Sir. D et la passion de la discipline.

[Sir . D]

Sir. D rentré d’une longue journée de travail et l’agacement se ressentait dans ses pas rapides, son regard surmonter de ses sourcils froncés et sa respiration rapide semblable à des soupirs.

Il rentra enfin dans sa maison et celle de sa femme, qui était sa secrétaire dans leur entreprise.

 

Quatre-heures auparavant :

 

” Tu as fini de traiter les derniers dossiers des clients de ce matin ? ” dit Sir. D, Gabrielle, la secrétaire, répondit ” Oui, je les ai finis à l’instant.”

 

Il lui demanda de lui apporter dans son bureau, à sa demande la secrétaire, sur un ton narquois accompagné d’un petit sourire en coin dit ” Non, je n’ai aucune envie de faire le détour pour vous les apporter.”

 

“Pardon ?!” S’écria le patron, d’un air sérieux et froid, la secrétaire pris ses affaires et faisait mine de ne pas entendre les ordres de Sir. D qui lui disait de revenir immédiatement.

Sir. D décida de ne pas insister en criant à travers les locaux de la boîte. Il reprit son calme et son sérieux, et il réfléchit directement comment il allait punir ce comportement enfantin, tout du long des dossiers dont ils s’occupaient.

 

Sir. D rentre à son domicile :

 

Et d’une voix grave appela Gabrielle, et d’un ton timide lui répondit qu’elle était à la douche.

“Bien, ne bouge pas.” dit il.

Il monta vivement marches tout en remontant les manches de sa chemise et relâchant son nœud de cravate.

 

Il entra dans la salle d’eau, Gabrielle sortait tout juste de la douche, le corps encore légèrement humide.

Il alla se mettre devant elle d’un air menaçant et approcha son visage à quelques centimètres de celui de la future disciplinée, il lui demanda ” Qui t’as autorisé à partir de mon bureau et à m’ignorer ainsi, jeune fille ?”

À cette question, Gabrielle sentait déjà ce qui allait arriver, à la vue des manches remontées de Sir. D.

Elle répondit en balbutiant ” Je suis désolé… Monsieur,..”

 

Sur ces mots, le patron, l’attrapa par le bras, la replaçant dans la douche, la mise dos à lui, contre le mur, ramenant sa croupe vers lui la tirant par les hanches la mettant en angle droit.

 

Il se mit à côté, la pris par la taille pour bloquer tout mouvement de la vilaine secrétaire. Avant de commencer, il lui dit d’un ton mesquin ” Tu sais ce qu’il va se passer ?” La jeune fille se contenta de baisser les yeux, embarrassée par la position dans laquelle elle était mise.

À ceci Sir. D lui chuchota ” Je vais te donner une bonne fessée pour le comportement d’enfant que tu as eu plus tôt.” A ces mots, Gabrielle tenta de s’excuser et supplia son patron de ne pas la punir, mais Sir. D décida d’ignorer ses paroles, reproduisant ce que la secrétaire avait fait dans son bureau.

 

Ainsi commença la fessée de Gabrielle, le patron avait bien l’intention de faire prendre, à son fessier, la couleur rouge vif afin de corriger la secrétaire.

 

Les claques augmentées d’intensité et alternées de la fesse gauche à celle de droite. La secrétaire regrettée déjà son comportement puéril et demanda à ce que son supplice s’arrête.

Sur ces paroles Sir. D interrompi la punition, mais le soulagement fut de courte durée. Il demanda à Gabrielle de lui ramener la brosse du bain, elle lui donna les mains tremblantes et le patron lui dit ” Ta fessée fait que commencer”, le visage de Gabrielle resta figé, et commença à se jeter à genoux pour demander pardon.

Sir. D décida donc d’alléger sa punition, car la secrétaire avait quand même fourni un excellent travail cette matinée.

Donc il installa le bassin de Gabrielle sur le rebord de la baignoire, afin détendre les muscles de ses cuisses et ses fesses. Avant de commencer le patron lui dit ” Je fais ça parce que tu as fait une bêtise et tu mérites cette correction mais je t’aime.” Sur ses mots il embrassa le fessier gauche de Gabrielle qui la fit rougir et la rendu gênée et soudain les coups de la brosse s’abattirent durant quelques minutes qui paraissaient extrêmement longues pour la secrétaire.

Puis quand il eut fini de lui donner sa fessée, Sir. D la mettra au coin, il partit une bonne vingtaine de minutes puis revient, la rhabilla et la pris dans ses bras suivi d’un léger baiser sur le front.

Ils descendirent tous les deux et Sir. D avait préparé le dîner et ils dégustèrent leurs plats autour de quelques bougies.

 

FIN.

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