Ta « Pénitence »

[Monsieurgigi]

Ta liste de bêtises ne désemplit pas, au contraire. A croire que tu le fais exprès ! Comme tu en es bien consciente, tu me proposes une « pénitence » en lieu et place de la traditionnelle fessée sur les genoux.
C’est toi-même qui a trouvé ce terme de « pénitence », et je le reprends volontiers à mon compte. Comme nous avons toute l’après-midi pour nous, nous allons pouvoir prendre notre temps, et ce pour un plaisir partagé…
Pour cela, tu as revêtu ta jolie robe, longue pour que le plaisir dure encore plus. Avec un petit sourire qui cache mal ton état d’excitation, tu va prendre ta position de « pénitente », à savoir à genoux sur le lit, la tête à moitié enfouie dans les draps et surtout…la croupe bien en l’air…Exposée. Offerte.
C’est à ce moment précis que commence notre jeu de la « pénitence », car tu ne sais pas ce que je vais décider de faire pour te punir… Une fessée classique, ou bien un troussage de robe exécuté lentement avant un déculottage tout aussi lent, ou bien…rien du tout ! Je pourrais te laisser dans cette position bien frustrante pendant une heure…
Il arrive même que je décide de t’attacher les poignets passés derrière tes jambes avec un foulard !
Absorbé par mes pensées, je prends mécaniquement la seule chaise de la chambre et m’installe derrière toi, avec vue imprenable sur ta jolie croupe. Combien de millions d’hommes dans le monde voudraient être à ma place !
Cette pensée me fait sourire, et sans même bouger de la chaise, je retrousse lentement et comme il sied ta robe et la pose délicatement sur tes reins ; j’observe avec amusement et plaisir le frémissement incontrôlé de tes longues jambes. Ce frémissement atteint maintenant tes fesses lorsque mes mains se posent sur ta croupe, en longues caresses circulaires. Et comme tu t’attends au déculottage, bien évidemment je ne le fais pas…tout de suite ! Au contraire, je me lève de ma chaise pour détacher le haut de ta robe et dégrafer ton soutien-gorge. En plus de vouloir être maître du temps, je me veux maître de ton corps…Vu l’état de tes mamelons, nul doute que tu apprécies silencieusement…
Je me rassois et commence alors le déculottage lent et progressif (je note avec plaisir que tu portes cette marque italienne que j’apprécie particulièrement) Incroyable les effets que peuvent produire quelques grammes de dentelle…
Toujours assis, et maintenant qu’il n’y a plus ni robe ni dentelle pour te dissimuler, je…contemple ! Parfois, les mots peuvent paraître faibles et vides de sens pour évoquer les merveilles de la nature. Pour faire simple, je pourrais dire que ma position actuelle est un peu le « paradis » du fesseur…
Peut-on imaginer le chef-d’œuvre qu’aurait pu en tirer le génial Gustave Courbet ? Les femmes savent-elles toujours les émois qu’elles nous procurent ?
Ces moments délicieux et silencieux sont les nôtres, à jamais. Il faut en profiter !
Je me lève, tu entends mes pas et te demandes avec délice ce que sera la suite imminente : claques douces, claques sévères, caresses intimes ?
Moi, je sais déjà !   😉

Monsieurgigi : l'essayer, c'est l'adopter !

[Paulparis]

Bravo @monsieurgigi pour cette ambiance si bien dépeinte et qui donne en effet envie, comme tant d’hommes d’être assis sur la chaise de cette chambre.
Rester patient, posé, tranquille… prendre son temps pour jouir du spectacle avant d’agir. Vous avez mille fois raison

[Linette]

Très jolie texte,merci pour le partage ????

[Monsieurgigi]

Merci pour vos remarques ! Les jeux autour de la fessée peuvent être si nombreux avec de l’imagination…  😉

Monsieurgigi : l'essayer, c'est l'adopter !

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