Punition pour un orgasme volé

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  • #35424
    anatole
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    Par cette douce après midi de printemps, Marc décida qu’il avait assez bossé pour la journée, et ce qui traînait encore sur son bureau pouvait bien attendre le lendemain. En quittant son lieu de travail deux heures plus tôt qu’il n’aurait dû, il hésita à peine deux secondes à appeler sa compagne pour la prévenir de son retour prématuré à la maison, mais il préféra lui faire la surprise. Deux jours qu’ils n’avaient pas fait l’amour et c’était l’occasion d’un câlin impromptu de fin d’après midi qu’ils affectionnaient tant tous les deux. Tout en conduisant calmement, il sentait le désir monter progressivement, commençant à rêvasser à des caresses toutes plus coquines les unes que les autres. Il repensait à ce qu’il s’était dit…son taf en retard attendrait bien jusqu’au lendemain. Ne jamais remettre à demain ce qu’on peut faire avec une seule….une de ses plaisanteries graveleuses favorite !
    Il n’imaginait pas que….
    Il se gara à quelques mètres de sa maison et entra doucement. Hum, encore une fois, elle n’avait pas fermé la porte d’entrée. Certes, leur quartier pavillonnaire était calme, mais tout de même, il lui en faisait la réflexion à chaque fois. Il passa d’abord devant la porte ouverte de leur chambre…personne…mais un détail attira son regard. Sur le lit, une des multiples boîtes dans laquelle elle rangeait toutes ses affaires personnelles et ses froufrous était ouverte et il repéra quelques bricoles qui en débordaient, qu’il n’avait jamais vues, du genre sextoy et autres….Il fut interloqué et rapidement suspicieux. Elle lui cachait donc ce genre d’objets.
    Sans bruit il avança dans la maison, vers la salle de séjour…Quelques sons feutrés commençaient à enfler lorsqu’il arriva dans le salon. La porte fenêtre était grande ouverte et sur la terrasse donnant sur le jardin, il la vit. Oh ! Il n’eut pas besoin de se cacher car elle ne risquait pas de le voir, affairée comme elle était.
    Sur l’un des grands fauteuils en rotin du salon de jardin, elle était assise, voire plutôt affalée. Ses yeux étaient fermés dans une concentration intense et sa tête dodelinait doucement. Elle portait une robe légère d’été, qui était remontée sur son ventre. Elle avait sorti un de ses seins du léger tissu et en avait saisi le mamelon qu’elle titillait doucement d’une main. Ses jambes étaient allongées et ses cuisses largement ouvertes, et de son autre main elle enfonçait dans un va et vient saccadé un godemiché de bois dans son sexe tout en râlant doucement. Sur la table basse voisine, une petite culotte roulée en boule voisinait quelques autres joujoux sexuels….
    Interdit, il la regarda quelques secondes…Le désir qui avait pris forme pendant son trajet de retour s’intensifia devant ce spectacle, mais très vite se mêla d’un sourde colère ! Il ne put se retenir bien longtemps.
    « -Ah ben bravo…je ne te suffis plus ? ».
    Les mots claquèrent sèchement déclenchant une réaction en cascade.
    Eberluée et surprise, elle écarquilla les yeux, lâcha son sein qu’elle triturait si avidement, ferma les cuisses en tirant sur le bas de sa robe pour cacher son sexe, glissant du fauteuil pour se retrouver à genoux. Elle proféra un cri de surprise, mais pas que, cette manœuvre subite ayant propulsé au plus profond de son intimité le godemiché avec lequel elle se masturbait…
    « -Mais…mais…qu’est ce que tu fais là ? ».
    Son visage était devenu rouge pivoine et elle avait du mal à articuler, cherchant à reprendre son souffle devant cet événement imprévu.
    Il avança vers elle d’un pas lourd.
    Elle ne savait ni quoi faire, ni quoi dire.
