Punition d’une fille à papa
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Alexis_gva, le il y a 1 mois et 1 semaine.
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- 17 mars 2025 à 08:24 #103781
Alexis_gva
ParticipantLa jeune Charlotte est en stage au PC sécurité d’un groupe de luxe, propriété de son Papa. Éduquée dans les meilleures pensionnats pour jeune fille, Charlotte est une jeune fille pleine de promesses: polie, réservée, intelligente, elle n’a du monde réel qu’une connaissance théorique.
Alors lorsque son père lui a trouvé ce stage afin de la confronté au monde réel, Charlotte s’est sentie investie d’une mission fondamentale: ne pas decevoir son père et donner le meilleur d’elle-meme.
Toutefois, les premiers jours furent difficiles. Non seulement le métier de gardien etait ingrat mais la personnalité de son maître de stage n’arrangeait rien. Ancien militaire, porté sur la boisson, il reluquait sans vergogne la jeune Charlotte moulé dans l’uniforme des membres de la sécurité.
Malgré tous ses efforts, l’étudiante multipliait les erreurs si bien qu’un jour elle fut convoqué dans le bureau de son chef. D’ un naturel timide, Charlotte ne savait pas trop à quoi s’attendre. Ce dernier lui expliqua que malgré sa patience, il ne pouvait pas la garder, son comportement n’étant pas à la hauteur des attentes de l’équipe.
En entendant cela Charlotte fondit en larmes. Elle se voyait déjà revenir honteuse vers son père, lequel la regarderait avec mépris. De son côté, son chef savourait ce moment. Voir ce visage angélique couvert de larmes lui procurait un plaisir certain. Son plan marchait à la perfection. Il allait pouvoir faire ce qu’il voulait de cette oie blanche…
D’un ton magnanime, il prit la parole et dit:– Charlotte, ta détresse me touche. Je pourrais revenir sur ma décision. Cela suppose que tu t’engages à être plus appliquée à ton travail. Et comme preuve de ton application, que tu acceptes de recevoir une punition.
Ne voyant pas d’alternative, l’étudiante accepta immédiatement la punition, sans avoir remarqué le sourire mauvais sur le visage de son chef d’équipe.
Certes, elle manquait de rigueur dans son travail mais de là à être punie, cela lui semblait quand même un peu excessif. D’autant que personne n’avait jamais osé punir Charlotte. Elle était traité au sein de sa famille comme une petite princesse et ce stage de securité dans une des nombreuses entreprises de son papa était une condition pour qu’il continue de financer sa vie oisive de jeune étudiante.En optant pour la punition, la jeune fille s’attendait donc à devoir réaliser quelques tâches ingrates, faire des heures supplémentaires ou même travailler un dimanche mais quelle ne fut pas sa surprise lorsque cet ancien militaire, d’un pas lent et lourd se contenta de se lever de son bureau pour aller fermer à clés la porte de son bureau. Une fois la porte securisée, il se tourna vers Charlotte d’un air sévère:
– Allez jeune fille, c’est l’heure de la punition: en culotte. Pantalon sur les chevilles. Execution!
Charlotte se figea. Elle se dit un instant que l’homme plaisantait mais son visage dur lui fit comprendre qu’il n’en était rien. Que devait-elle faire? Quitter cette pièce et rentrer chez ses parents? Elle connaissait déjà les conséquences: fin des sorties avec ses copines, plus d’argent de poche, reprise de ses études, petit boulot étudiant. Cette perspective la terrorisait autant, sinon plus, que l’obligation de se dénuder partiellement devant cet homme mûr.
– Alors qu’est ce qu’elle attend la princesse? Pas envie de montrer sa culotte à un simple employé? Rassure moi tu en portes une au moins? Ajouta-t-il avec un sourire mauvais.
