Retour en enfance

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    Je m’appelle Maëlle, j’ai 27 ans et l’histoire que je vais vous conter est la mienne.

    J’ai la vie trépidante d’une jeune parisienne qui s’investi dans un travail qui me passionne. Je suis chef de produit dans une agence de communication, je gagne bien ma vie et je peux profiter de beaucoup des facilités qu’apporte la vie parisienne. Fille unique, depuis toute petite ma vie est construite autour de la notion de réussite et de précocité. Mes parents ont depuis toujours souhaité que je grandisse vite et bien, que je sois en tête de classe à l’école, que je performe dans les activités extra-scolaires et notamment dans la musique. Si j’ai semble t il répondu à leurs attentes, je réalise cependant la pression qui a depuis toujours pesé sur mes épaules. Je n’ai jamais vraiment eu à souffrir tant que cela de l’ambition que mes parents portaient pour moi car j’ai toujours eu des facilités pour tout ce que j’ai entrepris. Suivre le niveau à l’école n’a jamais été un souci et répondre aux exigences du conservatoire de musique de Paris ne m’a jamais paru insurmontable. J’y ai étudié la clarinette depuis l’âge de 5 ans, jusqu’à mes 18 ans. Dans mon entourage on loue ma capacité de travail et ma force de caractère, j’apparais aux yeux des autres comme une jeune femme décidée et indépendante, sûre de ses capacités. Dans le travail, malgré mon jeune âge, je dirige déjà une petite équipe et je mène mon petit monde avec fermeté mais bienveillance. Sur le plan sentimental, j’ai le sentiment de faire un peu peur aux hommes, en tout cas à ceux qui m’intéressent. Les garçons de mon âge me semblent le plus souvent soit immatures, soit passablement machos. Les plus âgés sont souvent déjà en couples, intellectuellement je me sens plus proches de quadra ou de jeunes quinquas avec qui je peux partager quelques aventures, mais rien d’engageant. Un psy identifierait peut-être la recherche d’une figure paternelle qui aurait pu me manquer dans ma jeunesse, ce n’est peut-être pas totalement faux. Mes parents ont toujours été très présents pour moi depuis ma plus tendre enfance même si mon père, militaire de carrière était souvent absent de la maison. Ma maman s’est consacrée à mon éducation tout en étant décoratrice d’intérieur en free-lance.

    Si j’ai été une enfance assez précoce, prenant rapidement un an d’avance en sautant le CE2, il est un domaine où j’ai pu présenter un léger retard c’est l’apprentissage de la propreté. Née fin décembre, mes parents ont souhaité que je rejoigne la maternelle avant mes trois ans à la rentrée de septembre. Dès le mois de juin précédent, ma maman a travaillé activement à ce que je sois propre, condition nécessaire à ce début de scolarité. Elle a profité des mois d’été dans notre maison de vacances de la Baule pour m’entrainer à aller sur le pot afin de pouvoir m’affranchir des couches. On n’a en général, adulte, que peu de souvenirs de ces premières années, mais pour ma part j’ai gardé un souvenir précis de ces premiers jours de classe en maternelle. Le premier jour fu mémorable. Après avoir compté les dodos me séparant de cette entrée en maternelle que j’attendais avec impatience, bien vendue par maman, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps le matin du jour fatidique quand ma maman m’a quitté au seuil de la classe. En petite section, nous faisions la sieste en début d’après-midi après le repas à la cantine. L’aide maîtresse nous mettais une couche avant que nous ne nous reposions car la plupart d’entre nous n’étaient pas encore propre la nuit et donc pour la sieste. Ayant eu quelques accidents un peu humiliant dans les premières semaines de classe, j’étais pleinement rassurée quand on me mettait une couche, non seulement pour la sieste mais surtout le soir avant d’aller me coucher. Tout comme le bain qui précédait souvent le dîner, j’ai des souvenirs très agréables des soins que me donnait ma maman et de la douceur de la couche qui m’enveloppais les fesses. Elle pouvait me masser aussi le dos pour me détendre et faciliter mon endormissement. C’est clairement pour moi des souvenirs de moment très privilégiés avec ma maman. Ma couche était régulièrement mouillée après une nuit de sommeil mais il m’arrivait aussi d’être réveillée dans la nuit par une envie pressante. Difficile pour moi de quitter la chaleur de la couette mais aussi d’affronter l’obscurité de ma chambre en hivers et il m’est arrivé de faire pipi dans ma couche pour ne pas devoir surmonter ce double péril.

