Première semaine à l’université
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3 mars 2021 à 14:01 #61341
gaulois76
Bloqué
1<sup>ère</sup> semaine à l’université par Kitty
Kitty à sa sœur Johana, à Paris. France.
Ma très chère sœur Johanna
Encore merci pour ces deux mois passés en France à tes côtés et aussi à ceux de tes deux charmants bambins, cela a été pour moi une découverte fantastique. Remercie aussi, Patrick, ton adorable mari. Paris, dont tout le monde m’avait vanté les charmes, est vraiment une capitale à la hauteur de sa renommée et la côte d’Azur où tu habites, est vraiment l’endroit le plus agréable au monde. Après plusieurs années en internat dans ma High School du sud, un peu sévère, et tenue à la maison par nos parents qui ne le sont pas moins, cela m’a fait beaucoup de bien et m’a ouverte au monde. Ces deux mois ont été un véritable enchantement. Tu m’avais demandé de t’écrire régulièrement, je te dois bien ça. Je vais te raconter mes premiers jours qui, malheureusement, ne se sont pas passés comme je m’y attendais. J’étais pourtant extrêmement heureuse d’atteindre une certaine autonomie, j’avais suivi ton conseil pour m’inscrire dans cette université féminine de la côte est particulièrement réputée pour la qualité de son enseignement, mais aussi pour une certaine exigence dans le comportement des étudiantes ce qui avait ravi nos parents et m’avait évité l’horrible université évangélique de l’Alabama où ils voulaient m’envoyer. J’ai eu la chance, grâce à ton passage réputé excellent sur ce campus, d’intégrer la sororité la plus célèbre, Alpha bêta phi. Je suis installée dans une chambre avec une autre fille plutôt sympa, Madeleine, qui est une québécoise, qui heureusement pour elle, parle très bien anglais. J’ai très vite goûté d’un peu plus de liberté, sans faire très attention au règlement un peu strict de la maison qui a bien voulu m’accueillir et sans tenir compte de tes avertissements. J’aurais dû faire plus attention car j’ai eu une conversation qui s’est mal passée avec la gouvernante, en vérité une altercation. Cette dame, qui me prenait pour une petite rebelle, m’a sermonnée alors que je n’avais rien fait. Je lui ai répondu avec un peu trop d’insolence sans doute, en lui faisant comprendre que nous n’étions pas du même monde et qu’elle était à notre service, payée par nos parents. Après tant d’années d’internat et de surveillance constante à la maison, me retrouver avec la possibilité de sortir a été pour moi une véritable délivrance, surtout en début d’année ou les fêtes d’ouverture dans les différentes sororités obligent presque à vivre dans un état second. Comme tu le sais, mon université est exclusivement féminine, c’est une rareté intéressante, mais le campus masculin n’est pas très loin et j’ai assisté à une soirée très arrosée dans une fraternité où j’ai rencontré un très beau garçon, qui m’a fait un peu boire, que j’ai embrassé et qui m’a caressée, mais j’ai réussi à ne pas aller plus loin la première fois, mais c’était moins une. Il en avait manifestement très envie et j’ai eu beaucoup de mal à me contrôler, l’alcool, qui est pour moi une nouveauté, agissant fortement. Le lendemain, il y avait une série de tests très important pour l’accès aux matières principales et pour tout dire pour l’orientation de mon cursus pour les années à venir. Le problème, c’est que j’étais encore dans les brumes de l’alcool, que mon crâne était enserré d’un cercle d’acier et que j’ai été plutôt mauvaise, pensant avoir tout raté. Je suis sortie avec la crainte de faire une première année plutôt médiocre et avec des matières que je n’aurais pas forcément choisies. Je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même, mais j’étais de très mauvaise humeur. Cela va te paraître complètement idiot mais j’avais envie de mettre une claque à quelqu’un, en fait à n’importe qui. Sur les marches, à la sortie de la salle d’examen, il y a une fille qui m’a bousculée, ou sans doute que c’est moi qui l’ai bousculée pour être tout à fait honnête, mais dans l’état où j’étais, je l’ai insultée et comme elle était elle aussi de mauvaise humeur, je ne sais pas pourquoi, elle