Charlotte enrageait, cet homme la tenait et tous deux en étaient conscients. Il jouait avec elle, cherchait à l’humilier et attendait sa reaction avec gourmandise. Alors que son menton commençait à trembler de façon incontrôlable, les mains de Charlotte se dirigèrent vers le ceinturon qui tomba au sol d’un bruit sourd. Ses doigts fins s’attaquèrent ensuite aux boutons de son treillis qui se retrouva Immédiatement sur ses chevilles. Tremblante, elle offrait désormais au regard de son “maître de stage” la vision d’une culotte noire moulant parfaitement ses fesses musclées ainsi que son intimité.
Sur les instructions du vieil homme, Charlotte se tourna afin qu’il puisse se rincer l’oeil sur les formes juveniles de sa stagiaire qui sanglotait de honte d’être ainsi exposée.
– Mains sur la tête! Allez!
A contrecoeur, Charlotte s’exécuta. Elle entendit alors le pas lourd de son chef qui se rapprochait lentement. En chemin, il se saisit d’une chaise qu’il posa juste derrière Charlotte et puis…plus rien. La jeune fille risqua un regard derrière elle afin de voir ce que faisait l’homme mais une claque violente sur la cuisse lui fit comprendre que ce n’était pas une bonne idée.
– Regarde devant toi jeune fille! Et laisse moi admirer ce cul de princesse sur lequel je suis sûr aucun homme n’a porté son regard.
Effectivement, malgré ses grands airs de femme libérée, Charlotte malgré ses 21 ans n’avait eu que de rares histoires d’amour et jamais elle ne serait abaissée à laisser un homme contempler ses fesses!
De son côté, le vieil agent de sécurité profitait du moment: pouvoir observer et toucher le cul de la fille du patron, voilà qui n’arrivait pas si souvent se dit-il avec un sourire rejouit. Surtout que cette petite est drôlement appétissante avec son côté bourgeoise protestante.
Je sens que la fin de son stage va devenir de plus en plus intéressant pensa-t-il en caressant avec douceur le fin tissus de la culotte. Ses gros doigts parcouraient en effet avec une dextérité surprenante les contours du sous vêtements.Charlotte fut la première surprise par la douceur de cette grosse main qui, il n’y a pas 5 min, lui avait laissé un souvenir cuisant sur sa cuisse. Toujours debout, mains sur la tête, Charlotte ne parvenait pas à échapper aux caresses de l’ancien militaire sur ces fesses. Elle décida donc de prendre sur elle et de jouer la montre. Il finirait bien par se lasser pensa-t-elle…
30 minutes plus tard, la situation était toutefois bien différente. Même si elle tentait de ne rien laisser transparaître, Charlotte, malgré elle, ne parvenait plus à ignorer ces mains inquisitrices sur sa culotte et ses fesses qui en exploraient chaque centimetre carré avec douceur et perversion. Elle ne pouvait ignorer non plus le souffle chaud du vieux militaire sur ses fesses, le visage à quelques centimetres de son postérieur, explorant méthodiquement le territoire qui s’offrait à lui.
Cette douceur alliée à la violence de la situation et à l’impudeur de sa position, tous ces éléments produisaient un certain effet sur Charlotte. La jeune etudiante sentait son corps réagir aux mains qui parcouraient ses fesses: elle rougissait, sentait une chaleur monter en elle, ses tetons durcissaient mais surtout sa culotte s’impregnait de la même humidité que lors de ses rares masturbations nocturnes.
Heureusement que ce vieux sadique ne peut pas s’en rendre compte se dit elle, pendant être protégée par le fin tissu de sa culotte. Malgré cela les prochaines minutes allaient devenir compliquées pensa-t-elle car son plaisir allait croissant…
Au même moment, les mains du vieil homme stoppèrent leur manège. Il observait depuis un bon moment deja les changements dans l’attitude de sa stagiaire: sa respiration qui s’accellérait, son bassin qui ondulait de manière imperceptible et surtout cette humidité qu’il pouvait entrevoir.La petite semble prête pr l’étape suivante pensa-t-il. Essayons de la troubler encore un peu plus…
D’un mouvement brusque, il se leva et vint se placer juste derrière Charlotte. Leurs deux corps se frôlaient et la jeune fille pouvait sentir l’etoffe du pantalon de son tourmenteur toucher légèrement ses fesses. Au même moment, Charlotte senti que des doigts agrippaient l’élastique de sa culotte afin que cette dernière s’imprime dans les chairs de la jeune fille.– Alors ma petite chérie, sens-tu le tissus qui rentre dans ta chatte et ton cul? Tu penses quoi de ce joli string? Est ce que ce n’est pas le genre de sous-vêtement qu’une petite allumeuse comme toi devrait porter? Tiens et qu’en penses tu si maintenant je tire sur le tissus en même temps devant et derrière?