    Dans un premier temps, les pipis couche la nuit n’ont pas alarmé plus que cela ma maman. Considérant sans doute que j’étais, si ce n’est en avance, pour l’instant dans la norme de ce que les livres de pédiatrie lui indiquait. Elle me mettait en couche tous les soirs avant de me souhaiter une bonne nuit. Il en fu ainsi pendant ma quatrième année. A la veille de mes 5 ans, mes parents recevaient un couple d’amis à dîner à la maison. J’avais dîner et j’étais déjà en pyjama non sans la couche qui accompagnais mes nuits encore à cette période. Je fu invitée par ma maman à venir dire bonsoir avant d’aller au lit. Après avoir fait la bise réglementaire à ses amis que je connaissais bien, je ne suis pas aller directement me coucher dans ma chambre mais je suis restée un moment dans la cuisine jouxtant le salon, porte entrouverte à écouter la conversation des adultes. C’est une habitude que j’avais prise, déjà très curieuse des conversations de mes parents et des adultes en général.

    Agathe, l’amie de maman, interpella celle-ci :

    Maëlle est adorable, tu as une petite fille tout à fait délicieuse.

    Je te remercie, elle est effectivement facile et vive, la seule chose qui me chagrine un peu c’est qu’elle ne soit toujours pas propre la nuit à bientôt cinq ans. Tu as vu je dois encore lui mettre une couche avant qu’elle n’aille se coucher.

    Oui je l’ai remarqué mais cela ne me surprend ni me choque. Gaspard mon grand bébé comme j’aime à l’appeler et qui a le même âge que Maëlle, en porte encore aussi.

    Tu me rassures en me disant cela car cela commence un peu à m’inquiéter.

    Ecoutes Caroline, chaque enfant est différent, pour mes deux ainées cela a été plus rapide, presque trop à mon goût.

    Comment cela trop rapide ?

    Il ne me déplait pas de pouvoir encore être en mesure de mettre une couche à Gaspard. Nos enfants grandissent trop vite je trouve, pour moi il est encore ce bébé que je chérie. Nous serons vite nostalgiques dans quelques années de ces doux moments que nous avons avec nos enfants aujourd’hui. Par ailleurs, je sais que cela le rassure, qu’il a mal vécu certains accidents à la sieste ou la nuit quand j’ai voulu tester sa capacité à se passer de couches.

    Agathe, que lui mets tu comme couches pour la nuit ? des Pull Up ?

    Non, des changes complets, comme ceux de ta fille. La couche de Gaspard est souvent bien mouillée au matin et je ne serai pas sereine sur la capacité d’absorption de ces couches-culottes si fines. Quitte à lui mettre une couche, autant lui en mettre une qui lui permette de ne pas se réveiller dans un lit mouillé.

    Assise dans la cuisine derrière la porte, je ne manque pas un mot du dialogue entre ma maman et son amie à quelques mètres de moi. Je me félicite que la maman de Gaspard abonde dans mon sens et déculpabilise ma maman de me mettre encore des couches. Je vois bien qui est Gaspard, un petit blond un peu timide qui est déjà venu jouer à la maison et que je croise dans la cour de l’école. Il n’est pas dans ma classe mais, comme moi en moyenne section de maternelle.

    Je reviens sur la conversation entre maman et Agathe.

