Suis tout à fait de l’avis de Fraise des bois. Déculotter une dame, n’est point seulement pour que la claquée fasse plus mal. Cela sert tout autant à faire honte, à concrétiser plus avant une relation particulière entre le fesseur et la punie.
C’est sur ce même sujet que déshabiller la dame plus avant que les fesses est de lui faire plus honte encore, et cela d’autant plus qu’elle est fort pudique. Que le fesseur soit habillé et la dame nue, renforce la position de la punie comme étant une punie.
En tant que fessothérapeute, si je puis ainsi dire, la fessée produit son effet à partir du moment où la punie s’est dépouillée de son armure sociale, et qu’ainsi elle ait accès à son vrai moi profond. Et c’est bien de cela qu’il s’agit déjà de se retrouver pour elle dans cette position régressive, honteuse, “soumise” de la fessée. Une dame fort pudique, montrer ses fesses voire son sexe, ou montrer ses seins, relève en fait du même régime : mettre de coté un instant sa dignité sociale, pour pouvoir accéder à quelque chose d’autre, plus authentique, tant il vrai qu’après tout, cela n’est rien de plus qu’une convention sociale de nos cultures.
Nul érotisme en l’affaire.
Mais ici comme en tout autre point, tout est affaire d’adultes consentants. Et donc, de conventions initiales, de confiance réciproque, et tout ce genre de choses.
