Raconte-moi la punition qui te fait fantasmer aujourd'hui…

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15 sujets de 31 à 45 (sur un total de 128)
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    Messages
  • #40435
    Christal
    Maître des clés


    Aujourd’hui, là tout de suite, maintenant, on souhaite que ce Monsieur sonne à ta porte et puisse te donner ce dont tu as besoin et que ton petit binôme y trouve aussi son compte et même si tu te leurres en disant que tu seras sage pendant plusieurs jours, si tu tiens quelques heures, il aura déjà fait du bon boulot.

    Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.

    #40445
    lunapower
    Participant


    oui @christal petit binôme aurait besoin d’une sérieuse fessée aussi 😛

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #40447
    Christal
    Maître des clés


    Et bien que font ces Messieurs alors ??? Les confessions sont là ici, et elles ne sont pas entendues ?
    Je vais laisser les miennes cousues de silence alors, j’ai peut être plus de chance qu’elles soient entendues ?

    Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.

    #40454
    Saku
    Participant


    Merci @christal, pour ce petit clin d’œil. On voit que tu me connais bien ?
    Quelques heures, en effet c’est déjà bien mais qui dit peut être un jour arriverai je à tenir quelques jours ?

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 10 mois par Saku.

    - Ne rate jamais une occasion de faire une bêtise

    #40457
    Misscil
    Participant


    J’espère que quelqu’un va sonner à ta porte @sakura61 … Même s’il me paraît difficile de te voir ramenée à la raison avec une simple raclée ? Surtout si tu as la possibilité de ricaner avec ton petit binôme de bêtise…

    Ni vu, ni connu, je t'embrouille :p

    #40485
    lunapower
    Participant


    Aujourd’hui, là tout de suite, maintenant, après une énième provocation de ta part, je me lève et m’approche de toi…
    Tu t’es montrée exécrable toute la journée. Il est facile de voir que quelque chose te tracasse mais par pudeur et fierté tu n’en diras rien.
    Nos regards se croisent, tu sais ce qu’il va t’arriver et tu en es presque soulagée.
    Je te courbe sur mon bras et te donne une grande claque.

    – “Alors qu’est-ce qui ne va pas ?”
    – “Roh mais rien c’est bon, lâche moi!!”
    – “Je vois bien qu’il y a quelque chose, et est-ce à moi d’en payer le prix? A moins que ça ne soit de ma faute mais ça je pense que tu me l’aurais dit! Alors qu’est ce qui ne va pas?”

    Toujours courbée je te donne une série vigoureuse de claques.
    – “Alors chaton, tu n’as pas envie de parler? Je sais que quand tu es comme ça c’est que tu as un problème!”
    – “Mais tu m’emmerdes!! c’est mon problème”
    – “Ah tu le prends comme ça, déjà tu vas baisser d’un ton et être polie puis quand un problème te mets dans cet état ça devient aussi mon problème! D’une part parce que je n’aime pas te savoir mal et de l’autre car je n’ai pas à en subir les conséquences. Alors vu que visiblement mademoiselle a perdu sa langue, une bonne fessée va sans doute lui faire retrouver la parole et elle m’expliquera ce qui ne va pas! Tu sais ce que tu as à faire pour que ta punition cesse!”

    Je te relève et te regardes dans les yeux
    – “Tu m’as bien compris? Tu n’as rien à dire?”
    Tu me gratifies d’une de tes plus belles grimaces
    – “Très bien…”

    Je te ceinture et recourbe sur mon bras gauche. Je relève ta jupe, la coince dans sa ceinture et ta culotte vient rejoindre tes pieds. Je commence à te fesser comme on punirait une sale gamine, pas de caresses pas de préchauffage… Une fessée une vraie!
    Tes fesses rougissent à vue d’oeil et tu commences à effectuer une sorte de danse au rythme des claques. Après quelques minutes de ce traitement, j’arrête la correction et te remets droite. Tes fesses sont écarlates, ta culotte à quitter tes pieds et l’on voit quelques gouttes de sueur perler sur ton visage.
    – “Alors tu n’as toujours rien à me dire?”
    Tu baisses les yeux et hoche négativement la tête. Je passe ma main sur tes fesses bouillantes.
    – “le cuir de ma ceinture va certainement te délier la langue, déshabille-toi et va y réfléchir un peu au coin”

