Sa toute première fois.

[Yves]

Récit fictif.

 

Elle l’avait fantasmé. Elle la désirait et en avait envie depuis qu’une de ses amies lui avait raconté sa propre expérience. Alors elle avait fait la démarche de s’inscrire sur un site dédié. Un truc dingue. Elle devait être dingue pour faire ça, mais elle l’avait fait et elle avait eu une réponse, ou plutôt, une proposition. Alors ils en avaient discuté ensemble, elle et Lui. Lisa lui avait posé plein de questions et Ryan lui avait répondu simplement, sans détour, aussi naturellement que s’ils parlaient du prix du carburant (qui ne cessait de s’envoler, d’ailleurs).

Ils avaient fini par convenir d’une date pour se rencontrer. Lisa avait prévenu : pas de sexe. Ryan n’était pas du tout gêné par cette exigence, ça lui convenait très bien.

Le jour fatidique était arrivé, ce serait la toute première fois. Elle ne savait pas du tout ce qu’elle allait ressentir, mais ça l’excitait, nerveusement et sexuellement. Alors elle décida de prendre une douche. Hors de question d’y aller dans cet état. Elle se dépêcha. Elle ne devait pas, elle ne pouvait pas être en retard, Il l’avait prévenu, ce ne serait pas toléré ! Il lui avait imposé une tenue particulière aussi. Lisa était jeune de ses vingt cinq ans et la nature l’avait gâté, c’était une très jolie fille. Il lui avait demandé de s’habiller comme si elle allait faire du sport, donc short de sport, une brassière plutôt qu’un soutien-gorge et un tee-shirt adéquat, des chaussettes et des baskets. Elle devait porter une culotte taille basse sous son short, pas de string ou autre sous-vêtements du même genre.

L’heure approchait et elle venait de sortir de la voiture à l’adresse indiquée, une petite maison résidentielle à la sortie de l’agglomération. Il y avait une petite cour où elle pût garer sa voiture sans difficulté. Lisa s’approcha de l’entrée mais n’eût pas le temps de frapper à la porte car Ryan l’attendait déjà sur le seuil de celle-ci.

“Bonjour, Lisa, j’ai failli attendre, entre donc dans mon humble demeure.”

a suivre….

Mesdames, mesdemoiselles, mon propre plaisir passe par le vôtre

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[louviere]

Bonjour

Magnifiquement écrit, j ai hâte d avoir la suite ,….bravo.

Louviere

[Yves]

La suite va venir, ne vous inquiétez pas. Si le début vous a plu, vous devriez adorer l’épisode suivant.

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[Rony]

ça met l’eau à la bouche 🙂
J’espère que la suite ne sera pas trop longue à venir.

J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.

[Yves]

Voilà la suite :

 

Lisa fut surprise de la réaction de son hôte du moment mais une fois remise, elle l’observa. Il était grand, enfin, tout est relatif, il devait mesurer un mètre soixante quinze, un regard si profond qu’on pourrait s’y plonger sans jamais rien entrevoir de ce qu’il pense. Tenue décontractée mais pas trop, juste assez pour ne pas paraître trop strict, tout en étant classe malgré tout. Elle sentait en lui une autorité naturelle qu’il n’avait même pas besoin d’exprimer. Elle ne lui serait pas venue à l’idée de le contredire, donc elle entra dans la maison, puisqu’il lui avait ordonné.

C’était une petite maison, rien de bien clinquant, ni de luxueux. Juste une vieille petite maison. Elle pouvait même dire que c’était bien une maison de célibataire endurci, mais parfaitement rangée et propre. C’était juste très sobre et fonctionnel. Une table et quelques chaises au milieu du salon, ainsi qu’un canapé en face d’une grande télé (on reconnaissait les goûts bien masculins). Des bouteilles de bière traînaient encore sur une table basse juste devant le canapé.

“Désolé, dit-il, je t’attendais en buvant une ou deux bières.