    Les deux femmes discutent maintenant technique. Agathe, plus expérimentée, a des idées très arrêtés sur les choix de produits et sur leur mise en œuvre.

    Pour les couches de Gaspard, je prends des couches avec des motifs variés, avions, animaux et je lui laisse choisir chaque soir la couche qu’il veut porter. Pour des raisons économiques et écologique, je lui met deux couches droites dans son change-complet. S’il ne fait qu’une seule fois pipi dans sa couche au cours de la nuit, seules les couches droites seront mouillées et je peux ainsi réutiliser le change-complet.

    Maman, prend note manifestement des conseils éclairés d’Agathe.

    Cela doit lui faire une couche assez épaisse, cela ne le gêne pas trop ?

    Oui c’est vrai, il a un peu de mal à marcher entre la table à langer et son lit avec cette couche mais comme il ne la porte que dans son lit ce n’est donc pas un souci. D’ailleurs c’est aussi la meilleure assurance que nos enfants finissent par devenir propres.

    Comment cela ?

    Les fabricants de couches sont malins. S’ils proposent aujourd’hui des couches fines et des Pull Up qui s’enfilent comme une petite culotte c’est officiellement pour le confort de nos enfants et l’aisance dans leurs mouvements. Cependant, comme les enfants sont moins gênés par ces nouvelles couches, ils font moins d’effort pour s’en affranchir et cela retarde leur propreté. En 15 ans, j’ai lu que les enfants portaient des couches quatre mois de plus en moyenne qu’auparavant. C’est donc un chiffre d’affaires pour les fabricants non négligeable.

    La discussion entre les deux femmes se poursuit :

    Sur les couches, je reste assez traditionnelle avec des couches à enveloppe extérieur plastifiées. Elles sont plus bruyantes mais là encore, il s’agit de couches pour la nuit et ce n’est pas le critère majeur. Elles sont plus sécurisantes en cas de saturation du change. Le seul problème éventuel vient de leur côté très étanche qui implique de bien talquer les fesses pour que bébé ne transpire pas dans sa couche notamment l’été. Associé à une bonne crème anti-rougeur, tu ne devrais avoir aucun problème d’irritations pour Maëlle.

    Agathe propose ensuite à maman de venir demain soir à la maison avec le matériel qu’elle utilise pour lui en faire une démonstration. Celle-ci accepte ce qui me ravit. Il est temps pour moi de regagner ma chambre car l’apéritif touche à sa fin et maman va venir chercher l’entrée dans la cuisine pour qu’ils puissent passer à table.

    Une fois dans mon lit je ne peux chasser cette conversation de mes pensées et j’imagine aisément Gaspard allongé sur la table à langer, comme moi, en train d’être mis en couche par sa maman. Je suis rassurée par le fait de ne pas être seule à me sentir en sécurité avec une couche et très heureuse qu’Agathe ai semblé convaincre maman de poursuivre le fait de me mettre une couche tous les soirs.

    C’est d’autant plus important que maman constate de plus en plus fréquemment que ma couche est propre au réveil lorsque je n’ai pas eu l’occasion de la mouiller volontairement le soir ou dans la nuit.

    J’ai appris à aimer la douce sensation de ce liquide chaud qui se repend dans ma couche, spécialement en ce mois de décembre où les nuits sont fraiches et où j’ai du mal à me réchauffer le soir en me glissant dans mon lit. Je pense aux couches à motifs dont a parlé la maman de Gaspard et c’est sur la douce perspective de les découvrir manifestement demain que je m’abandonne dans ma couche, certaine ainsi de conforter maman dans la nécessité que j’ai de continuer à en porter.

