Suzanne (suite de A la salle de sport)

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    Droopy
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    Comme promis voici la suite de : A la salle de sport

    Dans ma première histoire Un dimanche en vélo, Certains faits étaient vécus. Mais pour les suites, j’ai inventé beaucoup de choses

     

    Suzanne m’avait vraiment tapé dans l’œil. Agathe lui ressemblait beaucoup et je la trouvais vraiment à mon gout. Même cheveux blonds et des yeux bleus tellement craquants. Je l’aurais bien invité à boire un verre mais comment l’inviter sans froisser Agathe.  C’était sur ces pensées que mon téléphone sonna.

    • Salut c’est Agathe !
    • Bonjour, comment vas-tu ?
    • Mes fesses vont mieux ! me répondit elle

    Eclat de rire. Elle ne manque pas de répartie et j’adore ça

    • J’ai parlé à maman de tes talents
    • Pardon ? répondis d’une voix étranglée.
    • Non je n’ai pas parler de tes talents de fesseurs mais plutôt de tes talents de réparateur vélo.

    J’étais en parti rassuré. Je pense que dans un autre cas j’aurais eu du mal à revoir et regarder Suzanne dans les yeux.

    • Elle voudrait que tu passes chez elle réparer son vélo. Une selle cassée. Je lui en ais acheté une mais je ne sais pas la changer. Et elle voudrait que tu l’emmène faire un tour pour lui apprendre deux trois trucs.
    • Ok pas de soucis je m’en charge.

    Après avoir calé le jour et l’adresse de Suzanne, nous avons encore discuté cinq minutes puis nous nous sommes séparés sur un :

    • A+ sur le vélo On ira faire un parcours vers le lac !

    Deux jours plus tard je me rendais donc chez Suzanne. Le Van était chargé d’un peu d’outillage et de mon vélo. Le Gps me mena en campagne devant l’entrée d’une petite propriété provençale. Après avoir sonné à l’interphone, le portail s’ouvre et je me gare dans la cour de gravier. Suzanne m’est donc apparu vêtue d’un bikini qui m’était en valeur sa poitrine et l’échancrure de son bas de maillot embellissait le bas de son ventre plat et musclé. Elle était très athlétique et cela se voyait à sa silhouette. C’est le genre de maillot dont on ne sait pas où poser les yeux quand il s’agit de dire bonjour…

    • Désolée j’ai mis du temps pour vous ouvrir, il fallait que je trouve à m’habiller.

    Mon cerveau a vite imaginé quelle était sa tenue avant de m’ouvrir.

    Elle m’amena directement devant son vélo.

    • Voilà l’objet de torture. Je l’ai mis sur la terrasse. Ce sera plus agréable.
    • Ok je m’en occupe.

    Pendant que je sortais ma trousse d’outillage Suzanne partie me chercher un café.

    • Merci Suzanne
    • Appelez-moi Suzon…
    • Merci Susson—pardon Suzon ! me repris-je

    Elle eut un petit sourire. Je peux être très maladroit.

    Elle reparti en direction de la piscine pour se remettre sur son transat. Je la regarde s’allonger. Un vrai délice. Et une paire de fesse incroyable.

    Il m’a fallu à peine vingt minutes pour changer la selle, régler le dérailleur et vérifier l’ensemble du vélo. Une fois cela terminé, je me suis dit qu’il serait intéressant de régler l’ensemble à la taille de Suzon. Je l’appelle donc pour venir esaayer le vélo. Elle s’approche telle un félin. Mes yeux avaient du mal à décrocher sa poitrine. On pouvait voir sous le maillot la forme de ses tétons. Il semble qu’elle apprécie la chaleur du soleil.

    –  Que faut-il faire ?

    – Mettre des chaussures de sport

    – Ce ne sera pas très saillant avec mon maillot.

    – Pas grave je ferais comme si vous n’en aviez pas !…

    Deuxième boulette. Décidemment je les cumule aujourd’hui

    Elle me tourna le dos pour mettre une paire de basquette non loin de là. Elle se penche en avant. La vue sur son fessier était juste « Wahou ». Le bikini blanc en profita pour entrer dans le sillon de ses fesses découvrant un peu plus la peau. Je l’ai faite s’assoir. Je regarde que la hauteur soit correcte.