    Une fois déshabillée, je t’indique le coin puis enlève ma ceinture, je te joins les mains dans le dos et dispose la ceinture qui vient lêchêr tes chaires… Tu patientes ainsi quelques instants, une douce torpeur à commencer à envahir ton corps mais tu n’es pas encore totalement libérée… Je récupère ma ceinture et te prends la main je te regarde en te passant la main dans les cheveux puis je t’emmène vers la chambre, je dispose un oreiller au milieu du lit et tu agripes ton ours en peluche. Tu viens t’allonger, je fais glisser doucement le cuir sur ton corps…

    – “Toujours muette?”
    Tu fais faire un signe de la tête à ton ours.
    Je te fouette lentement et fermement, alternant bien les côtés afin que tu ressentent bien l’impact de chaque coups. Au bout d’une vingtaine tu commences à gémir… Je viens alors sur le lit près de toi passe ma main sous ton bassin, viens attraper ta main, et claque tes fesses à toute volée. Tu gesticules dans tout les sens et te mets rapidement à pleurer sans retenue comme une enfant. Je cesse la fessée et te caresse doucement.
    – “Bouhou pardon bouhou c’est parce qu’ils vont fermer un service dans ma boîte bouhou alors j’ai peur”

    Je te prends dans mes bras te rassure et t’apaise, quand tu as repris un peu tes esprits je t’emmène dans la salle de bain pour te doucher. Je te passe de l’eau fraîche sur les fesses, t’aide à te sécher. Je te tartine délicatement les fesses d’un baume apaisant et te mets en pyjama. Je te donne une petite claque sur les fesses, tu me souris et me donne un bisou enfantin sur la joue.
    – “Allez va mettre un film, je prépare un plateau repas”
    Le repas terminé elle me regarde avec un sourire mutin
    – “T’es sûr que tu veux regarder un film ?”

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #40491
    Anonyme
    Inactif


    Aujourd’hui, là tout de suite, maintenant, je veux vous punir toutes les deux. Non pas parce que vous faites des bêtises mais parce que vous boudez comme des gamines. Tout le temps et pour rien. Quand on vous dis une vérité, quand on se moque de vous pour plaisanter etc… et c’est fatiguant.
    Alors je décide de vous « convoquer » dans ma chambre. Je vous ordonne directement de vous mettre au coin, l’une et l’autre à chaque extrémité de la pièce. Je vous ordonne aussi de ne pas rigoler que ça pourrait mal se passer.
    Je suis en colère contre vous deux, vraiment fâchée, vos bouderies gâchent l’ambiance des bons moments qu’on passe et je veux y mettre fin maintenant afin que nous profitions du reste de nos vacances tranquillement et dans la bonne humeur.
    Je vous sermonne un long moment puis j’annonce que c’est la plus âgée qui passera sur mes cuisses en premier afin qu’elle montre l’exemple. La petite jeune se moque évidemment. Mais ça je l’avais prévu.
    Je la force à se mettre à genoux puis j’attache ses mains à ses chevilles avec des menottes puis lui met un bâillon boule en place en la prévenant que si je l’entends, je remplace le bâillon par un autre bien pire.
    Je retourne vers l’autre petite peste, la prend fermement par le poignet et je vais m’installer sur le lit, elle sur mes cuisses. Je commence la fessée directement sur sa petite culotte noire. Une fois bien échauffée, je la relève, lui demande si elle pense mériter cette punition et si elle est prête à continuer. Toute contrite, elle me répond que oui.
    Déculottée, elle est de nouveau de retour sur mes cuisses et ma main claque ses fesses pendant de longues minutes, jusqu’à la couleur me plaise.
    Enfin je lui ordonne de se mettre à quatre pattes devant moi. Je veux admirer mon travail pendant que sa copine boudeuse se fait punir.
    D’ailleurs, je vais chercher cette dernière, je défais ses menottes et lui demande : « Tu vas te taire si je t’enlève ton bâillon ? »
    Elle me fait oui de la tête. Je lui enlève puis l’entraîne par l’oreille jusqu’au lit.
    Elle subit le même sort que sa camarade et se retrouve dans la même position qu’elle. Et voilà qu’elle ne peut s’empêcher de faire un commentaire.
    Et comme je tiens toujours mes promesses, cette fois je lui mets un bâillon boule gonflable. Je suis sûre qu’elle ne pourrait pas parler comme ça.
    Pour finir leur punition, je prends un martinet artisanal et je leur claque le cul jusqu’à ce que la leçon soit bien comprise.
    La punition finie, je les autorise à se relever et à se rhabiller mais au lieu de ça, elles viennent me faire un gros câlin en me disant pardon. Et ça c’est très agréable ?