m’a répondu sur le même ton. C’était pour moi l’occasion rêvée, je lui ai collé une baffe et je suis partie. Elle était tellement choquée, qu’elle n’a pas réagi. Je l’ai entendue poursuivre ses insultes, mais je ne me suis pas retournée et j’ai regagné ma sororité. Je me suis changée et j’ai fait comme tout le monde sur ce campus, je suis allée courir dans les allées au milieu des gazons et des bosquets de ce magnifique parc. Il faisait encore très beau, en cette rentrée encore en plein été et j’étais habillée très légèrement d’un short et du débardeur de ma sororité. J’ai couru pendant à peu près une demi-heure, essoufflée, n’ayant pas ma performance habituelle et réalisant que l’alcool n’était pas bon pour moi. Je marchai alors quelque pas avant de reprendre ma course en me jurant que l’on ne me reprendrait plus avec l’alcool mais en me promettant de revoir ce beau garçon qui avait été finalement assez correct et qui m’avait laissé son numéro de téléphone. Quelqu’un m’a bousculée et je n’ai pas fait attention à qui c’était, je ne connaissais encore presque personne. Toujours agressive, je l’ai insultée et c’est à ce moment-là que j’ai reconnu la fille que j’avais giflée à peine une heure plus tôt. Elle m’a regardée avec stupeur puis avec une férocité terrible, m’a collé un aller-retour retentissant, j’ai failli en tomber et quand j’ai essayé de me défendre, elle m’a attrapée sous le bras. La fille doit faire 20 cm de plus que moi, elle a baissé mon short, l’a complètement retiré et a commencé à m’administrer une fessée carabinée sur mes fesses et mes cuisses. Je hurlais, je me débattais et cela a attiré beaucoup de monde. J’apercevais les jambes des spectateurs sans voir leurs visages, tandis que ma queue de cheval battait l’air en même temps que mes jambes. Cela me rappela les fessées que maman me mettait encore, il n’y a pas si longtemps et très vite, la honte et surtout la douleur ont entraîné des sanglots. Je n’étais pas à ma première fessée, la dernière datant d’à peine quelques mois, un peu avant les examens terminaux et je connaissais la fin inéluctable, après les sanglots, c’est-à-dire, l’affaissement et la reddition. Je sentais mon cul chauffer à vitesse grand V et probablement qu’il était déjà tout rouge,ce qui m’a été confirmé par les réflexions des étudiants et des étudiantes qui étaient spectateurs de la scène incroyable qui se jouait devant eux. Elle s’arrêta et me demandant si j’avais mon compte :
- Tu es complètement cinglée ! Qu’est-ce qui t’a pris ?
- T’apprendre la politesse, petite dinde. Mets-toi à genoux, les mains sur la tête.
Je retrouvai vite une certaine force de caractère grâce à l’habitude familiale des fessées et je ne me laissai pas faire, commençant de nouveau à traiter la fille de tous les noms. Ce n’était pas malin de ma part car elle était nettement plus forte que moi et en plus, elle avait mis mon short dans sa poche, j’étais donc presque à poil. Elle me recolla une grande paire de gifles et me reprit sous son bras, me bloquant totalement et elle recommença à m’administrer une fessée encore plus magistrale que la première. Je hurlais encore plus fort mais très vite, je me suis mise à pleurer à chaudes larmes et je rendis les armes, ce qui fit que quand elle me fit mettre à genoux, j’étais totalement soumise à sa volonté. Elle sifflotait en tournant autour de moi, arborant un grand sourire en me faisant la morale, tandis que j’étais à genoux au milieu de l’allée, les mains sur la tête et les fesses à l’air, toutes rouges. Les propos des passants ne trompaient pas, du genre : « jolie couleur bien uniforme »,ou « elle a dû bien le chercher, celle-là », ou encore « c’est une nouvelle, ça doit être un bizutage… », personne ne prenait ma défense, comme si c’était normal sur ce campus de mettre une fessée déculottée en public. Comme tu le sais, dans notre famille la fessée fait partie des traditions et selon nos parents, il n’y a pas d’âge pour en recevoir tant que l’on n’est pas mariée, et encore, d’après ce que tu m’as dit, il ne faut pas trop s’y fier. A un moment, mon bourreau est parti en courant en me disant :
- Tu peux me suivre, bécasse !
