Première fessée

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    MrDobbins
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    Cela faisait maintenant quelques semaines que j’avais quitté la région lyonnaise pour mener des études d’ingénieur dans les Yvelines.
    Le fait d’être en apprentissage me permettait de louer un petit studio à SM (Saint Maur des Fossés).
    C’étaient les débuts de l’internet illimité avec AOL, des modems à 56k et des sites de chat dont Caramail était le leader.
    A la liberté occasionnée par cette émancipation familiale, s’est ajoutée la fréquentation de ce site et le partage des fantasmes les plus inavouables.
    Des milliers de connectés dans toute la France et des salons de discussion en tout genre.
    C’est sur l’un d’entre eux que j’ai rencontré Mathilde, alias “Rita” dont le pseudo avait été emprunté à son chat.
    Mathilde était une enfant de Paris. De 7 ans mon ainée, elle se sentait vieille sous prétexte qu’elle venait d’avoir 30 ans!
    Elle travaillait dans la publicité et la réalisation de clips; ce qui se traduisait par des périodes de travail très intenses et d’autres périodes creuses plus ou moins longues au cours desquelles elle venait s’évader sur le site qui nous a rapproché, à la recherche d’expériences nouvelles.
    Nos premiers échanges se sont faits dans un salon de Domination/soumission. Puis nos discussions se sont poursuivis par mail.
    Au fil des confidences, nous nous sommes rendus compte que nous avions de nombreux points communs et pas seulement notre attirance pour le bdsm: art, littérature, psychologie… Une confiance respective s’est donc très rapidement instaurée.
    En matière de bdsm, j’avais à cette époque peu voir pas d’expérience mais le désire de domination était ancré en moi avec une attirance toute particulière pour la fessée.
    De son côté Mathilde avait déjà reçu la ceinture au début de sa rencontre avec son compagnon de l’époque avant de rentrer dans une relation de couple plus traditionnelle.
    Je fréquentais régulièrement le site fesrouge.free.fr. J’attendais avec impatience la photo du mois, les nouveaux récits…
    Mathilde était troublée par le concept de la fessée mais davantage attirée par le bondage. Un jour Mathilde eu le courage de me téléphoner.
    Je lui avais communiqué mon numéro depuis longtemps mais il avait fallu une provocation de ma part pour qu’elle se décide à franchir le pas.
    Ce 1er appel ne fut pas très long et davantage destiné à apprivoiser nos voix respectives et prendre nos marques qu’à rentrer directement dans le vif du sujet.
    A compter de ce jour, les appels sont devenus réguliers et même quotidiens, dès que nous avions quelques minutes devant nous.
    C’est ainsi que sans nous en rendre compte, nous nous sommes beaucoup rapprochés et avons appris à nous connaitre sans même nous être rencontrés physiquement. Cela n’a rien de surprenant aujourd’hui, c’est même devenu très banal mais dans le contexte de “l’époque” c’était très étrange comme sensation, tellement virtuel que cela paraissait irréel.
    Jusqu’au jour où nous avons décidé de franchir le pas. Nous avions convenu de nous rencontrer chez moi pour un petit déjeuner, avant mes cours.
    Le matin venu, j’attendais l’appel de Mathilde m’indiquant qu’elle était arrivée à la gare et que je pouvais aller la chercher.
    C’est ainsi que je suis allé la chercher à la station de RER en face de chez moi. Je me suis dirigé tout droit vers elle, je l’ai immédiatement repérée, comme si je le connaissais.
    Elle était toute intimidée mais suffisamment en confiance pour me suivre jusqu’à mon appartement.
    Nous étions envahis de sentiments contradictoires dont nos voix étaient à la fois la frontière et le fil conducteur auquel nous nous raccrochions.
    En effet, d’un côté nous nous sentions extrêmement proches voir intimes en raison du lien que nous avions noué au fil des semaines et d’un autre, nous étions presque embarrassés de cette présence physique et de nos regards qui, eux, se découvraient enfin. Il nous fallait maintenant prendre nos repères.
    Après avoir discuté de tout et de rien, Mathilde me rappela que je lui avais demandé la partie de son corps qu’elle préférait et celle qu’elle aimait le moins. Et après réflexion, de me dire qu’elle préférait ses seins.
    En d’autres circonstances, je lui aurais demandé de me les montrer pour juger par moi-même et je pense que c’est ce qu’elle attendait.
    Mais je n’en ai rien fait. Je ne voulais pas brûler les étapes et surtout lui montrer que c’est moi qui donnerait le cadence.
    La gestion de son impatience et de son excitation serait la clé de la libération de son plaisir.
    C’est ainsi qu’après avoir passé une heure ensemble avant de démarrer la journée que nous nous sommes séparés.
    Sans être passé à l’acte, tout s’était passé ce jour là. Nous savions que c’était le début de quelque-chose.
    Une suite logique en un sens mais qui ne pouvait avoir lieu sans cette étape.
    Le soir, j’ai eu la surprise de recevoir un mail dans lequel Mathilde m’indiquait qu’elle avait été charmée par notre rencontre et par moi-même, ce que je dégageais… tout cela était nouveau pour moi, mais loin d’être désagréable, cela flattait mon égo de jeune mâle.
    La 2ème fois que Mathilde est venue, elle a voulu monté dans mon lit mezzanine.
    J’avais l’impression qu’elle retombait en enfance quand nous étions ensemble, prête à faire n’importe qu’elle bêtise.
    Mon studio était petit mais très bien agencé et tout était optimisé. Ce qui le rendait cosy et elle s’y sentait bien, en sécurité.
    Je n’est pas résisté à la tentation de la rejoindre et je savais que c’était l’opportunité de passer à l’action.
    Lorsque je me suis retrouvé derrière elle, j’ai relevé sur ses hanches sa jupe de velours kaki.
    Puis j’ai descendu son collant de mousse noir en le faisant lentement rouler le long de ses cuisses jusqu’à ses genoux.
    Elle portait une petite culotte de coton. Nous avions discuté de mes préférences de matière, de couleur…
    Ce n’était pas un string mais pas une culotte de grand-mère non plus!
    Après quelques secondes d’hésitation, je me décidais à la fesser. Lentement pour commencer, une hémisphère après l’autre, puis à des intervalles de plus en plus rapprochés, avec plus d’intensité, m’arrêtant de temps à autre pour caresser sa croupe qui se réchauffait et rougissait petit à petit.
    A quatre pattes, poings serrés et lèvres pincées, elle dissimulait à peine de petits gémissements.
    Lorsque j’ai pris l’initiative d’abaisser sa culotte à mi-cuisses, je constatais qu’elle avait mouillé de manière très abondante.
    Était-ce ce que l’on appelle une femme fontaine ? Je me suis même demandé si elle n’avait pas joui pendant cette première fessée.
    J’ai appris plus tard que non mais qu’elle n’avait pas imaginé, avant cette expérience, que son corps aurait réagi avec une telle intensité.
    J’ai terminé de la fesser lorsque je l’ai entendu sangloter.
    Elle est alors venue se blottir dans mes bras pour que je la réconforte comme une gamine qui voudrait se faire pardonner après une correction qu’elle savait méritée.
    Mathilde est alors devenue ma soumise. Nous avons découvert ensemble de manière tendre, naïve et bienveillante le monde de la Domination et de la soumission au travers de l’éducation que je lui ai donnée dans les mois qui ont suivis. Mais ceci fera peut-être l’objet d’autres histoires 😉 j’ai voulu me présenter à vous au travers du récit de mes débuts de fesseur.

    A master's work is never done

    #41543
    Piou
    Participant


    Merci pour ce récit !

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