    #40494
    Monsieur Jones
    Maître des clés


    Décidément, il est plein d’inspiration et de bonnes idées ce fil… j’adore ! 🙂

    Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...

    #40498
    Ô.Céane
    Participant


    Aujourd’hui, là tout de suite, maintenant c’est la punition surprise, de celle prise la main dans le sac…ou ailleurs…plutôt ailleurs, en fait.
    Monsieur m’interdit d’accéder moi-même à mon intimité lorsque bon me semble. Je dois demander, attendre d’en avoir la permission. Il peut parfois m’en donner l’autorisation et d’autres fois me l’ordonner…
    Inutile de dire qu’entre le parcours sur le site, les échanges avec Monsieur, les échanges avec d’autres Messieurs…l’envie est parfois plus que qu’irrépressible…et les désobéissances en la matière ne manquent donc pas…
    Un après-midi d’automne, bien pluvieux, je parcours, comme très souvent donc, ce site dédié à la fessée. Je clique sur un lien, qui m’emmène vers un autre lien….Je lis des récits qui me transportent, créent de l’émoi…
    Monsieur est probablement occupé à ses activités de bricolage, dans son atelier attenant à la maison…Bref, je suis seule dans mon salon à vibrer devant ce que je lis, vois…
    Le champ est libre, il n’en saura rien…Je parcours un récit particulièrement explicite et subtil comme le les aime, qui décrit par le menu, une fessée cuisante…j’adore…je plonge ma main sous la culotte vers mon intimité, touché lui aussi par cette lecture et les caresses commencent…mon esprit vagabonde, je m’imagine fessée de la sorte, je me laisse gentiment aller, c’est bon…très bon…Lorsque…
    “Tu fais quoi là???”
    “euhhh…rien!?…je lisais…”
    Sa main vient immédiatement bloquer mon bras dont la main s’était enfoui dans mon pantalon…Qu’il arrache de cet endroit pourtant chaleureux…
    “Et ça, c’est quoi???”
    Dans le même élan, je me retrouve debout, culotte et pantalon baissés et une série de fessées fortes s’abat sur mon postérieur extirpé lui aussi de son logement si chaleureux…
    Je suis placée en un rien de temps face au mur cul nu, main sur la tête…
    “Tu restes au coin…j’arrive…”
    Une seconde volée de claques d’abat sur mes fesses
    “Tu as compris?”
    “Oui Monsieur”
    Je reste au coin, les fesses préalablement rougies et légèrement tiédies, pendant de longues minutes…
    J’entends ses pas se rapprocher, je tremblote…je sens que ce n’est que le début…
    “Viens ici et dépêches-toi”
    Je me retourne, et le rejoins ou il est assis.
    “Qu’est-ce que tu faisais?!”
    “Je…euh…lisais des récits…”
    “Mais encore?!” …accompagné d’un coup de cravache sortie de nul part…
    “Je me masturbais”…dis-je tout bas…des fois que cela suffise…Ah ben non, un deuxième coup de cravache s’abat sur mes fesses
    “Je n’ai pas compris, dit le plus fort!” Je m’empresse de répondre à haute et intelligible voix cette fois.
    “Oui et as-tu présenté une demande?”,
    “Non Monsieur”
    “Avais-tu l’autorisation ou l’ordre de le faire?”,
    “Non Monsieur”
    “Donc?! Dis-moi ce qu’il doit se passer maintenant?!”
    “Je vais être punie, Monsieur”
    “Exact jeune femme! À quatre pattes devant moi immédiatement!”
    Je m’exécute, sentant que la défiance, que je peux utiliser parfois, n’est pas l’option à privilégier là tout de suite…
    Il se place derrière moi et après m’avoir introduit un rosebud, commence à me caresser le sexe…déjà un peu réactif, je dois bien l’admettre…C’est bon, le plaisir monte, monte doucement…Il me connait bien et sait lire le moment de la montée ou tout bascule dans l’explosion du plaisir attendu…et s’arrête pile juste avant ce moment là…
    “Tu es punie de jouir…cela t’apprendras à en prendre l’initiative seule…”…
    Il me relève, s’assoit, me place sur ses genoux et commence une fessée rude et longue, mes fesses ne tiennent plus, ça pique, brûle, je finis par ne plus reconnaître même le niveau de douleur.
    Les claques s’accompagnent bien entendu de sermons tout le long
    “C’est in-ter-dit pour toi !”,
    “Tu n’es pas autonome sur ce point”
    “Tu as déjà été punie pour cela, mais incontestablement tu ne comprends pas”
    Je suis une hypersensible et les larmes montent facilement, le craquage arrive…
    Je suis relevée mise au coin.
    Je pleure très fort, pouvant à peine respirer…Et en même temps je sens profondément que c’est bénéfique…
    Mes sanglots se calmes légèrement, je suis envoyée au lit.
    Cachée sous la couette, blottie contre mon doudou, toujours sanglotant, Monsieur arrive, soulève la couette, me caresse doucement les fesses, me retire le rosebud, puis passe à l’entrecuisse encore en émoi…Il me caresse, et cette fois m’offre le plaisir ultime, l’explosion tant recherchée…