Je n’avais pas le choix, j’avais beau être dénudée jusqu’à la ceinture j’ai bien dû courir derrière elle, qui tenait à la main, en le brandissant comme un trophée, mon short. Je ne savais pas où elle allait, mais je la suivais, d’assez loin, car avec ses grandes jambes, elle courait plus vite que moi. De temps en temps, elle ralentissait, se retournait et rigolait. Je ne connaissais pas encore bien le campus, mais j’ai compris qu’on se rapprochait du quartier réservé aux résidences étudiantes et devant ma sororité, elle s’arrêta. Il y avait deux filles qui rentraient et qui me regardèrent avec stupéfaction. La fille me fit comprendre qu’elle savait que c’était ma résidence, puisque mon T-shirt arborait alpha bêta phi. Elle me regarda avec insolence en me disant qu’on se reverrait et elle balança mon short sur le toit de la marquise qui surmontait les marches d’entrée de la propriété. Je ne savais pas quoi faire, j’essayais de rentrer discrètement pour rejoindre ma chambre, mais je n’avais pas de clé car elle était dans la poche arrière de mon short. Je traversai le hall en croisant plusieurs filles, je grimpai en courant l’escalier, mais ma coloc n’était pas là. J’ai appelé une fille que je ne connaissais pas, je lui ai expliqué ma situation, elle était écroulée de rire. Elle est redescendue en prenant son temps et a remonté un trousseau de clés, ce qui lui a permis de me donner accès à ma chambre, sans dire un mot, elle ne rigolait plus. Je suis allée prendre une douche, j’avais les fesses en feu et pour m’habiller, j’ai mis une petite jupe blanche de tennis, sans-culotte, tellement le frottement m’était insupportable. Je me suis reposée un peu, j’ai essayé de lire, en vain, et quand Madeleine est rentrée, je lui ai raconté mes malheurs. Très gentiment, elle m’a consolée, mais m’a dit que je risquais d’avoir des ennuis dans la sororité, car elle avait croisé la présidente, une élève de troisième année, qui lui avait demandé comment je me comportais et avait l’ait très fâchée. Je n’en menais pas large. Madeleine s’habilla d’une jupe bleu marine plissée mi longue et d’un chemisier blanc fermé par une petite lavallière bleu ciel, ce qui m’étonna. Ce n’était pas son style, elle était plutôt du style jeans et sweet-shirt et elle est descendue en me rappelant que je devais me dépêcher de me préparer, car avant le dîner, il y avait une assemblée. Je voulais récupérer mon short, un modèle que j’adorais, un short orange camp collection qui venait de ma dernière colonie de vacances, un bon souvenir. J’en ai profité pour escalader la fenêtre, marcher le long d’une poutre et quand j’ai mis le pied sur la marquise, j’ai entendu un craquement, j’ai failli glisser. J’ai poussé un grand cri et je n’ai plus bougé. Plusieurs filles sont sorties, m’ont demandé de ne pas bouger et la gouvernante est arrivée avec une échelle. Je suis descendue, mon short à la main, rouge de honte et j’ai réalisé que tout le monde regardait sous ma jupe, n’ayant pas mis de sous-vêtements. La gouvernante m’a pris par le bras et m’a emmenée dans la grande salle. J’y ai retrouvé toutes les filles qui étaient habillées comme Madeleine, sauf moi avec ma petite jupe blanche, j’avais oublié que pour ce genre de solennité, nous devions porter l’uniforme de la sororité. J’ai compris le sens du conte « le vilain petit canard », surtout quand j’ai découvert que les filles étaient placées comme dans un tribunal, la présidente entourée de deux assesseurs d’un côté, les filles alignées sur les deux côtés. On m’a placée au milieu et la présidente me demanda de me mettre à genoux. La présidente prit la parole :
- Pour une fille qui vient du Mississippi, Kitty, tu fais très fort. Tu es rentrée à Alpha, presque nue, tu vas nous expliquer pourquoi. Tu fais honte à la sororité, cela n’est pas arrivé depuis certainement des dizaines d’années alors que tu es ici depuis moins d’une semaine. En plus, tu te mets en danger et tu dégrades les locaux et pour finir, tu débarques à l’assemblée sans avoir mis l’uniforme. Tu n’as pas lu le règlement intérieur ? Je dois ajouter que plusieurs filles t’ont entendue rentrer hier soir, manifestement ivre et très bruyante et l’université nous a informés que tu avais totalement raté des tests. Sache que dans cette maison, nous nous honorons d’être parmi les meilleures étudiantes du campus des filles et de pouvoir choisir les meilleurs cursus. Qu’as-tu à répondre ?