– J’ai cru remarquer, en effet. M’en offrirais-tu une, pour me souhaiter la bienvenue ?

– Volontiers.”

Ainsi s’engageait la conversation autour de ces bières qui avaient fait les entremetteuses. Au bout d’un moment, la discussion s’orienta sur l’objet de sa venue.

“Ainsi donc c’est ta toute première fois ?

– Oui, comme je te l’ai déjà dit. Je ne sais même pas ce que je vais ressentir.

– Je ne peux répondre que partiellement à cette question.

– Je sais bien, j’ai cru comprendre que cela dépendait de chacun.

– Pourquoi vouloir essayer ?

– Depuis qu’une amie m’a raconté, ça ne sort pas de ma tête, comme une obsession. Et en même temps, j’ai très peur du moment où ça va arriver, où je ne pourrai plus revenir en arrière.

– D’accord. Je voudrais que tu prononces le mot, le sujet dont nous parlons, le pourquoi tu es ici avec moi.

– J’ai beaucoup de mal à le dire.

– Pourquoi ? Demanda Ryan.

– C’est comme un tabou, un interdit, un truc dont on ne doit pas parler.

– D’accord. Mais tu l’as déjà prononcé, n’est ce pas ? Qu’est ce que cela provoque chez toi de le dire ?

– De la gêne, une certaine honte, mais aussi de l’envie et, hum, de l’excitation.

– Bien, je vois donc que tu es prête à recevoir ce pourquoi tu es venue. Mais vois-tu, les choses ne se font pas ainsi. Il doit y avoir une raison, un motif, une faute.

– Oh ça, je peux le dire. J’arrive souvent en retard au travail, ce qui me vaut des remarques répétées de mon supérieur direct.

– Bien. Le ton de Ryan venait de changer. C’est effectivement une faute assez grave. Que comptes-tu faire pour améliorer cela ?

– Il me faut une contrainte, quelque chose qui m’oblige à arriver à l’heure.

– Cela s’appelle une punition, jeune fille. Et d’après toi, quelle devrait être cette punition ?

– …..

– Dis-le, Lisa.

– Une fessée, dit-elle d’une voix à peine audible.

– Exactement, mais avant, tu vas te mettre debout face au mur et tu vas réfléchir aux moyens à mettre en œuvre pour arriver à l’heure au travail !”

Elle n’osait même pas protester. Ses sentiments étaient mitigés mais elle exécuta l’ordre demandé et se mit face au mur. Instinctivement, elle mit ses mains sur la tête, cela surprit Ryan, mais cela lui convenait parfaitement.

Lisa était dans un état second, et bizarrement, elle se sentait bien. Elle venait de lui donner le pouvoir de cecqui allait se passer et elle se sentait en sécurité, prise en charge.

Il s’approcha d’elle et d’une main lui caressait le dos de façon rassurante, comme pour lui dire que tout allait bien se passer.

Au bout de cinq minutes, il la prit gentiment par le bras, s’assit sur une chaise et la pencha sur ses genoux. Elle n’offrit aucune résistance, elle savait ce qui allait se passer. Elle savait que cela allait faire mal, elle s’y était préparée. Mais ce n’était pas ce qui occupait son esprit à ce moment précis. C’était la position. Infantilisante, honteuse, et tout aussi excitante. C’était ce qui la gênait le plus.

 

A suivre….

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[Yves]

La voilà donc dans cette position, sur les genoux de cet homme qu’elle connaissait que par messages interposés. Mais qu’est ce qu’elle faisait ? Elle répondait à une envie, un besoin peut-être ?

“Bien, rappelle moi pourquoi tu es dans cette position.

– Car j’arrive trop souvent en retard au boulot.

– Exactement et tu vas recevoir une fessée pour cela, tu comprends ?

– Oui, dit-elle.

– Bien. Tu sais qu’une fessée fait mal, n’est-ce pas ?

– Oui.”