    Je m’endors…

    "Et mes fesses, tu les aimes mes fesses"
    Mes récits ne sont pas forcément le reflet de ce que je recherche...juste une inspiration...

    #40505
    Rosy
    Participant


    Bon, allé je me lance ?

    Là maintenant, tout de suite j’imagine ce que pourrait être ma première fessée punitive… Une fessée inconnu pour moi… Mais qui intrigue et effraie en même temps… (récit totalement fictif et fantasmé)

    Soirée entres amis… Mon mari, moi et un autre couple… Nous savons qu’ils pratiquent la fessée sans être entré plus dans les détails… Il savent que nous en parlons dans notre couple… Pas le sujet principal de la conversation de ce soir mais pas de tabou pour autant…

    Soirée sympa… J’enchaîne les verres malgré quelques recommandations de mon mari sur l’alcool. Je rigole beaucoup et deviens trop extravagante… Mon mari un peu excédé sans trop rien dire… Du côté de nos hôtes l’exaspération se ressent surtout pour monsieur qui demande ouvertement à mon mari si j’étais souvent ainsi… Celui-ci confirmant mes débordements constants…
    Monsieur suggère à mon mari de sévir et va jusqu’à suggérer de s’en charger… Phrase qui sur le moment me fait bien rire ne réalisant pas la réalité de la situation… Je suis loin d’imaginer que la situation puisse m’échapper… Surtout que madame est elle aussi très enjoué comme moi malgré pour elle aussi des remontrances de son homme… Il ne s’agit pour moi que de menaces en l’air…

    Après un moment de chahut ma complice et moi avons renversé les verres… Cette fois la patience de son homme a atteint ses limites, il lui intime l’ordre d’aller au coin lui indiquant un lieu dans le fond de la pièce. Lui rappelant qu’elle savait ce qui l’attendait. Sans contestation madame se dirige vers le mur… Un peu abasourdi j’étais loin de me douter de la suite (même si elle avait été ouvertement évoqué auparavant). Se tournant vers mon mari il demande son approbation pour remettre lui même un peu d’ordre estimant qu’étant fautive toute les deux notre sort devait être le même. Avec l’accord de mon mari, il m’indique le mur et c’est machinalement que je rejoins ma complice face au mur sans une certaine appréhension.

    Il l’appelle tout d’abord me laissant le petit espoir que ça ne reste une menace juste pour m’impressionner et me montrer comment ça se passe chez lui. Je l’entends sermonner sa compagne qui ne prend pas la peine de se défendre. J’entends des bruits de tissu et suppose qu’il relève simplement sa jupe… Mon mari est tout de même présent et moi aussi même si je ne peux rien voir. Je n’ose pas bouger pour apercevoir de peur que la menace de passer sur ces genoux devienne réelle.

