoir installé les étrier et mis une bonne paire de chaussette en style de baillon maintenu par un lien de soie.
Je me lave les mains précautionneusement, et retourne près de la table à instrument, j’ouvre les sachets stériles pour le plateau, le champ troué, le porte aiguille et les aiguilles, la bétadine dans sa petite cupule, le badigeon.
Une fois tout installé correctement, il est temps, un coup de S.H.A., et la mise de gants stériles.
Je te nettoie la vulve, au badigeon avec la bétadine, tu t’es tendue, le froid peut-être ou l’instant imminent de la suite.
Je saisi l’aiguille courbe et la fixe sur le porte fil.
Je suis prêt, lui dis-je.
Tu voulais connaitre une période de chasteté, je vais t’aider à la réussir, pas trop longtemps tout de même.
Es-tu prête ?
…
…
Prête oui ou non, on arrête de suite ou tu vas jusqu’au bout.
Elle acquiesça de la tête, rouge pivoine.
Je saisis une lèvre par un pince coeur et pénétrais l’aiguille, pas de réaction, elle maitrise ses émotions. Moi je suis aux anges, excité mais concentré. La deuxième lèvre, je rejoint les fils, je voulais faire un surget mais non point par point ;).
Les autres points on fini par laisser échapper quelques gémissements.
Une fois fini, je me débarrassais du champ, des instruments, nettoyais la vulve brunie par la bétadine, pas de sang, pas tellement et vite cessé.
Je l’aidais à se relever, enfiler un peignoir.
« Voilà jeune fille, tu as retrouvé ta virginité »
Une petite coupe de Chablis frais, un baiser sur son sexe fermé, une douche…
A bientôt jeune fille.
, le il y a 1 année et 3 mois.
