La ceinture, sans hésiter, même si je ne connais pas les punitions quotidiennes.
Une femme de goût…
Avant même d’en jauger la sensation, notons que la ceinture est un objet du quotidien plus qu’un instrument. Si elle est portée en permanence par l’homme, elle instaure donc, selon la façon qu’on la considère, une possibilité de fustigation à tout moment, spontanée, surprenante («pas prédite» comme c’est dit plus haut). C’est en quelque sorte le signe visible et concret que la fessée plane, comme le désir.
Pour ma part, je ne l’ai jamais utilisée pliée en deux, comme on le voit toujours sur les images publiques (et sur la photo montrée plus haut). Outre que c’est plus brutal, paraît-il, cela me semble moins précis et moins sensuel que le contact sur la peau de l’intérieur en cuir, feutré, non poli, de la lanière unique, non ?