Traditions d’outre-Manche Chapitre 2

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    ALAIN ELOGE
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    Chapitre 2
    After.
    Retour à la normale
    Et, durant le reste du repas, il ne fut plus question des moments que nous venions de vivre. La conversation roula sur bien d’autres  sujets, Mary continuant à jouer les interprètes quand cela devenait nécessaire. Le repas terminé, il était déjà presque vingt trois heures, j’ai souhaité la bonne nuit à mes amis avant que chacun se retire dans sa chambre. Quand elle m’a fait la bise, Mary m’a murmuré un tout petit « merci », en français, à l’oreille. Je  n’ai pas compris la raison de ce remerciement, mais je  n’ai pas jugé adéquat de le demander. Quant à Ed, j’ai eu furtivement l’impression qu’à un moment sa main a frôlé mes fesses  peut-être un peu plus que de raison, mais peut-être était-ce une idée de ma part, et en tous cas cela était assez discret pour que je puisse faire comme si je ne m’en n’étais pas aperçu.  Ma chambre était au rez – de chaussée, celle du couple au premier étage. Rien ne me permettait, bien sûr, de savoir comment mes hôtes finiraient la soirée. Pourtant, le soir même, j’étais persuadée que leur fin de soirée serait sensuelle. Non qu’ils aient eu le moindre geste équivoque durant le repas. Ed s’y était montré un maître de maison charmant, et même un mari attentif n’hésitant pas à mettre la main à la pâte pour aider sa femme au service. Il n’avait pas eu un geste tendre ni le moindre bisou à son intention. Mais il m’avait semblé que son regard était brillant et plein d’amour pour elle. Et surtout, il m’avait semblé qu’il en était de même pour elle envers lui. La séance claquante devait pourtant encore lui cuire, puisqu’à plusieurs reprises elle réprima une grimace de douleur en se rasseyant. Il lui est même arrivé, une fois, de me faire une sorte de demi clin d’œil avec un sourire qui me confirma dans l’idée que son fondement devait encore être douloureux. Mais, si elle s’était montrée obéissante quand il s’était s’agit de se mettre, selon l’expression de son mari « en tenue et en position » elle n’a en rien joué à la femme soumise durant le repas.  Aussitôt la fessée terminée, elle était redevenue la femme active, moderne, et même libérée que je connaissais auparavant. Et, à la réflexion, l’absence de culotte ne paraissait pas la gêner en quoi que se soit. 
    Hélène seule
    Quand je me suis retrouvée seule dans ma chambre, comme j’ai l’habitude de le faire en rentrant à la maison, avant de me déshabiller et de passer à la salle de bain, j’ai d’abord retiré ma culotte. Et, machinalement, là aussi comme je le fais toujours sans même y penser, je l’ai porté à mon nez . Si jusque là j’avais pu ne pas me l’avouer franchement, sa fragrance chaude et épicée, et surtout son état d’humidité ne pouvaient être niés. Mon slip était bel et bien trempé. Une large tâche plus foncée était bien visible sur le devant, et le pont était véritablement gluant de mouille. Je ne pouvais refuser la vérité, alors que cet homme que je connaissais à peine avait claqué les fesses de mon amie jusqu’à les faire rougir et à la faire crier et pleurer, mon sexe s’était bel et bien mis à ruisseler. Voir Mary recevoir la fessée m’avait fait mouiller !
       Sans culotte
    C’est à cet instant que je me suis souvenu qu’après avoir reçue sa cuisante fessée et s’être doucement frotté les fesses, je suppose pour tenter d’atténuer la cuisson, Mary n’avait pas remis sa culotte. Elle était restée sur la table basse où nous avions pris l’apéritif. Ainsi elle avait donc passé le reste de la soirée, servi à table et fait la cuisine le derrière rouge et nu sous sa jupe. L’idée que ma nouvelle copine pouvait ainsi être sans slip sans que cela ne semble la gêner en quoi que se soit ma fait sourire. Ainsi cette femme partageait peut-être mon habitude. Je me suis en effet demandé si c’était seulement les jours où elle avait reçu la fessée qu’elle restait ainsi ou si, comme c’est mon cas, elle était coutumière du fait. En effet, quand je suis chez moi, je ne porte presque jamais de slip. Le matin, ce n’est que juste au moment de sortir que j’enfile ma culotte. Et le soir, à peine entrée dans le hall de mon appartement, souvent avant même de retirer mon imperméable, j’enlève ma culotte. Il m’est d’ailleurs arrivé assez souvent de la déposer sur la petite table qui est dans l’entrée, et d’oublier de la reprendre ensuite pour la mettre dans le panier de linge sale. Cela fait souvent rire mon mari quand il rentre après moi et qu’il trouve mon slip ainsi abandonné. A l’inverse, il m’est aussi arrivé quelques fois d’oublier de passer une culotte avant de sortir, de m’en rendre compte quand j’étais déjà dans la rue, et de devoir remonter quatre à quatre pour en mettre une. Etait-ce l’effet de la coupe de champagne français qu’Ed avait voulu ouvrir à l’apéritif puis du bon vin (français) qu’il m’avait servi peut-être un peu généreusement, ou bien celui des moments pour le moins exceptionnels que j’avais vécus avant le repas ? En tous cas, alors que je retirais ma robe et mon soutien gorge, mon esprit se mit à battre la campagne en me remémorant les circonstances où il m’était arrivé de passer des moments hors de chez moi sans slip. Mon mari aime particulièrement me demander, avec une certaine insistance, de m’en passer quand nous sortons au restaurant. Je me souvenais ainsi de cette soirée, déjà lointaine, que nous avions passée dans un charmant petit restaurant  sur un port de Normandie. Je ne sais plus comment il en