Sous le Panthéon !

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    Anonyme
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    Il avait retrouvé mademoiselle Marie vers midi par un dimanche d’août ensoleillé…

    Seul durant des vacances à la fois trop longues et trop courtes sans femme ni enfants partis dans une lointaine et poussiéreuse maison familiale de la côte normande, il traînaillait sur ses dessins en cours au grand désespoir de son éditeur, lequel appelait tous les trois jours pour s’enquérir de l’avancée du travail attendu. Il inventait des trucs, disant que tout allait bien en évitant de montrer quoi que ce soit, car il en était au même point depuis deux mois au moins…

    Paresse, flemme, ou manque total d’inspiration, voire carrément d’envie, on appellera ça comme on veut, mais il n’avançait plus. Du tout.

    Bref, le néant. Du coup, au bout d’un moment il ne décrochait même plus le combiné, sursautant à la moindre sonnerie. C’était un temps heureux, sans portable ni affichage des noms et numéros des appelants… Le Moyen-âge.

    De son côté, l’indépendante Marie avait concocté un weekend “culturel” typiquement parisien à base de théâtre, musées, peinture, sans lui pour cette partie. Mais entendait bien passer un peu de temps à se consacrer avec son amant au début du mot seulement, avant de retourner dans sa province de l’Est…

    Il lui avait dit n’avoir que la journée du dimanche à lui offrir. Repue d’un vendredi et d’un samedi entièrement consacré à l’aspect littérature et peinture, Marie s’en agaçait autant qu’elle se réjouissait d’ordinaire d’une mentalité “ce qui est pris n’est plus à prendre, mon chéri…”

    – “J’aurais bien aimé une nuit !” lui dit-elle sitôt qu’il la rejoignit au Pont des Arts

    Cette fois, il ne pouvait pas lui accorder… Attablés à une terrasse de l’île Saint-Louis, il la laissa bouder trente secondes avant de lui faire virtuellement l’amour “avec les yeux” pendant le déjeuner. Se tripotant les mains et en se faisant du pied sous la table, avec des regards énamourés emplis de stupre, ils s’excitaient à se raconter des trucs audacieux imaginant à voix basse des jeux interdits, des positions acrobatiques, des scénarios délirants parsemés de fessées cuisantes et d’enculades à sec… et ce jusqu’au dessert.

    Chauffée à blanc, c’est sans doute pour ça qu’au moment du café et des douceurs quand le garçon leur présenta avec un ton compassé la carte des desserts, que Marie sans ciller repoussa le morceau de carton imprimé et le regardant droit dans les yeux, prononça à voix haute et intelligible pour les tables voisines:

    Pour le dessert, pas besoin de carte: je vais juste sucer monsieur dans le parking !

    Le serveur devenu pivoine recula en balbutiant une banalité, manquant s’étaler sur le chariot des desserts sous cloche derrière lui, tandis que cette garce de Marie partait d’un éclat de rire amusé.

    Agacé par cette sortie intempestive inutilement provocante, il lui attrapa la main à peine sortis du resto et plutôt énervé pas cette attitude exhibitionniste, l’entraîna à travers les rues du Quartier Latin vers le parking assez loin où il avait garé sa voiture, à deux pas du Panthéon ! Ils descendirent au deuxième sous-sol de la place des Grands Hommes, rejoignant sa voiture astucieusement garée derrière un pilier dans un coin un peu moins “exposé”.

    Là sans un mot, pour exprimer sa (relative) colère, il la plaqua contre le capot, la courbant à plat-ventre, sans se soucier un instant de potentielles caméras de surveillance. Vivement troussée et prestement déculottée, l’insolente reçut alors une retentissante fessée lui empourprant rapidement le derrière, avant de se sentir prise au plus serré entre ses globes brûlants devenus cramoisis…

    Par chance, nul ne vint les déranger durant les quelques intenses minutes animales qui suivirent ce rapide réchauffement climatique. L’un et l’autre jouirent vite et en même temps comme ils le faisaient à chaque fois… Il s’essuya la verge avec la culotte de Marie, souillant le sous-vêtement de sperme et de leurs sucs mêlés…

    C’est seulement une fois réajustés et d’apparence sage en dépit des yeux brillants et des joues rouges qu’arriva à leur hauteur un couple d’une quarantaine d’années descendant récupérer leur voiture garée… juste à côté de la leur !

    Les deux passèrent sans moufter comme s’ils ne les voyaient pas, seule la femme leur lança un très rapide clin d’œil complice tout en agitant sa main droite en montant dans la voiture, leur prouvant qu’elle n’était pas dupe et avait parfaitement compris ce qui venait d’arriver l’instant d’avant…

    Puis ils remontèrent se promener… Ce n’est qu’une demi-heure plus tard que dehors, en pleine rue Soufflot et à un moment où personne n’était visible qu’il lui ordonna de se trousser entre deux voitures garées pour lui montrer l’état de son cul rond… Elle s’exécuta alors sans un mot, lui montrant des fesses encore marquées de rouge et une culotte baissée poisseuse de sperme…

    Marie osait tout… Et avec elle, il osait tout aussi…

    PS: au fait, elle a juste omis de le sucer comme promis au serveur, du coup…

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