    Son cerveau était inondé de sensations, perdue entre la honte d’être découverte ainsi, la frustration de ne pas avoir été au bout de son plaisir qui était imminent, l’objet qui la fouillait encore avec ses cuisses serrées, et aussi la position humiliante dans laquelle elle se trouvait. Agenouillée devant lui, un sein à l’air, prise sur le fait de se masturber en douce pendant qu’il était censé travailler, tous ces joujoux qu’il ne connaissait pas à proximité, et lui planté devant elle, dont elle entendait distinctement le souffle rauque…Manifestement, il était en colère !
    Une dernière pensée terrible traversa son esprit…Avait il pu voir le rosebud qu’elle avait enfoncé dans son cul juste avant de commencer à se caresser ? Au point où elle en était….Elle leva un visage implorant vers lui, remarquant au passage de son regard la volumineuse boursouflure qui tendait sa braguette avant d’affronter ses yeux.
    « -Je….je vais t’expliquer….
    -Tu vas m’expliquer quoi exactement ? Que tu te branles comme une traînée dès que j’ai le dos tourné ? En laissant la porte d’entrée ouverte en plus comme d’habitude ? Parce que tu espères que n’importe qui puisse rentrer pour te violer en plus ? ».
    Là, elle n’avait plus de doute, il était sévèrement en rogne….
    « -Mais non, attends, je …je….
    -Tu quoi ? ».
    Il avança une main menaçante vers son visage….elle rentra la tête dans ses épaules, s’attendant à recevoir une gifle….jamais il n’avait levé la main sur elle ! Mais il se ravisa au dernier instant la saisissant par les cheveux, tirant fortement pour l’obliger à se remettre debout.
    Elle cria, et un bruit sec suivit la chute de l’objet de bois que son sexe venait enfin de relâcher.
    Ils se regardèrent en silence quelques instants, puis il lâcha sa chevelure.
    « -Ramasse le et donne le moi ! ».
    Elle obéit, tremblante et apeurée.
    Il le lui prit des mains. Le godemiché était luisant de liqueur vaginale.
    Sans trop hésiter, il le posa doucement sur la table basse et s’empara de la petite culotte roulée en boule.
    « -Viens là et donne moi tes mains….
    -Mais attends, que veux tu….
    -Donne moi tes mains sans discuter !! ».
    La voix était plus que ferme…froide…cassante. Elle obéit et tendit ses poignets qu’il entoura férocement du tissu de dentelle blanche, puis il l’attira vers la rambarde de fer forgé bordant la terrasse face au jardin. Il tira au maximum sur le léger tissu pour l’entourer sur le métal et faire un noeud, emprisonnant ses poignets.
    « -Non s’il te plaît, que vas tu faire ?
    -Je vais te punir…comme tu le mérites…mets toi à genoux…. ».
    Elle commença à sangloter, mais obéit.
    La position était encore plus humiliante que précédemment, surtout quand elle sentit ses mains remonter sur ses cuisses pour relever sa petite robe sur ses hanches, dévoilant son cul.
    « -Ah ben en plus !!!! Bravo….. ! ».
    Il venait de repérer le rosebud enfoncé profondément dans son anus….

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #35431
    anatole
    Participant


    La colère qui s’était emplie de lui depuis un long moment ne fit que croître….Depuis 6 ans qu’ils vivaient ensemble et bien plus qu’ils faisaient l’amour, elle avait toujours refusé qu’il la sodomise….LE fantasme qu’il avait toujours eu envie de partager avec elle, et auquel elle se refusait systématiquement à chaque fois qu’il l’évoquait dans leurs câlins d’amour. Et là, il trouvait cet objet, fort beau certes, il dût bien se l’avouer, mais tout de même…un bel objet ancré dans son cul….et dont elle était prête à en jouir s’il n’était arrivé à ce moment impromptu. Certes il se sentait particulièrement en colère et il allait le lui faire comprendre, mais en homme respectable et surtout amoureux, il comprit qu’il avait peut être raté quelques épisodes de la vie intime de sa compagne.
    Elle était là , demie nue devant lui, attachée par les poignets et soumise à sa colère….Il réfléchit un moment, savourant essentiellement la vision de son cul dénudé et offert à ses yeux dans cette position humiliante, mais aussi cette sensation de domination qu’il venait d’entrevoir pour la première fois….enfin aussi ouvertement….