était arrivé là, mais le fait est qu’entre le plat et le dessert, il m’avait convaincue de passer aux toilettes d’où j’étais ressortie avec la culotte, un charmant petit slip soyeux vert à pois blancs, dans mon sac à main. Quand j’avais rejoint notre table, je n’avais eu qu’à entrouvrir mon sac pour que mon mari constate que mon sous vêtement y étais visible. Il n’avait pas eu le temps de faire quelque commentaire que se soit, la serveuse arrivant au même moment pour prendre la commande des desserts. Je me mis à rire toute seule en me rappelant comment il avait bafouillé pour indiquer ce qu’il prendrait. Et surtout en revoyant comment il s’était montré pressant dans la voiture sur le chemin du retour à l’hôtel. Il n’avait pas eu la patience d’attendre que nous y soyons arrivés et avait fini par arrêter l’auto dans un petit chemin pour me peloter et constater du bout des doigts la nudité de mon entrejambes. Il faut croire que la situation m’avait aussi plus qu’émoustillée, puisque je m’étais enhardie jusqu’à ouvrir sa braguette pour prodiguer une fellation à un sexe dont la vigueur prouvait à quel point la disparition de ce petit morceau de tissus avait agit sur sa libido. Tandis que je m’étais allongée sur le lit, d’autres images me venaient en tête. Cette autre soirée, à Reims, lors de laquelle je n’avais pas eu à quitter la table pour me débarrasser de ma culotte, puisque je m’étais rendue au restaurant sans en avoir mise, et que je ne l’avais dit à mon mari qu’alors que nous étions déjà installés à table. Ou cette salle d’un restaurant donnant sur la mer en Bretagne et dans laquelle nous étions restés les derniers clients. Comme c’était déjà devenu presque un rituel lors de nos repas en amoureux, j’étais passé aux lavabos pour retirer ma culotte un peu plus tôt. Et à la fin du repas, alors que je m’étais levée de table pour aller regarder la mer au travers de la grande baie vitrée, mon mari m’avait brusquement soufflé : « montre-moi ! » Et, alors qu’un serveur pouvait à tout instant surgir dans la salle desserte,  j’avais, sans me retourner, relevé ma jupe au dessus de ma taille pour lui permettre de se régaler de la vue de mes fesses nues. Une autre fois, en plein hiver alors qu’il faisait un froid de loup, j’avais fait la même chose dans une rue de Lille, alors que mon mari était quelques mètres derrière moi, et qu’il m’étais bien sur impossible de savoir si un  voisin ne pouvait pas bénéficier du même spectacle.
       Auto – fessée
    Tandis que ces souvenirs me trottaient dans la tête, je m’étais allongée sur le lit et, presque inconsciemment, ma main avait commencée à se balader sur ma peau. Comme je le fais souvent, mon doigt s’est posé sur le bout du sein droit, puis s’est mis à tourner autour, tandis que ce têton durcissait et se dardait. Puis l’autre main a saisi l’autre sein à pleine paume, et je me suis mis à malaxer doucement ces deux masses douces et tièdes. Je les pressais l’un contre l’autre, comme deux fruits murs. Les mains descendirent ensuite sur les flancs, sur mon ventre, à l’intérieur des cuisses, retardant le moment où, enfin une main viendrait se poser en coque sur mon buisson frisé. Ma peau s’est mise frémir, à se couvrir de chair de poule. Mon index s’est mis à tourner doucement autour de mon petit bouton, avant de se glisser subrepticement entre les lèvres moelleuses. Le pouce a ensuite remplacé l’index, pour permettre à celui-ci de s’introduire dans l’autre entrée, de manière à ce que l’une et l’autre soient investies en même temps, comme par une pince. Je sentais mon petit trou palpiter, signe avant coureur de l’approche de la jouissance. Alors je me suis retournée sur le ventre. Ainsi mes seins frottaient sur la couverture rêche du lit, ajoutant une nouvelle source de plaisir, puisque les deux doigts étaient bien sur restés en place,  poursuivant un double va-et-vient.  Mais avant que la vague du plaisir ne me submerge, je me suis brusquement mise à genoux, le haut du corps restant au contact du lit, dans la position que l’on adopte pour la levrette. Ma main droite restait crispée sur mon sexe et sur mon cul, et, de la main gauche, je me suis envoyée une grande claque sur la fesse. Le choc m’amena à m’empaler plus profondément, devant d’abord, puis derrière en retour. La fulgurance du plaisir fut telle que je la ressenti plus, bien plus, que la douleur de la gifle. Je pense que j’ai gémi de plaisir. Alors, bien sûr, j’ai recommencé, me claquant moi-même le cul encore et encore. Je ne pense pas que j’avais alors en tête les images de la fessée reçue par Mary auparavant. En fait je pense que je n’avais plus rien d’autre en tête que la recherche effrénée de faire monter le plaisir. Un plaisir rude, presque brutal. A chaque nouveau coup sur mon cul, je me cabrais, je creusais les reins, et mon doigt défonçait ma chatte. Puis je reprenais la position initiale, et l’autre doigt défonçait mon petit trou. Je ne sais pas vraiment combien de claques je me suis ainsi infligé. Assez en tout cas pour que je ressente vraiment la cuisson de mes fesses. Et aussi assez pour que, après que je me sois écroulée, vaincue par la déferlante de la jouissance, je puisse aller constater, les jambes flageolantes, que mon cul était vraiment rouge vif. J’en ai conçu une sorte de fierté, mais en même temps une sorte de jalousie en constatant immédiatement qu’il l’était beaucoup moins que celui de Mary. Et ce n’est qu’en faisant cette constatation, que je me suis demandé avec effroi si le couple qui m’accueillait n’avait pas pu entendre …
     

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