    • Comment est l’inclinaison de la selle ?
    • L’avant de la selle me frotte sur le… La …. Vous ne pourriez pas la pencher un peu ?

    Gloups.  J’avale ma salive. Décidemment elle aime jouer. Je sors mon outils (ma clé de 13) mais pour accéder à l’écrou quand les fesses de suzon sont à portées de ma bouche, la selle encastrée dans son… sa…. Bref je m’exécute, je desserre penche un peu la selle, revisse. Je me redresse, une bosse au bermuda…

    • Merci me dit-elle en me faisant un bisou sur la joue.

    J’ai senti mes joues rougir. Pour le coup c’est elle qui a le dessus

    • Allons boire un verre ! me dit elle. Bière Coca ?
    • Coca !

    Nous nous dirigeons donc vers la piscine Elle ouvre un petit frigo de la cuisine d’été. Elle sort un Coca et un Perrier. Les plus anciens se rappelleront la pub Perrier. Je suis à peu près dans cet état. Elle ouvre les deux boissons et les verse dans un verre. Elle se dirige vers moi et verres à la main s’encombre dans le transat. En perdant l’équilibre elle vient renverser les boisons glacés sur moi coca et perrier se déversent sur mon bermuda. Je la rattrape tant bien que mal. Mais en se relevant on ne peut que constater les résultats de sa maladresse. Une tache énorme sur le bermuda.

    • Oups ! dit-elle.

    Elle se retourne vers sa cuisine. Moi je bouillonnais et en même temps je me dis que l’occasion est trop belle. Elle revient vers moi, Chiffon humide à la main et s’agenouille à mes pieds pour commencer un nettoyage de mon bermuda. Bien sûr elle ne tarda pas à frotter un peu plus sur la bosse qui grossissait à m’en faire mal.

    • Comment me faire pardonner ?

    Pour toute réponse je la saisi par la taille. La bascule sur mes genoux. Ayant quand même le sens des responsabilités tout en faisant cela, de mon autre main, je lui descends le bas du maillot. En effet ce serait dommage de tacher un si beau maillot blanc. Elle atterrit donc sur mes genoux, cul à l’air. Immédiatement je peux remarquer le bronzage intégral de ses fesses. Ma main se lève et, profitant de son étonnement je lui inflige une belle fessée. Elle n’a pas eu le temps de protester. J’entends un Aie ! Je ne m’occupe pas de ses protestations, et continue ma besogne. Après cette série je laisse ma main effleurer la peau de Suzon. Son bronzage est parfait. L’odeur de sa peau mélanger à celle de la crème solaire m’enivre un peu. Suzon ne bougeait plus la tête posée sur l’oreiller, une esquisse de sourire aux lèvres. Après cette trentaine de seconde de douceur je lui dégrafe le haut de son maillot. Ses tétons enfin libres étaient durs sous ma main libre. Les cigales continuaient leur chant comme si elles voulaient donner le tempo de mes claques.  Je repris une dizaine de fessés. Fesse gauche fesse droite. J’alternais pour mon plus grand plaisir. Je m’arrêtais pour glisser mes doigts entre ses cuisses. L’humidité de son sexe était parfait. Je pouvais sentir ses lèvres entrouvertes sur son clito bien dur. Mon doigt s’insinue dans sa chatte.

    • Je ne dois pas ! s’écrie t’elle.

    Et c’est d’un bon qu’elle se redresse. Je ne peux pas la retenir. Elle se tenait devant moi telle une enfant qui a fait une bêtise. Les jambes croisées, une main masquant son sexe rasé et l’autre cachant ses seins.

    • Je ne peux pas par rapport à Agathe !
    • Hein ? Répondis-je dépité
    • Vous me plaisez Mais je ne peux pas ! Vous êtes son ami et je ne peux pas !
    • Et merde !

    Ça je ne l’ai pas dit mais je l’ai pensé très fort. Elle parlait vite.

    Elle se rhabilla plus vite que je ne l’avais déshabillée. Elle était aussi rouge que ses fesses. Moi j’étais en pleine frustration. Elle me ramena un verre de Coca. Nous avons bu ensemble et une heure après je me suis éclipsé. Je suis donc reparti avec la même frustration ressentie avec Agathe.

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