    Le lendemain matin, je ne sais pas si c’est son l’effet de la conversation d’hier avec Agathe, mais maman semble sereine et sans stress lorsqu’elle découvre ma couche passablement mouillée au réveil. Dans un grand sourire, elle m’invite à rejoindre la table de change sur laquelle je grimpe grâce aux deux marches placées au pied de celle-ci. Maman retire mon bas de pyjama ouvre ma couche, me nettoie l’entrejambe à la lingette, retire la couche mouillée puis m’enfile une culotte petit bateau toute blanche. Elle m’enlève ensuite le haut de pyjama et m’habille avant que nous n’allions prendre notre petit déjeuner. La journée de classe se passe bien, je croise Gaspard dans la cour de récréation et je ne peux m’empêcher de l’imaginer avec sa couche sur les fesses, comme moi le soir avant d’aller au lit.

    En rentrant de l’école, pendant le gouter maman m’interpelle.

    Tu sais Maëlle que j’ai discuté hier soir avec Agathe, la maman de Gaspard. Elle m’a dit que lui aussi portais encore une couche la nuit, tu vois tu n’es pas la seule dans ce cas ma chèrie. D’ailleurs, Agathe va venir ce soir pour me montrer les couches qu’elle utilise et qui sont très joliment décorées, je suis sûre qu’elles vont te plaire.

    Je me déclare impatiente de les voir et après le dîner au sonne effectivement à la porte de la maison. J’accompagne Maman qui va ouvrir à Agathe qui entre avec un large sa à la main.

    Bonjour Caroline, bonjour Maëlle. Je vois que tu n’es pas encore en pyjama, il est déjà tard pour une petite fille.

    Justement Agathe, nous t’attendions, j’ai prévenue Maëlle que tu venais nous montrer de très mignonnes couches.

    Nous montons dans la salle de bain où se trouve ma table de change. Maman me déshabille puis m’enfile le haut de pyjama. Je grimpe sur la table à langer et Agathe en profite pour sortir ses affaires. Elle me présente quatre couches avec chacune des motifs différents. Je choisi une couche avec des motifs de jouets très mignonne puis c’est Agathe qui déplie le change-complet, le garni de deux couches droites et le glisse sous mes fesses. Elle me nettoie ensuite le sexe à la lingette avec minutie. Ensuite elle me crème. Je frisonne légèrement car la crème est froide mais se réchauffe lorsque Agathe l’étale et la fait pénétrer de ses doigts agiles. Enfin elle me soupoudre largement de talc l’entrejambe, me fait lever et replier les jambes pour faire de même sur mes fesses. Ceci fait elle rabat la large couche et la referme en positionnant les quatre adhésifs latéraux. La couche est très sensiblement plus épaisse du coup que le change-complet qu’utilise maman, elle me semble plus serrée aussi sur mes fesses. L’enveloppe plastique extérieur crisse à chaque mouvement ce dont je n’ai pas l’habitude. Agathe s’écarte pour que maman puisse bien détailler la couche et se déclare ravie du résultat. C’est elle qui me met le bas de pyjama à peine assez grand du coup pour contenir cette épaisse couche. Je regagne mon lit avec cette épaisse couche sur les fesses. Agathe me tapote le derrière dans un geste affectueux quand je grimpe dans celui-ci en me disant que je n’ai aucun risque de fuite avec une belle couche comme celle-ci.

    Les deux femmes quittent ensuite la pièce après avoir éteint la lumière me laissant seule dans ma chambre. Mon premier réflexe a été de glisser ma main dans mon bas de pyjama pour prendre la mesure de cette enveloppe plastique que je ne connais pas sur mes couches habituelles et de la différence de forme et surtout d’épaisseur de la couche que je porte. La couche est plus volumineuse, plus serrée, formant une sorte de cocon protecteur autour de mes fesses et de mon sexe, une sensation d’enfermement mais aussi de douceur et de protection. La couche impose que mes jambes restent écartées pour ne pas subir trop de pression à l’entrejambe et, allongée sur le dos, je me sens juste bien.