Elle s’attendait à la douleur, mais lorsqu’elle sentit les premières claques tomber sur son short, la sensation n’était pas si désagréable. Certes ça piquait un peu, elle sentait bien une douleur, mais bien moins importante que ce à quoi elle s’attendait. Par contre, elle ne s’attendait pas à ce que cela provoque une telle excitation entre ses jambes. Sa culotte était en train d’en faire les frais, et son cerveau ne savait plus où donner de la tête (d’accord, elle était facile, celle-là).

Ryan s’arrêta un moment. Il caressait les fesses de Lisa au travers de son short. Elle sentait la chaleur envahir son postérieur. Il lui baissa son short révélant sa petite culotte blanche un peu transparente. Il ne lui a pas échappé la petite tâche à l’entrejambe. Il recommença la fessée un peu plus intensément. Sans le short, les claques étaient nettement plus douloureuses, et ça commençait à faire vraiment mal. Cela restait malgré tout supportable. Si sa tête ressentait la douleur, son corps compensait par l’excitation et elle était en train de littéralement tremper sa culotte. Elle avait honte de cette réaction qu’elle ne contrôlait pas.

Quand Ryan décida de baisser la seule protection qui lui restait, un vent de panique s’empara de Lisa qui tenta de s’y opposer. Mal lui en pris, deux monumentale claques sur les cuisses mit fin à sa tentative et elle ne put se retenir de crier. Mais cela n’arreta pas Ryan et la petite culotte rejoignit le sol près du short. La fessée reprit aussitôt, rapide et encore plus intense. Lisa gémissait, disant qu’elle était désolée, qu’elle arriverait à l’heure désormais. Mais si la douleur devenait presque insupportable et si maintenant elle pleurait, son excitation aussi grandissait, a tel point qu’un orgasme incontrôlable pointait le bout de son nez et finit par la submerger, bien malgré elle, et malgré la douleur. Mais les larmes et les plaintes avait masqué ce plaisir à Ryan, heureusement pour Lisa.

Celui-ci, estimant que Lisa avait les fesses suffisamment rouges, s’arrêta. Lisa était toujours en pleurs. Il décida de la prendre dans ses bras un moment pour la réconforter. Elle apprécia ce geste de sa part.

Au bout d’un moment, il la libéra et l’autorisa à se rhabiller. Elle le fit encore tremblante de cette première fessée. Mais la douleur commençait déjà à s’atténuer. Elle promit à son fesseur qu’elle arriverait à l’heure à son travail, désormais.

“Tu as intérêt, jeune fille, sinon tu devras revenir me voir !” Lui répondit-il. Elle avait hoché de la tête pour signifier son accord.

Ils se quittèrent une heure plus tard, une fois que Lisa eut repris tous ses esprits. Sur la route du retour, elle se refit le film de ce qu’il venait de se passer. Cela l’excitait à nouveau. Elle n’était plus du tout sûre de tenir sa promesse d’arriver à l’heure. Elle avait découvert la fessée, ça faisait mal, oui, mais ça lui donnait aussi beaucoup de plaisir, ce à quoi elle ne s’attendait pas. Elle ne s’attendait pas non plus à ce que la fessée prenne autant de place dans sa vie à l’avenir. Machinalement, elle passa une main sur ses fesses encore endolories. Désormais, elle savait qu’elle allait avoir besoin d’être fessée régulièrement. Ce n’était plus simplement une envie ou un désir, c’était devenu une nécessité.

 

Fin de l’histoire.

 

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[Yves]

J’espère que cette histoire vous aura plu…

 

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[Paulparis]

Yves wrote:

Fin de l’histoire.

Quote

Une histoire bien raconté. Un Monsieur posé et pédagogue qui me semble parfaitement maitriser l’art de faire découvrir la fessée à une novice.
Mais pourquoi “Fin de l’histoire”. Nul doute que d’autres fessées vont suivre !!!

[Yves]

Paulparis wrote:

Mais pourquoi “Fin de l’histoire”. Nul doute que d’autres fessées vont suivre !!!

Peut-être, peut-être….qui sait…

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