trotinnette fessée et sexe

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  • #103926
    Fessochix
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    Ça a failli commencer par une chute. J’ avais fait un écart sur le trottoir et j’ai été bousculé par une trottinette électrique, par sa conductrice.

    « Je vous ai fait mal ?

    – Vous n’avez pas à circuler sur un trottoir !

    – C’est dangereux, sur la chaussée.

    – Peut-être, mais vous êtes dangereuse pour les piétons ! Et vous ne m’avez pas vu ?

    – Vous avez fait un écart.

    – Il faudrait que je mette mon clignotant ?

    – Bon, oui, j’ai tort. Vous n’êtes pas blessé ?

    – Il ne manquerait plus que ça.

    -Je serai plus prudente.

    -Je l’espère bien.

    – Vous ne trouvez pas que je mériterais une fessée ?

    – Comment ?

    – Une fessée ! Vous savez ce que c’est ?

    – Mais vous avez passé l’âge !

    – Pas du tout ! J’ai même l’âge d’en recevoir de consenties.

    – Vous en recevez souvent ?

    – Je ne vous le dirai pas. Mais si vous me suivez ça m’en fera une de plus.

    – Ou au moins une : la première ?

    – Vous avez le sens de l’humour, comme avec votre clignotant.

    -Je vous suis ? mais pour aller où ?

    -Chez moi, enfin chez mes parents ; ils sont absents pour la journée. Venez, ça me fera du bien.

    -Si vous y tenez…je suis libre.

    -Eh bien voilà !

    – Mais, vous n’avez pas peur ? d’amener des inconnus ? chez vous ?

    – Je pratique les sports de combat.

    -Et vous êtes grande et bien charpentée.

    -Merci. On y va ? Ce n’est pas loin. »

    Elle pousse sa trottinette et me fait la conversation. J’apprends qu’elle a vingt et un ans et est étudiante en droit. Je lui explique que j’en ai quarante et suis traducteur littéraire. Nous arrivons devant un pavillon entouré de pelouses.

    « C’est ici. Pas de voisins en mitoyenneté. Et c’est bien isolé. Personne n’entendra ma fessée.

    -Tant mieux ! Mais si vous criez ?

    -Vous êtes vraiment drôle ! Laissez-moi ouvrir… »

    Nous passons le portillon qu’elle referme aussitôt à clé puis elle ouvre la maison.

    « Entrez donc, monsieur. Je vous propose la cuisine : la deuxième porte à droite. Je referme à clé. Le porte-manteaux est sur votre gauche. J’aime bien, la cuisine. J’y étudie, souvent. Et je vais commencer par préparer un café : au moins pour moi. Et vous ?

    -J’aime beaucoup le café.

    -Parfait. Et après le café, avant de me donner la fessée, vous m’en rappellerez le motif. Asseyez-vous donc. »

    Elle est grande et belle, et d’allure sportive. Ses vêtements un peu amples laissent deviner de jolies formes, un peu rondes. J’ai du mal à croire à ce qui se prépare. J’avais pratiqué avec une amoureuse vers mes vingt-cinq ans, et cela me manque. Mais, c’est plus prudent et plus amusant, je préfère jouer le non initié.

    «  Je ne vais pas vous demander si vous avez déjà donné la fessée, mais pour que ce soit une vraie, une bonne, bien claquante et qui met bien la honte ? qu’est-ce qu’on commence par faire ?

    -Vous allez me le dire.

    -Qu’est-ce qui peut gêner ? qu’est-ce qui protège les fesses ?

    -Le pantalon,mais je ne vais tout de même pas…

    -Mais si ! Vous allez me baisser le pantalon ! Puis vous me coucherez en travers de vos genoux.

    -Si vous y tenez. Fessée sur la culotte. Elle est épaisse ?

    -Vous n’allez pas tarder à le savoir. Mais elle protège aussi, et de plus, pour bien me mettre la honte…

    -La honte ? Mais le pantalon baissé vous l’aurez.

    -Il n’ y a pas que le pantalon…

    -Ah ! Vous voulez une fessée cul nu ?

    -J’adore cette expression ! Et vous allez me tutoyer ! Comme une gamine ! Je passe aux toilettes. Je vous laisse installer une chaise au milieu de la cuisine. »

    Je prépare la chaise. Elle veut vraiment une bonne fessée ! Un bruit de chasse d’eau, la voici de retour.

    «  Si vous voulez passer aux toilettes ? Je vous attends dans le coin.Vous m’y disputerez avant de m’amener près de la chaise. Je m’appelle Coralie : nous ne nous sommes pas présentés.-

    -Et moi Jean-Pierre. Au coin et les mains dans le dos. Je reviens dans deux minutes. »

    Les toilettes sont agrémentées d’un petit lavabo. Je me lave les mains, comme dans une sorte de rituel. Et c’est allé tellement vite que j’ai besoin d’un peu de temps supplémentaire.

    J’entre dans la cuisine et referme la porte. Je me donne l’air le plus sévère possible.

    « Coralie, tu as été très imprudente.

    -Oui monsieur

    -Retourne-toi et regarde-moi dans les yeux. Tu es dangereuse avec ta trottinette, pour les piétons.