    Je découvre le soir suivant qu’Agathe a laissé quelques couches d’avance à maman, le temps que celle-ci ne me commande ces nouvelles couches. Je m’applique à les mouiller avec constances ensuite chaque nuit pour ne pas laisser entrevoir la perspective d’une propreté la nuit de ma part. Fort du soutien d’Agathe qui déculpabilise maman sur ces couches tardives de nuit, je profite pleinement de la complicité avec ma maman qui me lange chaque soir avec application et soin, très sensible à ce que le port de couches ne me créées aucune gêne ni irritations. Cette douce période prend cependant fin quelques mois plus tard. Maman bien que décomplexée par Agathe, commencera à surveiller ma couche dans les heures qui suivront mon endormissement pour voir à quel moment de la nuit je mouille ma couche. Impossible pour moi de la mouiller du coup en début de nuit après avoir été aux toilettes. Le matin c’est elle qui me réveillait et donc constatait maintenant quasi systématiquement que ma couche était propre. Un mois avant l’anniversaire de mes 6 ans, je portais, à mon grand regret, ma dernière couche.

    Cette période et ce port de couches prolongé n’ont pas eu d’autres influences sur ma vie de petite fille puis d’adolescence. Au moment de ma puberté j’ai porté des serviettes pour protéger mes culottes mais cela n’avait rien a voir, mise à part la matière absorbante peut être, avec les couches que j’ai porté petite. Le seul point commun c’est peut-être ce sentiment d’insécurité que toute fille à un jour connu aux moments de ses règles. Jeune fille et ne portant quasiment que des pantalons, il était tout à fait impossible d’envisager de reporter une couche pour retrouver cette sensation enfantine de confort et de sécurité.

    Plus récemment et même si je n’en laisse rien paraître, j’ai pu par moment avoir envie de fuir le monde adulte, son stress et ses contraintes. Tout le monde trouve que je gère bien ma vie et que je semble parfaitement épanouie dans ce monde rapide, exigeant, spécialement dans une grande ville comme Paris. Cependant, il me revient parfois en mémoire ces premières années de ma vie, cette insouciance et cet environnement protecteur symbolisé par ma maman et par les couches que je portais.

    Etudiante, j’ai fait des petits boulots et du babysitting pour compléter le budget alloué par mes parents. En faisant un babysitting sur tout un week-end d’une petite fille de 5 ans, j’eu la surprise d’être informée que cette dernière devait encore porter des couches la nuit. Sa maman m’a demandé de lui mettre sa couche afin d’être sûre que celle-ci soit bien mise et que sa fille n’ait pas de fuites. Ce moment m’a ramené à ma propre enfance sauf que les couches d’Alice étaient juste blanches, toute simple, sans les motifs des miennes après le conseil de la maman de Gaspard. Ce soir-là je fi une recherche sur internet pour voir si les couches de mon enfance existaient encore et je fu troublée de découvrir que non seulement elles existent encore mais que l’on peut aussi s’en procurer en taille adulte. En poursuivant ma recherche, je tombe des nues en découvrant un site internet dédié à ce fétichisme de l’infantilisme et de la régression. Le terme fétichisme aurait dû me faire fuir mais la curiosité l’emporta et j’explorai le contenu du site. Ce dernier disposait d’un chat ou les membres mais aussi les visiteurs avaient le loisir d’échanger. Protégée par l’anonymat du profil que je venais de créer, j’échange avec deux ou trois personnes. L’une d’entre elle, un homme d’une cinquantaine d’année, commence son échange par un très simple et respectueux :

    Bonsoir, je vois que vous êtes nouvelle ici, êtes-vous disponible et souhaitez-vous que nous échangions autour du thème qui nous réunit ici.