    Oui, bien sûr depuis tant d’années qu’il se masturbait en cachette devant des films porno où il voyait de jolies filles se faire fesser ou fouetter..jamais il n’avait osé lui en parler, de peur qu’elle ne trouve abject ce genre de fantasme….Il lui arrivait même parfois de se branler tout seul dans son bureau…même pas la peine d’une vidéo…il s’imaginait le soir rentrant chez lui flanquer une bonne rouste à la compagne de sa vie, juste pour…juste parce que…juste…parce qu’il en rêvait…
    Mais jamais il n’avait osé lui en parler….jamais avouer ses fantasmes les plus hard…et là, il découvrait qu’elle avait aussi des fantasmes cachés !
    D’un coup, il revit dans son souvenir récent ce qui débordait de la petite boîte dans la chambre….
    Il l’avait intégré….Il savait maintenant…il le laissa de côté un moment…
    Lentement il revint se planter devant sa compagne qu’il venait d’immobiliser devant la rembarde en fer, cul nu. Il ne proféra aucun mot mais les premières claques qu’elle reçut sur le cul furent violentes, à la hauteur de sa colère et de son amertume…avoir passé tant d’années de non-dit…
    Elle cria sous la surprise de cette première fessée, mais était-ce vraiment une surprise ? Elle savait elle aussi, qu’un jour ou l’autre il découvrirait les fantasmes qui l’habitaient depuis si longtemps et dont elle ne jouissait hélas que seule, n’ayant jamais osé les lui avouer…Elle savait qu’elle allait payer pour çà….et peut être enfin aimer partager ça avec lui…Elle avait tellement espéré qu’un jour il ose ouvrir ses boîtes à joujoux qu’elle faisait semblant de cacher dans la commode…mais il était trop amoureux d’elle pour oser ouvrir ses effets personnels…
    La première fessée qu’elle reçut de lui (mais quelques autres hommes lui en avaient déjà données tellement avant qu’elle ne le rencontre…. !) l’amenèrent presque à la jouissance….Enfin…. !!! Lui….!!!Qu’elle aimait tellement plus que tous les autres avant…mais elle n’avait elle non plus jamais osé le décevoir en avouant ses fantasmes…Finalement oui comme lui qui n’avait jamais osé lui dire que…
    Les claques qu’il lui infligea à ce moment ne firent qu’accroître sa honte, mais surtout son désir, d’autant plus que, furieux comme il le devenait, il n’arrêtait pas de faire gigoter le rosebud enfoncé dans ses entrailles…Enfin, alors qu’il fessait son cul enfin comme elle le désirait depuis si longtemps, il finit par parler…
    « -Quand je fais glisser mes doigts, je sens bien que tu aimes ça….tu n’es qu’une sale garce…je te déteste…tu mérites bien plus que ça… ! ».
    Elle était prête à jouir, mais quelques claques encore plus sauvages que les précédentes annihilèrent sa jouissance qui montait. Et puis surtout les secondes suivantes…
    Alors qu’elle espérait recevoir au fond de son sexe la bite tant adorée, elle ne ressentit que la libération de la tension exercée sur ses mains entravées et une main dure tirant ses cheveux en arrière, l’obligeant à le regarder en face.. Il venait de dénouer sa culotte de la rembarde de fer forgé et commença enfin à lui parler.
    « -Défais cette culotte de tes poignets..déshabille toi totalement et descend l’escalier vers le jardin et colle toi toute nue contre le grand cerisier…ne bouge plus et attends moi là bas les bras en l’air, je vais m’occuper de toi comme tu le mérites… ».
    Le temps de se relever et de dénouer la vilaine si jolie culotte qui avait enserré ses mains, elle tourna son regard mais il avait disparu…Avait elle seulement envie d’avoir le choix ? La délicieuse chaleur qui avait envahi son cul et surtout l’excitation de ne même pas oser imaginer la suite lui ordonnaient de descendre les quelques marches vers le jardin. Elle se dévêtit comme demandé et déposa sa petite robe d’été sur la rampe et descendit plus nue que nue s’approchant lentement du grand cerisier.