Je me suis expliquée tant bien que mal, plutôt mal et j’ai dû me retirer pour que les autres filles puissent délibérer. Quand je suis rentrée dans la salle, toutes les filles baissaient la tête et j’ai dû me remettre à genoux, face à la présidente :
- Tu as de la chance que l’on soit la première semaine car sinon, tu aurais certainement été exclue. Nous te protégeons également car tu es la sœur d’une ancienne élève qui a laissé un excellent souvenir dans la sororité. Nous allons donc te donner une seconde chance, mais si tu ne compenses pas ton handicap et que tu ne retrouves pas l’excellent niveau que ton dossier laissait supposer, tu devras te trouver une autre sororité. Nous allons donc t’administrer un sévère châtiment corporel, c’est dans le règlement, même si l’on applique que très rarement cet article. Tu aurais dû l’apprendre et d’ailleurs, tu as une semaine pour le copier 50 fois et mercredi prochain, tu devras le reciter par cœur devant nous toutes, sinon…. D’autre part, tu serviras tes sœurs pendant le repas pendant deux semaines. Pendant cette quinzaine de punition, tu seras châtiée tous les jours et comme tu aimes la nudité, tu seras totalement nue pendant cette période à l’intérieur de la maison. Tant que nous ne changerons pas d’avis, puisque tu ignores notre uniforme, tu devras le porter tous les jours pour aller en cours et même les jours de congés, a priori, au moins pour cette année scolaire. La gouvernante aussi à quelque chose à te dire.
- Mademoiselle, si vous étiez une citoyenne de notre Etat, vous seriez majeure et nous avions l’intention de vous considérer comme telle, mais vous êtes du Mississippi et vous ne serez majeure qu’à 21 ans. Je vais donc devoir informer vos parents de votre comportement inadmissible. En ce qui me concerne, je vais vous surveiller de très près, et sachez que je vais demander à vos parents l’autorisation d’utiliser sur vous les châtiments corporels. Bien entendu, vous êtes totalement privée de sortie jusqu’aux prochaines vacances scolaires.
J’ai donc dû retirer ma jupe, exposant ma nudité à toutes mes sœurs et enlever mon T-shirt rose. J’avais déjà été châtiée, parfois en public dans ma High School, où le paddle était monnaie courante et en famille, mais rarement en public. J’ai essayé d’argumenter, mais j’ai bien compris que cela ne ferait qu’augmenter ma sanction. Sachant ce qui risquait de m’arriver à l’université mais aussi en famille, j’ai baissé la garde et je me suis retrouvée au milieu de toutes, complètement nue. La présidente a avancé une chaise et j’ai dû me courber, les mains sur le dossier, tandis que les deux assesseurs, dont l’une était celle qui m’avait ouvert ma chambre, se préparaient pour l’exécution. J’ai reçu 30 coups de paddle sur les fesses et les cuisses et j’ai essayé de rester digne. Pendant les 15 premiers coups, j’ai serré les dents, puis petit à petit, j’ai émis des petits cris à chaque coup, mais je n’ai pas pleuré. Quand le premier coup de badine en bambou a massacré mes fesses, j’ai hurlé et à partir du troisième coup, tombé sur les cuisses, ce qui est encore plus douloureux, j’ai pleuré comme jamais je n’avais pleuré. Au 15<sup>eème</sup> coup, je me suis effondrée. On m’a relevée et je ne sais pas comment j’ai fait pour supporter les cinq derniers coups. Puis, pendant que l’assemblée se dispersait, je suis restée à genoux, les mains sur la tête au milieu de la salle. Au bout d’un quart d’heure, souffrant le martyre, marchant comme un crabe, j’ai dû rejoindre la cuisine pour servir le repas aux autres filles. Le soir, j’ai longuement pleuré dans ma chambre, regrettant mon comportement mais finalement, comprenant très bien ce qui m’était arrivé et acceptant la punition. Madeleine est venue me consoler, me faisant un petit câlin en me disant qu’elle me soutiendrait toujours, mais qu’elle était la seule à avoir pris ma défense. Heureusement, dans cette aventure, une amitié est née.
Le lendemain, ayant revêtu mon uniforme de petite collégienne que maintenant je porterai m’a-t-on fait comprendre, probablement toute l’année, y compris pour rentrer en famille, je me suis rendue en cours, sachant que probablement j’en avais pour au moins un an. J’ai été très regardée. J’étais assez ridicule, déguisée en petite collégienne, on m’avait même obligée à me faire des couettes. Les étudiantes étaient habillées librement, même si l’on savait que dans certaines sororités, il y avait des uniformes réservés à l’intérieur. Il y avait bien un uniforme universitaire, mais il était réservé aux examens, aux soirées officielles et aux remises de diplômes, mais il était beaucoup plus féminin. De plus, comme la jupe était assez courte, dès que je me penchais, on devait voir les traces de badines sur mes cuisses qui n’avaient pas été épargnées. Au self, le midi, alors que j’essayais de me faire toute petite, épaulée par Madeleine, j’ai croisé la fille qui m’avait fessée, elle me regarda avec défi en me disant :
- Mets-toi à genoux.