    J’ai donc accepté cet échange et découvert Laurent, un père de famille nostalgique des doux moments passés avec ses jeunes enfants. Rien que de prononcer cette phrase me paraitrait surréaliste en dehors du contexte de ce site mais j’ai très vite découvert que sa démarche était sincère, dénuée de mauvaises arrières pensées, tournée vers cette nostalgie que je partage avec lui de cette période si agréable pour moi et pour lui manifestement en tant que parent. Laurent, père moderne, a partagé avec sa femme, l’ensemble des tâches ménagères mais aussi le soin de s’occuper de ses enfants. Celles-ci, en l’occurrence deux filles, ont grandi trop vite à ses yeux et il ne lui déplait pas de prendre soin de jeunes filles et de jeunes femmes qui ont-elles aussi trouver cette douce période trop courte.

    Après plusieurs semaines d’échanges, au téléphone puis en visio, je décide ce soir de franchir le pas d’une rencontre. Nous avons rendez-vous dans une brasserie parisienne pour dîner et se voir en présentiel pour la première fois. J’ai un trac fou, il est déjà 20H45, nous avions rendez-vous à 20H30 et je n’ose pas entrer dans le restaurant. Je sais que Laurent y est déjà attablé, je l’ai vu entrer un peu avant 20H30. Je reçois un sms de Laurent qui me dit qu’il imagine bien que j’ai du mal à le rejoindre mais qu’il n’a pas l’intention de me manger, la carte du restaurant qu’il a déjà sous les yeux devrait suffire à le rassasier. Ce trait d’humour finit par me convaincre et je le rejoins. Nous passons une très bonne soirée.

    Deux semaines plus tard, c’est un nouveau rendez-vous que nous avons ensemble. Cette fois-ci nous entrons dans le vif du sujet si je puis dire. Je rejoins Laurent dans un appartement loué pour l’occasion. Je vais faire un bond de 20 ans en arrière. Cette fois-ci ce n’est pas ma maman qui va me mettre en couche mais un homme de l’âge de mon père, comme si je souhaitais associer ce souvenir doux et heureux au fait de combler un manque de présence paternelle qui a aussi été mon quotidien à l’époque.

    Lorsque la porte s’ouvre, Laurent est là, souriant. Il me fait la bise, met le doigt sur la bouche au moment où je veux m’exprimer et me met une sucette dans celle-ci, ne m’autorisant pas de fait à lui parler.