    Avant d’ agripper de ses deux mains la plus grosse branche de l’arbre qu’il lui avait désigné, elle jet a un regard sur le voisinage…personne alentour ne pouvait voir ce qui se passait…voire ce qui allait se passer dans leur jardin…Elle passa furtivement sa main entre ses cuisses, et un peu plus loin…son sexe était trempé…et le rosebud…hum…juste une petite poussée…Elle entendit des pas sur la terrasse et prit la position. Debout, totalement nue et offerte, les mains entrecroisées sur la grosse branche du bas de l’arbre gigantesque…Elle ferma les yeux….écoutant de toutes ses oreilles les bruits derrière son corps nu…des choses….des objets…posés sur l’herbe du jardin…le souffle de son amour qui venait (enfin!) la punir….puis les sensations….pour le moment seulement en silence…seul le souffle de l’air de printemps sur son corps nu….la grosse corde qu’il enroule autour de ses poignets….alors qu’il la lance autour de la grosse branche, elle ose ouvrir les yeux…mais déjà il les voile…elle ne sait pas avec quoi….elle s’en fiche….elle accepte…la tension sur ses bras quand il tire sur la corde et que son ventre vient râper l’écorce rêche de l’arbre…Ses chevilles qu’il écarte de ses mains fermes…sa main qui titille l’objet enfoncé depuis si longtemps dans son cul et qui dérape vers son sexe trempé. Elle se tortille dans la corde qui la lie à l’arbre, réfrénant son plaisir qui remonte déjà….Enfin il parle…
    « -Hum….tu dégoulines….Tu n’es qu’une garce que je vais punir maintenant…je vais te punir vraiment, mais tu vas tout me dire….tout ce que tu m’as caché de toi depuis si longtemps….et après….après…..».
    Elle aurait voulu dire un mot, un souffle, un enfin, un je t’aime….La violence de ce qu’elle ne sait pas quoi lui lacère le cul…Elle voulait mais n’a pas le temps de tourner la tête vers lui.
    La lourde ceinture de cuir qu’il a enserré dans sa main vient de s’abattre sur le cul de son amoureuse…Elle crie, très fort, surprise par ce coup dont elle n’attendait…ni n’espérait la violence…
    Lui même surpris par ce qu’il vient de faire tourne la tête en tous sens…Non aucun des voisins potentiels de leur résidence ne peut voir….Alors, il va continuer …il pose sa ceinture dans le gazon et s’empare du lourd martinet de cuir qu’il a découvert dans la boîte à joujoux de celle dont il partage la vie depuis si longtemps et dont il ne connaissait pas les fantasmes les plus fous. Avant de commencer à la fouetter il enlève enfin son pantalon et son caleçon et vient coller son sexe brûlant contre la raie de son cul….Il empoigne sa tignasse et tire sa tête en arrière, l’obligeant à le regarder…Il aime sentir son corps nu et frémissant contre son bas ventre…Il scrute son visage dont les yeux sont obturés par le foulard qu’il a noué derrière sa nuque..Déjà, cette seule vision de sa main dans ses cheveux et de son visage crispé par la peur le fait presque jouir…Mais il faut aller au delà de çà…savoir…
    « -Quand j’aurais fini de te fouetter, tu me diras tout et je t’enculerais, que tu le veuilles ou non… !!!Mais avant je vais te punir…Dis moi que c’est de çà dont tu as envie…dis moi…dis le moi !!!!!».
    Le martinet ancré fermement au creux de sa main, il attend quelques instants…dirait elle non? Serait ce un espoir ??? Les secondes s’écoulent…Enfin, le corps tordu, elle avoue…
    « -Ouiiii…s’il te plaît….punis moi….fouette moi…si ça te plaît…. !!! ».
    Alors, puisque ça leur plaît à tous les deux…Il lâche la tête de son amante et se recule de quelques pas..jamais il ‘a manié un martinet mais, il va apprendre à s’en servir…puisqu’elle le désire…

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

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