trop de soirées, à la baguette de noisetier tu seras fouettée
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Étiqueté : baguette, chatiment, déculottée, Fessée, punition
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1 décembre 2021 à 21:46 #73037ParisspankingParticipant
Bonjour à tous et toutes,
Ce récit est la suite de « Marie fessée pour procrastination »
Marie et moi ne nous étions pas rencontrés depuis plus d’un mois, sans pouvoir m’en attribuer tous les mérites : depuis que j’étais rentré dans sa vie pour l’aider à se canaliser, beaucoup de choses allaient mieux : moins de sorties, de très rare couchés tardifs et surtout depuis la sévère fessée qu’elle avait reçu lors de notre dernière rencontre elle n’avait plus remis à plus tard un devoir et les avait rendu tous en temps.
Je pris des nouvelles de Marie en lui passant un appel comme je le faisais chaque semaine.
« Tu es sortie la semaine dernière? » Lui demandais-je
« oui » répondit elle juste, d’une voix peu affirmée.
« en semaine? »
Elle prit quelques secondes pour répondre « oui en semaine »
« combien de fois ? »
« bah en faite j’avais l’anniversaire de deux amis la semaine dernière donc bah deux fois »
Je laissai planer un silence…….. « tu as trouvé judicieux de sortir en semaine? vous ne pouviez pas faire ça le weekend quand il n’y à pas cours le lendemain? »
« heu tu sais je n’organisais pas, j’étais juste invitée »
Marie avait enfreint une règle de base de notre contrat moral: ne pas se coucher tard en semaine et donc ne pas sortir. Mais avant d’annoncer si un recadrage de visu était nécessaire je décidais d’en savoir plus.
« Et des devoirs écrits tu en as eu? » relançais-je
Elle hésita et finit par dire : « je sais que tu vas pas être content mais jeudi dernier je n’ai pas pu rendre le devoir car je n’ai pas eu le temps de le finir »
« Et quels jours de la semaine étais tu sortis? »
« mardi et mercredi »
« ha ok je comprend mieux….. quoi te dire ….. tu viendras vendredi 16h chez moi…. je ne t’en précise pas la raison »
Marie savait bien que si je lui demandais de venir vendredi c’était la fessée qui l’attendait. Elle me confirma sa présence.Vendredi arriva…..
Marie fût à l’heure, elle n’avait sûrement pas voulu aggraver son cas en arrivant en retard.
Elle traversa le jardin pour rejoindre la maison d’un pas lent.
Elle entra comme à mon habitude, je lui proposais si elle souhaitait boire quelque-choses, je l’invitai à s’installer sur le canapé.
J’emmenais les boissons, elle avait un regard flottant, tantôt par la fenêtre, tantôt fixant le sol mais son regard avait du mal à se poser sur moi, comme si je lui inspirai une certaine crainte.Pourtant ce fût elle qui lança la discussion :
« tu sais je tiens à m’excuser c’est vrai j’aurais pas du enchainer deux soirées en semaine alors que je devais bosser sur un devoir, j’ai été bête »
« Mais en faite tu ne dois pas demander pardon à quelqu’un d’autre qu’à toi même, c’est toi qui te tires des balles dans le pied, tu n’impacts en rien ma vie juste la tienne, et d’une façon bien négative »
« oui c’est vrai » acquiesça-t-elle
« tu as déjà été punie pour ce motif, te rappelles tu la sanction prévue dans ce cas? »
« ho oui je m’en rappelle comment pourrais-je oublier la fessée que tu m’as mise »
« cette fois ce ne sera pas à la spatule de cuisine que je vais te corriger, mais quelque-chose de plus sévère »
à l’annonce de cette phrase je sentis de la panique sur son visage, elle m’écoutait mais ne pouvait dissimuler les émotions qui la traversaient.
« tu auras la fessée à la main mais elle sera suivit d’une fessée à la baguette »
« la baguette??? » répéta-t-elle avec interrogation, je n’avais en effet jamais mentionné cette option parmi les instruments que je pouvais utiliser
« Tu vas remettre ton blouson et sortir dans le jardin, il y a un sécateur à côté des pots de fleurs. Tu vas au noisetier et tu coupes 6 branches, les plus droites possibles et entre 6 mm et 1 cm de diamètre »
Elle ne bougea pas…….. « tu n’as pas compris ce que je t’ai demandé? »
« si si » « si si » dit-elle, elle se leva remit son blouson, sortit et se dirigea vers le noisetier , je la regardais par la fenêtre, elle me jeta plusieurs regards, je pense qu’elle se demandait si elle rêvait ou si elle était réellement dans un jardin et « cueillait » les baguettes qui allait servir à la punir.
Elle revint vers la porte d’entrée, je sortis, je récupérais les baguettes et sur les 6 n’en gardais que 2.
« maintenant tu les rends lisses tu retires toutes les feuilles une par une »
elle me regardait un peu interloquée mais finit par s’exécuter. Une fois les deux baguettes prêtes elle entra et me les tendit.je m’installais sur une chaise « retires ton blouson, approches » elle s’exécuta et se présenta face à moi, d’un air peu rassuré et pourtant je sentais qu’elle voulait faire face à la punition avec fierté.