    Je suis très heureux de pouvoir partager ce moment avec un bébé charmant comme toi Maëlle, vient, nous allons te faire quitter ces habits inappropriés pour ton âge. Laurent me prend par main, ses gestes sont doux et assurés. Nous traversons le salon et rejoignons une vaste chambre. Une serviette est étendue sur le large lit double, à côté le nécessaire pour un change. Laurent me fait m’allonger. Il retire mes chaussures puis mes chaussettes. Il déboutonne mon pantalon, descend ma fermeture éclair, je me raidis un peu. Laurent me parle comme au bébé que je suis à ses yeux, me rassure sur la nature de son geste dénué de toute agression à mon encontre. La lenteur de ses gestes, le calme qui est celui de Laurent me rassurent. Il descend mon pantalon puis l’enlève. Je porte une culotte très simple de coton blanc. Je dois lever les fesses à nouveau pour que Laurent me retire ma culotte qui suis le même chemin que mon pantalon. Je suis maintenant cul nu allongée sur cette large et douce serviette éponge. Laurent retrousse mon pull et mon chemisier haut sur mon ventre. J’ai instinctivement serré les jambes ne voulant pas m’offrir plus que nécessaire au regard de cet homme qui m’impressionne. Celui-ci, toujours d’un calme olympien prépare un change-complet et y glisse deux couches droites puis reviens vers moi.  Il me fait signe de lever le bassin puis me glisse la couche sous les fesses. Sa main droite se pose sur l’intérieur de ma cuisse gauche et me fait écarter la jambe, puis il fait de même sur l’autre jambe. J’ai les yeux qui fixent le plafond, je redresse un peu la tête pour voir Laurent prendre une lingette et revenir au niveau de mes jambes pour commencer le nettoyage de mon entrejambe. Mes sentiments sont très ambivalents, un sentiment de honte de me retrouver dans cette position les jambes largement écartées, une couche sous les fesses. Par ailleurs, une nervosité certaine, les nerfs a fleur de peau, la peur d’une réaction incontrôlée de ma part. Je sens quelques gouttes de sueur perler sous mes bras. Même si ce n’est certainement pas le programme, je ressens une certaine excitation qui elle aussi me fait honte, je redoute les caresses involontaires de la lingette qui passe dans chaque pli de mes petites et grandes lèvres. Laurent nettoie mon clitoris m’arrachant un frémissement. Il s’excuse auprès de moi de la fraicheur de la lingette. La toilette effectuée, il passe à la crème qui est largement étalée sur l’ensemble de ma vulve. L’opération terminée, c’est le talc qui achève de préparer mon entrejambe à la couche qui va maintenant être refermée et fixée sur mes fesses. Je ferme les yeux et je retrouve de façon très troublante des sensations vieilles de 20 ans. Mêmes odeurs de crème et de talc, même sensation à mon entrejambe, même sensation d’enfermement, de cocon autour de mes fesses. Laurent me fait asseoir sur le lit, j’ouvre les yeux pour lui voir me retirer mon pull, mon chemisier et enfin mon soutient gorge. Il m’enfile un body blanc puis le descend jusqu’à mon ventre. Il m’allonge avec délicatesse à nouveau sur le lit, me fait lever les fesses pour finir de positionner le body à mon entrejambe et fermer les 3 boutons pressions. C’est magique et en même temps si intimidant de retrouver ces sensations si lointaines et si proches depuis quelques minutes. Laurent m’invite à descendre du lit à quatre pattes et à rejoindre le salon. Un espace de jeu sur le tapis m’est dédié avec des cubes et des jouets. Laurent tapote affectueusement ma couche. Il m’indique que j’ai le temps de jouer avant le dîner. Il s’assoit dans le canapé et commence à lire son journal ne s’occupant plus de moi pour le moment. De quatre pattes, je fini par m’asseoir, les jambes écartées par l’épaisseur du change à mon entrejambe. J’utilise les capla pour faire une construction. La couche est très serrée, très pressante sur mon sexe. J’ai le souvenir de la façon dont je m’affranchissais de cette pression petite en faisant largement pipi dans ma couche mais c’est une solution que je n’envisage pas. Comme par un mouvement de balancier, alors que j’ai tout de l’attribut d’un bébé, mon côté femme ressurgit, je me sens excitée par la situation que je vis. Je sens mon sexe s’humidifier, cela me gêne mais ne m’inquiète pas. Par contre mes seins se durcissent et mes tétons pointent sous le fin tissu du body que je porte sans soutien-gorge. Laurent m’avait prévenu de cette possibilité, le retour du côté femme quand on amène les attributs du côté bébé, la difficulté à abandonner si facilement ma féminité, mon sex appeal. Laurent au bout d’une bonne heure je pense abandonne provisoirement son