    La première claque tombe accompagnées d’un petit cri… Le bruit me fait tout de suite remarquer qu’aucun tissu n’avait atténué le son… Elle était déculottée. C’est à ce moment que l’angoisse s’installe vraiment… Il n’a pas l’air de plaisanter… Les claques me semble sévères dès le début et les petits cris de souris de mon amie suggèrent que la douleur est immédiate… Les claques se succèdent, les cris deviennent une plainte continue avant de laisser place à de francs sanglots… Fasciné et abasourdie par la sévérité de la fessée j’en ai presque oublié ma position face contre mur dans l’attente d’une hypothétique fessée similaire.

    Après une avalanche de claques bien marquées le calme s’installe d’un coup seuls les sanglots de la copine résonnent dans la pièce. Après quelques que mots que j’entends à peine (plongée dans mes sombres pensées), la copine revient se positionner à mes côtés toujours secouée par les larmes.

    Après un temps très court mon nom résonne ce qui me fait surssauter. J’avais oublié… Je ne sais pas vraiment comment réagir, quand il me demande clairement et explicitement de venir le rejoindre.

    Je me retourne… Il est installé sur le canapé et m’indique de venir me positionner devant lui… Je m’y rends la gorge serrée par la peur… Il me sermonne à mon tour, il a raison sur mon attitude inacceptable et je ne trouve aucune excuse valable.

    Tout en me sermonnant il m’explique le sort qui m’attend… Comme sa compagne j’ai eu un comportement de gamine et je dois être corrigé comme tel…

    Sur ces mots il deboutonne mon jeans et le fait descendre délicatement. Je n’ose bouger, mes jambes tremble. Il passe ensuite les doigts sous l’élastique de ma culotte et je ne peux réfréner un geste de protestation en retenant le précieux tissu qui protège encore mon intimité. Il ne peut pas… Il m’assène une claque sur la cuisse qui stoppe immédiatement mon geste. C’est du réel cette fois… Il me faut pour la première fois assumer mon comportement puéril… Une larme perle sur ma joue. La soirée prend un tournant que je n’attendais pas.

    La culotte vient rejoindre le jeans laissant apparaître mon intimité face à lui. J’ai honte. Nue… Prête à être corrigé pour la première fois et de plus devant mon mari qui n’en loupe pas une miette sans jamais intervenir montrant ainsi son consentement.

    C’est avec dextérité et conviction qu’il me place sur ses genoux. Une position qui me donne un équilibre précaire en offrant mes fesses à la correction. Dans ma tête, les cris et les pleurs de ma complice de bêtise résonne encore en moi. La peur me saisie et l’angoisse m’envahit quand une première claque vient s’abattre sur mon postérieur. Sèche et vigoureuse je l’accompagne d’un long cri. La surprise dans un premier temps, la douleur dans un second… Mon dieu que ça fait mal. Pas le temps de réfléchir à la suite que les claques s’enchaînent à un rythme régulier sur mon arrière train. Dès le début gesticulations et cris sont de la partie et j’en perds toute pudeur… Plus qu’une chose en tête : que ce supplice prenne fin. Mes fesses me semble être un brasier… Une douleur sans nom, une douleur insupportable. Je lâche totalement prise, je crie, je pleure à gros sanglots. La fessée s’arrête enfin mais je ne bouge pas… Je m’effondre mélangée entre douleur et rédemption. Il me relève, je n’ose le regarder. Je suis vaincue. Il me renvoie au mur les fesses nues et brûlantes afin de réfléchir à mon comportement.

    Je rejoins la copine le visage mouillé de larmes. J’ai reçu ma première vraie fessée. Déculottée. Par un tiers et devant mon mari. Je ne suis pas prête de l’oublier.

    #40512
    Laure
    Participant


    Aujourd’hui, là tout de suite, maintenant, c’est le temps de la mise au point. Après quelques rendez-vous, notre relation a pris un tour nouveau. C’est d’abord la mise à nu que tu ordonnes, d’un ton délibéré, pour bien marquer les rôles. Suivie de la mise au coin, que tu aimes d’autant plus longue qu’elle doit me rendre plus douce pour ce qui m’attends.

