Poésie Remix Décu
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- Ce sujet contient 4 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par ALAIN ELOGE, le il y a 7 mois et 3 semaines.
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10 février 2024 à 08:45 #93591VictorParticipant
Allez, on se creuse un peu les méninges, et on essaye de reprendre tant bien que mal une légende du genre ! J’espère que ça pourra vous plaire.
Demain dès l’aube
Demain dès l’aube, à l’heure où le soleil effleure l’horizon,
Je caresserai, ces collines de chair immaculées de blanc,
Je les réchaufferai, je les colorerai, pour te les laisser vermillon.
Je ne puis, vois-tu, demeurer patient plus longtemps.
J’abattrai ma dextre, l’esprit fixé sur ton insolence,
Sans entendre tes plaintes, sans voir tes convulsions,
Calme, le dos redressé, la paume déployée, sans aucune clémence,
Bienheureux, et le matin pour nous sera bénédiction.
Je ne regarderai ni tes pieds qui battent,
Ni tes mains qui s’invitent aux festivités,
Mais quand l’amarante pointera, j’immiscerai, sans trop de hâte,
Une racine câline aux confins de cette vallée embrasée.
A vous de jouer, pas obligé de respecter la longueur des vers, c’est déjà bien compliqué comme ça.
Pour les fans de jeux prof/élève : vous avez trente minute pour le commentaire composé littéraire.
Bon week-end !
10 février 2024 à 11:46 #93592LinetteParticipant
Un grand tableau si noir,
où se dessinent mes courbes sans le savoir.
À la poussière de craie car elle s’en souvenait.
En devoir,
l’apprentissage de ta main qui me caresse, et qui s’abat cent fois sur mes fesses offertes, me voilà penché sur ces bancs d’écolier récitant la phrase que tu voulais.
Un souvenir,
Mais pas celui que l’on confesse mais bel et bien les marques sur mes fesses.
Poème détourner d’Aurélie Lemoine “les mots en craie”
10 février 2024 à 14:25 #93594BadCristouParticipant
Joli détourné Linette, on te donnerait bien la fessée devant ce tableau noir 🤪
12 février 2024 à 00:02 #93608Abi SanParticipant
Vers Charles : hymne à ses passants…
[ Pour les puristes – https://www.poetica.fr/poeme-17/charles-baudelaire-a-une-passante/】
Ta force assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, ferme, avivée, douleur majestueuse,
Ta ceinture passa, de ta main fastueuse,
Soulevant, balançant, mes fesses sous l’ourlet.
Couchée à nu, avec ma hanche de statue.
Toi, tu frappais, crispé comme un extravagant,
Sur mon cul, ciel livide où germe l’ouragan.
Douleur en sa racine et dur plaisir qui tue.
Un éclair puis la nuit ! Fugitive fessée
Dont l’écho sourd m’a fait soudainement renaître !
Ne te sentirais-je que dans l’éternité ?
Ailleurs, bien loin d’ici, trop tard, jamais peut-être !
Car j’ignore où tu kink, tu ne sais où je fraie,
Ô toi qui me soumets, ô toi qui le savais.
🪔
Et parce qu’une image blablabla
12 février 2024 à 13:35 #93612ALAIN ELOGEParticipant
Chipie, allons voir….
Chipie, allons voir si tes fesses,
Conformément à ma promesse,
Et qui sont encore bien trop blanches,
La culotte baissée prestementVont se colorer promptement,
Entre les cuisses et les hanches.
Ah, quel bonheur que de te voir,
Pour cette raclée la recevoir,
T’allonger, et sans barguigner,
Bien au travers de mes cuisses.
Ou te pencher pour que je puisse
Te la coller, cette fessée !Tu sais que tu l’a méritée,
Que rien ne pourrais l’éviter.
Tu sais surtout que rien n’égale
La vision de ton postérieur
Qui rougit, oh quel bonheur !
C’est pour nous deux un vrai régal.
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