Joignant le geste à la parole, il tira vers le haut la culotte de Charlotte. Cette dernière, sur la pointe des pieds ne put retenir un gemisssement qui ne trompa personne: il s’agissait d’une preuve de plaisir et non de douleur…
La jeune étudiante devait se rendre à l’évidence. Cette voix rauque, cette vulgarité dans les propos, ce mélange de douceur et d’humiliation…tout cela l’excitait terriblement à son corps défendant. Charlotte avait l’impression de vivre l’un de ses nombreux fantasmes où elle n’est que le jouet d’hommes qui abusent d’elle avec perversion et la punissent avec délectation…La voix de son chef à son oreille la fit sortir de sa lethargie.
– Bien…je vois que tu apprécies…la petite princesse serait-elle une petite masochiste en réalité?
Charlotte allait nier lorsque l’homme fit à nouveau rentrer le tissu dans son intimité, lui arrachant un grognement inaudible. Fort de son succès, l’ex militaire continua encore ce traitement une quinzaine de minutes. Il jouait avec cette culotte arrachant à la pauvre Charlotte des soupirs qui illustraient sa perdition.
Au bout d’un moment qui sembla durer une éternité, c’est une Charlotte perdue et incapable du moindre mouvement qui realisa que sa culotte se trouvait désormais à ses pieds, donnant au vieux gardien de sécurité l’occasion de proférer quelques remarques vulgaires et humiliantes sur l’humidité du sous vêtements, le manque de vertu de Charlotte, et la probable honte de son père s’il apprenait que sa fille était pervertie à ce point.
Paradoxalement, ces nouvelles paroles agir comme un aphrodisiaque sur Charlotte, sensation decuplée lorsque la première fessée atteigna sa fesse nue. En effet, le bourreau de la jeune fille s’était positionné à ses côtés et entreprit de la fesser, méthodiquement, avec la même application qu’il avait déployé lorsqu’il s’était agit de caresser ce posterieur.
Les impacts se succédèrent avec régularité pendant 10 min, obligeant Charlotte à prendre appui sur le bureau devant elle. La jeune étudiante était donc dans une position obscene, cambrée, pantalon et dessous à ses chevilles, fessier offert et en l’air.
La crainte de la douleur n’occupait désormais plus le cerveau de la jeune étudiante. Chaque impact générait une décharge électrique qui semblait pénétrer au plus profond de son être, lui arrachant soupirs et gemisssements obscenes. Le cerveau de Charlotte semblait ne plus repondre. Perdant toute pudeur, un sourire beat sur son beau visage, elle s’abandonna aux coups offrant son corps aux grosses mains rêches de son supérieur qui se félicitait d’avoir brisé sa petite stagiaire.Toutefois, il restait un petit élement à ajouter pour que la défaite de Charlotte soit complète: tout en continuant de lui administrer sa punition, l’ex militaire se pencha vers la jeune fille et lui sussura quelques mots à l’oreille. Cette dernière, sur les indications de l’agent de sécurité, tourna alors la tête vers un angle de la pièce.
Lorsqu’elle aperçut dans un coin du plafond le clignotement rouge de la caméra de sécurité reliée au PC sécurité où se trouvait un 3eme collègue, Charlotte ecarcilla les yeux, ouvrit grand la bouche à la recherche d’air…et explosa dans un orgasme dévastateur alors qu’une main s’abaissa pour la dernière fois sur ses fesses cramoisies.
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