Je lui baissai son jean en silence, elle était résignée et savait que tenter d’empêcher la descente du pantalon aux chevilles ne ferait qu’aggraver son cas. Je la saisis par le bras et la guidai sur mes genoux.
A peine installée en position ma main monta en l’air et la fessée commença, claquant les fesses par dessus la petite culotte. Au bout d’une petite cinquantaine de claques, je saisis l’élastique de la culotte et Marie fût déculottée. La fessée repris plus claquante il n’y avait plus de protection c’était peau contre peau et celle de ma paume de main avait largement le dessus et venait meurtrir celle des fesses de Marie. Elle lâchait par moment un petit gémissement à l’impact de ma main sur son fessier.
La fessée s’arrêta, « lèves toi » lui ordonnais-je, elle s’exécuta.
Je me levai aussi, « maintenant tu vas t’agenouiller au sol et allonger ton buste sur la chaise, et on va passer aux choses sérieuses »
« tu m’as déjà fait très mal tu sais j’ai retenu la leçon » dit elle, même si au fond elle savait que ça ne changerait rien et que j’exécuterais la punition de la façon dont je l’avais annoncé.
« non tu n’as rien retenu pour le moment mais tu vas je te le garantis, tu vas recevoir 80 coups de baguette de noisetier »
« 80 mais non c’est bien trop, j’ai déjà les fesses qui me brulent, pas 80 c’est trop je ne vais pas pouvoir en prendre autant » me suppliait elle d’une voix tremblante.
Pour les instruments sévères je préférais toujours annoncer le nombre de coups en avance que la punie puisse se situer dans sa correction.« aller installes toi » elle s’exécuta et pris position.
une fois ses fesses ainsi positionnées, prêtes à recevoir la correction, je posai la baguette dessus et demandai : « tu es prête? »
« oui » dit elle doucement d’une voix résignée.
La baguette décolla et à la descente elle siffla dans l’air un son bien singulier avant d’atterrir sur les fesses tendues de Marie….. ttcchhlllaaakkk , Marie releva la tête en arrière d’un coup reflex en réponse à ce premier coup, qui parut déjà bien douloureux.
Le second ne tarda pas et vint marquer la peau juste sous la trace que le premier avait déjà laissé.
A chaque coup je voyais Marie se contracter des fesses jusqu’à la nuque, elle réussit à retenir ses cris durant une dizaine de coups mais elle ne pu les retenir plus longtemps et chaque coup de cette baguette fine et flexible était suivit d’un gémissement plus ou moins étouffé selon la zone du fessier où la baguette venait de s’abattre.
Je lui fouettais l’intégralité du fessier. La baguette était fine et cinglante elle creusait des stries dans la peau de la pauvre Marie qui devait fortement regretter avoir préféré aller en soirée plutôt que de rendre son devoir à temps.
Elle mit sa main à plusieurs reprise pour se protéger des coups « retires ta main ou je les attache aux pieds de la chaise »
Nous arrivions aux 20 derniers coups, c’était à présent des grands râles de douleurs que Marie lâchait quand la baguette cinglait ses fesses, elles étaient zébrées par les nombreux impacts laissés par la baguette.
Elle s’était efforcée tout au long de la punition de la recevoir dans la plus grande dignité et d’y faire face avec bravoure mais la douleur physique que lui infligeait cet instrument des plus sadique avait eu raison de son moral et elle avait abandonné toutes idées de rester fier jusqu’à la fin.
Elle gérait sa douleur comme elle pouvait, vers la fin j’espaçais les coups de baguette la sentant totalement à bout de force.
Je lui annonçai qu’il ne restait plus que 10 coups, ce qui ne sembla pas pour autant la soulager.
Le dernier coup s’abattit finalement sur ses fesses profondément marquées.Je lui annonçai la fin de sa punition, et qu’elle pouvait se relever et s’habiller, elle resta en place quelques minutes à se toucher les fesses doucement pour en évaluer les dégâts.
Finit par se lever en silence, le regard humide.
« j’espère que tu ne comptais pas aller à la piscine les jours à venir cela me semble compromis » lui dis-je.
« je peux aller me regarder dans une glace il faut que je vois à quel point tu m’as fait des marques, je ne crois pas avoir déjà eu les fesses dans un tel état.»
je lui indiquais où il y avait un miroir qu’elle puisse aller s’admirer ses fesses ainsi coloriées.
Quand elle revint dans le salon je lui demandai si elle comptait de nouveau un jour préférer les soirées en semaine à bosser ses devoirs?
« je n’ai jamais connu un instrument aussi douloureux que ces baguettes de noisetier non non c’est sur ça n’arrivera plus jamais, j’ai bien compris la leçon ».
Nul doute que au moment de s’assoir dans le train pour rentrer la leçon continuerait……….2 décembre 2021 à 14:42 #73050SaulVisiteur
Très chouette récit… même si la sévérité appliquée me paraît élevée… mais au moins Marie n’est pas prête à recommencer
Suite sans doute à mon post récent, je reçois des sollicitations de fesseurs. donc pour éviter ses importuns avec lesquels je ne me connecterais je précise immédiatement que je suis HETERO, donc messieurs passez votre chemin MERCI
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