    Nous sommes en fin d’après-midi et tu as encore un appel à faire à l’étranger pour joindre un correspondant.Tu t’excuses presque: tu n’as pu le faire plus tôt à cause du décalage horaire. Au téléphone, tu parles très vite, en anglais, j’entends ta voix qui s’anime et bientôt je sais que tu m’oublies, nue dans mon coin. Je sens mes jambes qui s’ankylosent et je fais passer subrepticement le poids de mon corps d’un jambe à l’autre, tout en essayant de bien garder la position que tu m’as indiquée. Je me concentre sur la nécessité de rester le plus immobile possible, et bientôt je ne pense plus qu’à cela. Plus tard, bien plus tard, ta voix résonne brusquement dans la piece “Viens ici et fais-moi face”. Je ne m’étais même pas rendue compte que ton appel était terminé.

    Je te fais face à present, les mains toujours bien croisées derriere le dos depuis que tu m’a mise au coin comme une petite fille, prenant bien conscience soudain de mon pubis aussi nu et lisse que quand j’avais cinq ans. Ton regard me scrute lentement, de mes pieds nus à la tête, et quand tu me parles enfin c’est en me regardant bien dans les yeux. Je ne peux croiser ton regard qu’un court moment, et baisse la tête. Tu prends quelques minutes pour m’expliquer, avec beaucoup de précision, tes attentes et mes devoirs envers toi à partir de maintenant – puisque désormais tu me considères, tu viens de me le dire, comme ta petite amie. Respect, obéissance, obligation de demander – et recevoir – ta permission avant de faire certaines choses, voila les grandes lignes en ce qui me concerne; mais j’espérais tes paroles du plus profond de mon intimité, et je sens grandir en moi une immense chaleur malgré la temperature automnale de la pièce. Je trouve la force de relever mon visage et me rends compte que tu as posé sur la table une fine canne de bamboo. Je me rappelle de notre premiere discussion sur la fessée, et comment je t’avais dit que j’étais curieuse d’essayer certains instruments, “du moment que ce n’est pas la canne de bamboo, c’est une autre niveau et je n’accepterais jamais d’être marquee de cette façon pendant des jours”. Et immédiatement après, tes paroles de la veille me viennent à l’esprit, tu avais mis de longue minutes pour m’expliquer que pour que tu m’acceptes comme ta petite amie, il n’était pas question pour moi de te dicter des conditions, et que je devais te faire confiance a 100% quand tu prendrais des decisions me concernant. Tu m’annonce que tu vas me donner douze coups “bien sentis, qui m’aideront à être dans le bon état d’esprit à present que notre relation entre dans une nouvelle phase”. Je suis vaincue et tu le sais. Je penche mon buste sur la table. Tu corriges ma position plusieurs fois avant d’être pleinement satisfait, et je me retrouve sur la pointe des pieds, jambes un peu écartées, en regardant bien en face de moi, le menton sur la table et mes mais croisées derrière le nuque. Jamais je n’ai ressenti de façon si crue le fait de presenter mon cul à un homme. Mais j’y pense à peine, car déjà le premier coup s’abat, vicieux, et une seconde plus tard, la douleur aigüe s’installe et ne me quitte plus. Tu ne me laisses pas plus de cinq secondes entre chaque coup, et quand je redresse mon dos après le quatrième, en te disant en larmes que je ne sais pas si je peux continuer, une main que je n’ai jamais sentie si ferme me remet immédiatement en place contre la surface dure et froide de la table, et tu m’annonces que tu rajoutes deux coups à mon compte – donc quatorze au total. Je sais que cette premiere séance de discipline en temps que ta petite amie est un test, je ne veux pas te décevoir, et à partir de ce moment je parviens à accepter le reste de la punition sans me dérober à tes coups. Quatorze au total donc, quatorze zébrures rouge vif, bien définies, que je ne peux qu’a peine effleurer, mais cela je le le saurais que plus tard, parce que d’abord, c’est un autre passage par le coin. J’ai l’impression d’avoir été dans une course à trois cent à l’heure. J’ai besoin de me calmer, je me sens punie come je ne ai jamais été, que ce soit comme adulte ou petite fille. Je sais que tu attends de moi, dans quelques minutes, que je te fasses face à nouveau, cette fois pour te remercier de m’avoir donné ma premiere vraie correction de ma vie de femme. Petit à petit, les mots me viennent, ils m’assaillent bientôt, et avant longtemps je désire ardemment le moment où tu me permettras de sortir du coin pour te dire, face à face, que je te respecte et te désire comme je ne m’en suis jamais crue capable jusqu’à ce soir.