J’hésitais, je n’allais quand même pas m’humilier devant tout le monde :
- Tu hésites, mais moi, je ne vais pas hésiter à relever ta jupe, à baisser ta culotte et à te mettre une fessée déculottée.
Cette fille me dominait, et elle me faisait peur, elle était bien capable de le faire, je m’exécutai :
- Je m’appelle Rachel. Heureuse de te revoir. Tu es mignonne comme ça ! Et apparemment, je ne suis pas la seule à avoir trouvé que tu méritais une fessée, ta présidente m’a raconté que tu t’étais pris une bonne dérouillée chez Alpha ! Je t’ai à l’œil, je ne suis pas près de t’oublier. Tous les vendredi midi, tu viendras me raconter ici, dans cette position, ta semaine. Tu as besoin d’être surveillée, toi !
J’ai donc immédiatement été cataloguée comme une rebelle et une fille se faisant fesser par une étudiante et dans sa sororité. J’étais repérée tant par les autres étudiantes que par les profs, ce qui normalement n’est pas du tout le cas la première semaine, il va me falloir beaucoup de temps pour corriger cette image, si j’y arrive. J’ai laissé ma honte dernière moi et j’ai suivi avec une attention totale, les cours de la journée, me jurant qu’on ne m’y prendrait plus, mais je savais que j’allais être punie tous les soirs cette quinzaine, et je savais très bien qu’au moindre incident, je le serai de nouveau. Le premier soir de ce nouveau régime, alors que toute nue et ayant été de nouveau battue, d’abord d’un petit fouet puis de 40 coups de badine, j’ai reçu un coup de téléphone de maman qui était furibarde. Elle m’a promis une bonne fessée publique dès mon retour à la maison et que mon père ressortirait pour moi le martinet. Elle me précisa aussi qu’elle avait délégué l’autorisation de me punir corporellement à la gouvernante, jusqu’à ma majorité, ce qui me promettait trois années glorieuses. Je me suis excusée platement, mais maman m’a dit que le pardon ne viendrait qu’après une sévère correction. Enfin, elle m’a dit que si je n’étais pas parfaite, je rejoindrai l’université de l’Alabama, beaucoup plus stricte et religieuse. En raccrochant, j’ai croisé le regard de la gouvernante qui semblait extrêmement satisfaite et elle m’a dit :
- Mademoiselle, je vais être dans l’obligation de remplir une mission de correction familiale. Sachez que je ne vais pas me gêner et que, pour les trois années qui viennent, il y a probablement peu de semaine où vos fesses ne seront pas rougies par moi. Finissez votre service ! Des petites insolentes comme vous, j’en ai rarement vu, je vais vous mater, Mademoiselle.
Je partis en baissant la tête, elle me rappela
- Une dernière chose, mademoiselle, votre mère va rembourser vos dégâts sur la marquise et m’a demandé de vous punir. Après vos 15 jours de sanction par vos sœurs, je prendrai le relai et croyez-moi, cela ne sera pas plus agréable, le cuit de vos fesses risque d’être vite tanné et vous saurez nettoyer des sanitaires pour toute votre vie ! Vous allez voir qui est au service de qui, petite arrogante.
Vois-tu ma chère sœur dans quelle situation désastreuse je me suis mise, tout simplement pour une première soirée un peu trop arrosée. Pour le régime à la sororité, pour la sévérité de la gouvernante et pour les punitions à la maison, je sais que je n’y peux rien, je vais devoir subir. Pour l’université, c’est peut-être différent. Selon ce que la bibliothécaire, plutôt sympa m’a laissé entendre. Tu m’as toujours dit que tu avais gardé de bonnes relations avec la doyenne, peut-être pourrais-tu influer sur elle pour qu’elle me redonne une chance et que je repasse mes tests, quitte à avoir une quelconque punition de plus, un travail à la bibliothèque par exemple, je ne suis plus à ça près. Je compte vivement sur toi, ma chère sœur et j’ai hâte de te revoir. Je t’embrasse très fort.
Ta petite sœur, Kitty
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