    -Oui, je le reconnais, et j’ai très honte.

    -Tu vas avoir encore plus la honte ! Malgré tes vingt et un ans je vais te corriger comme une gamine de huit . On comprendrait, d’une petite fille, on lui ferait la leçon. Mais une jeune adulte…

    -La leçon ne suffit pas.

    -J’espère que tu l’as comprise.

    -Oui monsieur.

    -Mais tu la comprendras encore mieux après une bonne fessée. Et la retiendras mieux, aussi.

    -Une fessée ?

    -Eh oui. Suis-moi jusqu’à la chaise, et toujours les mains dans le dos.»

    Je m’assieds.

    « Bien devant moi, que je puisse déboutonner ton pantalon.

    -Vous allez…

    -Oui, te le baisser ! C’est une vraie fessée ! »

    Je soulève son pull. Elle porte un petite ceinture, je la déboucle, défais le bouton et glisse la fermeture. Elle me regarde faire. Puis j’écarte les deux pans et c’est cette fois le pantalon que je fais glisser le long des cuisses. Elles sont longues, musclées, avec juste ce qu’il faut de chair plus tendre autour. Elle porte une culotte de coupe plutôt large, en tissu blanc, classique.

    Je lui dis qu’elle peut sortir les mains de son dos et lui demande de se placer de côté, à ma droite, et de s’allonger en travers de mes genoux. Classique. Je l’aide à prendre la position. Plutôt grande, ses mains touchent le sol.

    « Coralie, le pantalon ne suffit pas. Tu mérites la fessée cul nu. »

    Elle pousse un petit gémissement où se mêlent à la fois la crainte et une sorte d’amusement. L’expression la met effectivement en émoi ! Je la tiens de mon bras gauche et de la main droite je commence à baisser la culotte. Elle doit avoir une certaine habitude de ce cérémonial, elle effectue dans un sens puis l’autre un petit mouvement de bassin pour que le sous-vêtement glisse bien entre son corps et mes genoux. Une punie coopérative ! Ce qui ne va pas m’empêcher de bien la corriger.

    Ses fesses sont magnifiques ! Larges, rebondies et sans graisse superflue. Des fesses de sportive.

    « Tu es prête ? »

    Bienséance de ma part, la fessée ne peut après ces préparatifs qu’être donnée ; et sans attente inutile, elle relèverait d’un certain sadisme moral.

    « Oui monsieur.

    -Alors j’y vais ! »

    Elle pousse dès les premières claques des gémissements, mais cette fois de douleur. C’est que je n’y vais pas de main morte ! Sa peau se teinte. Je continue. Courageuse, elle se crispe tout en me laissant continuer de la fesser. Ses gémissements laissent place à de petits cris : heureusement que personne n’entend. Puis ses cris passent à des « oh », comme si la fessée lui faisait un autre effet.

    Je ralentis la cadence de mes claques, tout en les maintenant bien vigoureuses. Son bassin s’agite de bas en haut. Ses « oh » s’intensifient et se prolongent.

    « Je vais jouir, continue. »

    Je ne peux pas refuser.

    « Ta main, l’autre main. »

    Je lâche l’étreinte que je continuais d’assurer et glisse cette autre main entre ses cuisses. Elle est toute humide. J’espace de plus en plus les claques et je me concentre sur les doigts de ma main gauche. Elle a un formidable orgasme : et bien bruyant.

    Elle reste quelque temps allongée sur mes genoux.

    « Très réussie, ta fessée. Et toi , ça t’a excité ? »

    Elle doit sentir la réponse à travers mon pantalon. Elle se lève en remontant sa culotte et son pantalon, sans se réajuster.

    « Lève-toi et allons vers l’évier. Tu pourras te rincer après et j’y passerai un coup d’éponge. »

    Je ne peux pas refuser. Elle me déculotte. Ses mains sont fort expertes. Elle guette ma jouissance : qui lui en procure une deuxième.

    Je remonte mon slip et mon pantalon et nous nous faisons un câlin.

    « C’est l’heure de déjeuner. Tu as faim ? Il y a tout ce qu’il faut dans le frigo. Tu partiras après, j’ai du travail pour mes études. Mais on se reverra , n’est-ce pas ? »

    Ça ne se refuse pas. Nous réajustons nos habits. Repas sympa comme tout. Que de plaisirs ! Dans cette journée. Heureusement que j’avais été bousculé…

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    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #103953
    Mlle Eleonore
    Participant


    J’ai bien aimé ce texte innovant Bravo !

    #104137
    Sombrelle
    Participant


    Sympathique ce récit, qui change un peu la donne habituelle!
    Et illustré par un beau dessin de Stan!

    Merci

    https://sombressensuelle.blogspot.com/

    #104138
    BadCristou
    Participant


    Bien sympa ce récit, merci

    #104141
    Paulparis
    Participant


    Dorénavant je regarderai les jeunes filles en trottinette avec un regard différent !

    #104143
    Fessochix
    Participant


    LOL ! Paulparis !

     

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

    #104244
    Fessochix
    Participant


    Merci pour ces retours, pour ces encouragements.

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

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