    #40523
    Anonyme
    Inactif


    @herlilira Quelle délicieuse punition!!!… elle se déguste comme un bonbon… mais pas comme une guimauve qu’on fait chauffer lascivement au coin du feu, plus comme une dragée poivrée qui irradie le palais de ses 1000 nuances épicées.
    Merci pour ce partage.

    #41645
    Monsieur Jones
    Maître des clés


    Et si on relançait cette série ?

    Là, tout de suite maintenant,
    J’ai envie d’administrer une fessée punitive et très sévère. (oui ! ça m’arrive…)
    Pas juste quelques claques sur des fesses mais plutôt une sacrée correction !
    Le genre de raclée qu’on administre parce que plus rien ne compte au monde.

    (Je suis loin d’être colérique mais le self-contrôle qui me caractérise peut se fissurer dans de rares circonstances.
    Quand elle le dynamite en dépassant les limites, j’observe autant que je tente d’en cornaquer les effets cette urgence de la corriger et de la fesser.
    Etrange sensation que d’essayer de contrôler ce mister Hyde qui s’invite, tout en observant avec curiosité ce dont il est capable…)

    Je l’attrape par le bras après qu’elle ait fait quelques pas en arrière en voyant mon regard sombre.
    Je ne la ménage pas, non je la malmène et la bascule en travers de mes cuisses.
    Ma voix est forte mais j’essaye de la contenir et de garder ce qui me reste de calme et de contrôle.
    Les excuses qu’elle pleurniche pour implorer ma clémence glissent sur moi.

    (La seule issue à cette tempête qu’elle a déclenchée, c’est un châtiment long et sévère. Il en va de mon retour au monde).

    D’un geste brusque, je la déculotte.
    D’une main je l’empoigne par les cheveux et de l’autre je la cale contre mes cuisses pour l’immobiliser.
    Je la fesse longuement sur le cul et le bas des cuisses, en lui énumérant tout ce qui m’a mis dans cette rage.
    Elle se débat, alors j’utilise ma force d’homme et la serre entre mes cuisses en lui ordonnant de ne pas bouger.
    Et la punition continue, plus sévère encore.

    Je l’envoie ensuite au coin que je n’ai qu’à pointer du doigt pour qu’elle le rejoigne à petits pas, entravée par sa culotte et son pantalon.
    Elle y reste debout et immobile, les fesses à l’air encore bouillantes, les mains sur la tête.
    Toujours au coin, elle effectue à la perfection toutes les demandes que je lui fais, en prenant les poses que j’exige, tentant d’apaiser ma colère et de se faire pardonner.

    Puis lentement, à mesure que je l’observe silencieuse et marquée, c’est le début du reflux et ma colère désenfle
    Je lui dis de reprendre place sur mes genoux, pour la fesser encore et laver ce qui me reste d’irritation.
    En entendant ses larmes et ses excuses, je sais que ma destination est proche.
    Je l’envoie au coin encore une fois pour qu’elle y reste immobile et cambrée.

    Le silence est revenu et la seule couleur de ses fesses et de ses cuisses suffit à chasser ce qui justifiait cette punition.
    En la voyant sage et contrite, je me sens apaisé. J’ai presque le regret de m’être autant emporté.
    Je la trouve belle et me sens privilégié par ce qu’elle m’offre et la manière dont elle nourrit ma façon de l’aimer.
    Je la rejoins au coin en lui justifiant la punition qu’elle a déclenchée et qui pourtant me semble maintenant presque disproportionnée et injuste.
    Je la prends dans mes bras pour l’embrasser dans le cou et l’arracher à ce coin où je l’avais ancrée.
    Je sais que je vais la câliner…

    Faites de vos fesses le plus bel endroit de la terre...