journal et vient me voir. A ma grande surprise, il passe un doigt entre ma couche et ma cuisse afin de détecter si j’ai mouillé ma couche. Son doigt est fugacement au contact de mon sexe dont j’ai surtout peur qu’il ne détecte une autre forme d’humidité. Il se félicite que ma couche soit toujours propre et repars vers le canapé et sa lecture. J’ai utilisé tous les capla et j’ai usé de tous les jouets à ma disposition mais j’ai aussi cherché en vain une position pas trop inconfortable avec la couche que je porte. Finalement, Laurent se lève et se propose de me faire dîner. Il m’aide à monter sur une chaise en face de la table. Il s’assoit à mes côtés. Ma sucette est enlevée de ma bouche mais déjà une cuillère du petit pot jambon carotte qui trône sur la table m’est enfournée dans la bouche, les cuillères se succèdent et Laurent insiste quand je détourne un peu la tête, le met n’étant pas vraiment à mon goût. Laurent fait une pause avec un biberon d’eau puis c’est un petit suisse qui m’est proposé. Je le mange avec un peu plus d’appétit et nous finissons par un biberon de lait épaissi d’un peu de céréales. Le mélange est assez sucré et j’apprécie ensuite de reboire un peu d’eau. Le repas achevé, la sucette à nouveau dans la bouche, Laurent m’amène à nouveau dans la chambre, il sort une grenouillère afin de me mettre ce vêtement qui signifie que je vais aller au lit. Une fois la grenouillère mise, Laurent retire ses chaussures et monte sur le lit. Il s’installe assis dos à la tête de lit et m’attire entre ses jambes écartées. J’ai le dos calé contre son torse, Laurent se propose de me lire une histoire pour m’endormir. Il me conseille de fermer les yeux pour mieux m’imprégner de l’histoire qu’il se propose de me lire. Je m’attendais à une histoire dé bébé, l’âne trotro ou bien petit ours brun mais c’est ma propre histoire que Laurent me conte. Cet homme a tout compris de mes sentiments et de mes tiraillements, cette envie irrépressible de revivre ces moments perdus, cette relation avec ma maman symbolisée par la couche que je porte mais aussi l’excitation que cela suscite chez moi. L’indifférence à mon corps dont il me gratifie est une vraie blessure d’amour propre mais je n’ai pas dit mon dernier mot. J’ai pour l’instant été très spectatrice de ma régression mais j’ai bien l’envie de reprendre la main. Cet homme si sûr de lui, c’est un défit que j’ai envie de relever. Je me propose de lui accorder ma capitulation en faisant pipi dans ma couche. D’abord pour le plaisir que j’ai envie de retrouver, ce doux liquide chaud qui coule entre mes jambes et dont j’ai un souvenir étonnamment précis en termes de sensations. Ensuite pour qu’il soit dans l’obligation de me changer, d’avoir une deuxième chance de me présenter nue devant lui mais dans un état d’esprit plus conquérant et de lui montrer un sexe, chaud, offert, un clitoris tendu, l’envie de mettre au supplice son self contrôle. Gémir à la lingette qu’il ne manquera pas de passer sur les zones les plus sensibles de mon anatomie. Je profite du coup d’une pause dans son récit pour relâcher mes sphincters et dans un long jet j’inonde ma couche. Laurent ne peut pas ne pas m’avoir entendu faire pipi dans ma couche mais cela ne perturbe en rien la suite de l’histoire, le ton de sa voix ne marque aucune différence et cela me laisse un peu inquiète et dépitée. Je pensais que c’était ce qu’il attendait mais il n’en montre aucun signe. L’histoire continue, il me fait juste comprendre par ce récit qu’il a parfaitement compris et décrypté mon état d’esprit et mes fantasmes cachés. J’ai de plus en plus peur qu’il ne joue avec ma frustration en me laissant sans possibilité d’atteindre un sexe prisonnier de ma couche et un clitoris largement actif et échauffé par ce flot d’urine chaud à son contact. Il continu à me parler comme à un bébé et ma sucette ne me permet pas ne serait ce que de lui parler, de lui dire à quel point je me sens femme et que je veux prendre du plaisir avec lui, cet homme qui pourrait être mon père mais qui m’électrise par sa maitrise et sa prestance. L’histoire fini, il quitte le lit, m’y fait m’y allonger. J’ai peur d’entendre dans sa bouche un bonne nuit couperet mais je vois avec soulagement qu’il a l’intention de me changer ma couche.

    #83851
    Victor
    Participant


    Pas mal cette histoire. Quelle douceur lors de cette prise en main.

    Un début un p’tit peu long mais une fin qui donne envie d’une suite !

    On se serait bien régalé de quelques détails du premier dîner au restaurant entre Laurent et Maëlle. Ou des bribes de conversation.

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