    #41646
    Ô.Céane
    Participant


    Là tout de suite maintenant
    Mon tempérament sanguin m’a encore joué des tours et je l’ai même, innocemment, partagé par message avec Monsieur. Pas de réponse, il est parfois très occupé.
    Je rentre donc du travail, sur le mode “tous des cons”.
    La lumière est allumée dans le salon, tient,il est rentré.
    Le silence m’intrigue, je me dirige vers le salon. Sur la table: badine, cravache et martinet. Debout à côté bras croisés, regard sombre: Monsieur.
    Il contourne la table et en un éclair, me cale sous son bras et me donne plusieurs claques fortes par-dessus ma robe…
    “Il me semble t’avoir déjà dit de te comporter correctement!, Cela fait plusieurs fois cette semaine. Ça suffit!”
    Ma robe se lève, mon collant et culotte baissés brutalement font rebondir mes fesses à l’air…
    Je reçois une seconde salve de claques fortes, vigoureuses et rapides. Les larmes montent…
    “Tu va te tenir comme il le faut!” Les accompagne.
    Le premier acte se conclu par un “File au coin, comme il se doit!” Sec et autoritaire.
    Je m’empresse de rejoindre mon coin, robe relevée, mains sur la tête, yeux baissés.
    J’entends une chaise bouger et capte tous les bruits derrière moi, sans bouger d’un iota…
    “Viens ici!”
    Je me retourne et m’approche de lui. Il me répète, badine à la main, qu’il en a assez de mon comportement et me montre la chaise.
    Je prends position, mains sur l’assise, exposant mes fesses nues et rougies.
    “Tu vas vraiment te comporter correctement maintenant, crois moi!”
    “Tu comptes à haute et intelligible voix”
    Je ne réponds pas, sentant ma voix étranglée par les premiers sanglots…
    Un coup de badine accompagné de “tu as compris?” Me remet en place. “Oui Monsieur” répondis-je en sanglotant…
    30 coups de badines, suivis du même tarif pour le martinet, me font basculer du sanglot aux pleurs nourris.
    La cravache n’est pas utilisée, elle est là au cas où le besoin de précision se ferais sentir.
    “Tu vas au coin” met un terme à cette punition méritée, je dois bien l’admettre.
    Sa voix s’est radoucie, il n’aime pas forcément que je pleure mais il sait que j’ai parfois besoin d’aller jusque là pour revenir dans le droit chemin…
    Et puis, j’aime cette autorité très affirmée et l’idée de ne pas être loupée en cas d’écart.
    Après de longues minutes à sangloter, je me calme doucement. Il me sort du coin, et me prends tendrement dans ses bras.
    Il m’explique de nouveau pourquoi cette punition et ce qu’il attend de mon comportement. Je lui demande pardon.
    Je me sens bien punie, mais aussi contenue, rassurée, apaisée.
    Je vais au lit tôt.
    Il me rejoindra un peu plus tard….

    "Et mes fesses, tu les aimes mes fesses"
    Mes récits ne sont pas forcément le reflet de ce que je recherche...juste une inspiration...

    #41647
    Christian
    Participant


    Là maintenant, je n’ai pas envie de lui donner une fessée… Mais elle me regarde d’un air narquois, et ses yeux qui pétillent d’un désir refoulé me provoquent, me poussent à agir..
    Alors je vais me lever et la soulever par la taille, sous mon bras, comme un paquet de linge sale. Et c’est justement jour de lessive!
    Elle va crier, pour de faux, et agiter ses jambes dans le vide, pour de vrai… En serrant sa taille un peu plus fort, je vais commencer à lui donner ce qu’elle m’a demandé, sans oser me le dire. Et j’ai la main lourde aujourd’hui.
    Elle devra écouter mes reproches, promettre un meilleur comportement, et finira par des excuses sanglotantes.
    Elle sait déjà tout çà et c’est c’est bien ce qui fait briller ses yeux.
    Finalement, j’ai maintenant très envie de lui donner cette fessée.

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