Petite parodie !
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Professeur Max, le il y a 1 année et 9 mois.
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20 décembre 2017 à 16:16 #19039
Vil1tidiab
Participant
A toutes les filles que j’ai fessées avant
Qui sont BD SM’ maintenant
A leur volcan de larmes
A leur torrent de spasme
Je suis resté turgescent *A toutes les filles que j’ai fouettées avant
En cours de lycée, postérieur bondissant
Aux fesses déchirées
A leurs culottes abaissées
Je suis resté turgescentElles avaient, elles avaient,
Des océans au fond des yeux
Elles dansaient, elles dansaient,
Pour regarder plus aà nos yeux
Elles disaient, elles disaient,
Que l’amour c’est toute une vie à deux
Elles avaient dans un sourire moqueur
Quelque chose de secret
Elles gravaient nos deux cœurs
Lié aux arbres des forêts
Elles pleuraient comme on pleure
Quand on a bien été fesséeDes beaux séants au fond des yeux
A toutes les filles que j’ai fessées avant
Qui sont devenues femmes maintenant
De leurs éclats de rire
A nos nuits de plaisir
Je suis resté turgescent
A toutes les filles martineté avant
De plage, de soleil, en dîners dansants
Aux secrets murmurés
Aux passions fustigées
Je suis resté tur – gés – centOui, je sais, je suis zorib et Satan m’habite.
* turgescent :
1. PHYSIOL. [En parlant d’un tissu ou d’un organe] Qui est devenu gonflé, notamment par l’apport de sang veineux. Pendant les attaques et quelques minutes encore après leur disparition, la face devient turgescente et violacée (Cadet de Gassicourt, Mal. enf., 1880, p. 97).Nous allons, dit le médecin, vous faire une nouvelle saignée, madame, pour vous soulager mieux. En sortant, il expliqua: − C’est malheureusement la quasi-vacuité du système artériel, que voulez-vous? Toutes les veines sont turgescentes, et aussi le foie (Malègue, Augustin, t. 2, 1933, p. 350).
− En partic. [En parlant de la verge] Qui est en érection. La verge d’Aaron toute droite et turgescente (Abellio, Pacifiques, 1946, p. 309).2. BOT. [En parlant d’une cellule végétale] Qui devient gonflé à la suite d’un apport d’eau. Lorsqu’on plonge un tissu végétal dans l’eau pure, il absorbe de l’eau par osmose, ses cellules se gonflent et deviennent turgescentes (Adr.-Legr.1981).
B. − P. ext., littér. Qui est gonflé. Dans un cadre noir, un énorme potiron s’étale, turgescent, près d’un coquemar de fer noir et d’une écuelle de cuivre jaune (Huysmans, Art. mod., 1883, p. 164).
− P. métaph. Hugo poète turgescent. Quinet poète turbulent (Sainte-Beuve, Poisons, 1869, p. 32).Prononc. et Orth.: [tyʀ ʒesɑ ̃], [-ʒ εs(s)ɑ ̃], fém. [-ɑ ̃:t]. Att. ds Ac. dep. 1835. Étymol. et Hist. 1. 1812 physiol. (Boiste); 2. 1869 p. métaph. (Sainte-Beuve, loc. cit.). Empr. sav. au lat.turgescens, part. prés. de turgescere « se gonfler, s’enfler ». Cf. au xvies. turgent (1561, G. Paradin, Hist. de notre temps, 635 ds Delb. Notes mss: humeurs […] turgens; apr. 1568, A. Paré, Œuvres compl., éd. J.-Fr. Malgaigne, t. 3, p. 411b: matiere […] turgente), empr. sav. au lat. turgens, part. prés. de turgere « être gonflé, enflé ». En angl., turgescent apparaît dès 1727 et turgent, ca 1440 (v. NED). Fréq. abs. littér.: 10. Bbg. Blochw.-Runk. 1971, p. 263.
20 décembre 2017 à 16:24 #19041Anonyme
Inactif
@vil1tidiab Martineté lol
20 décembre 2017 à 16:33 #19061Vil1tidiab
Participant
Pourquoi, @helea, c’est pas comme ça qu’on dit ?
20 décembre 2017 à 16:34 #19062Anonyme
Inactif
J’avoue que je ne connaissais pas lol
Mais, ça rime au moins.
20 décembre 2017 à 23:05 #19164Fraise Des Bois
Participant
J’adore ! il y a des trucs géniaux dans cette parodie “de beaux séants au fond des yeux-eux” Super bien trouvé !
"Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"
2 janvier 2018 à 22:59 #19735Elea
Participant
J’adore aussi.
Moi c’est plutôt sur les paroles suivantes que je craque :
“A leur volcan de larmes
A leur torrent de spasme”C’est tellement çà….Quel talent !!! 😉
3 janvier 2018 à 07:54 #19743Monsieuralex
Participant
Bravo, Tres beau texte!
Monsieuralex, fesseur nantais
13 janvier 2018 à 17:08 #20629Vil1tidiab
Participant
z’en voulez une autre ?
Bon, d’accord :À la claire fontaine
M’en allant promener,
J’ai trouvé “O” si belle,
Que j’ l’ai déculottéeIl y a longtemps que je fesse
J’aimerais tant vous fesser.Sous les feuilles d’un chêne
Je me l’ai allongé,
Avec une haute branche,
Je me suis fait un fouet.Il y a longtemps que je fesse
J’aimerais tant vous fesserHurle donc, couine et chante,
Toi qui as le cul rossé
Tu as un cul a frites,
Moi, j’aime te faire pleurer.Il y a longtemps que je fesse
J’aime tant et j’aimerais.T’en as pris une bonne dose
Sans l’avoir mérité,
Pour une paire rose,
Que je t’ai distribué.Il y a longtemps que j’te fesees
Jamais je ne te raterais.Je voudrais que la rose
Fût couleur du rouget,
Et que ma douce amie
Se frotte le fessierIl ya longtemps que j’la fesse
Et j’ vais encore la fesser9 février 2018 à 09:59 #22047Vil1tidiab
Participant
Une autre ! Une autre !
Après ces quelques semaines d’absence, je ne peux que vous satisfaire ! En esperant qu’elle vous plaise.Au claire de ses lunes,
Sur ton p’tit vélo
Lunes de petit’ Plume
C’est très rigolo
Jupette elle porte
Plaisir de mes yeux
Elle n’a pas d’culotte
Ca c’est encore mieux.Au claire de ses lunes
Plume m’aurait dit
Chui ta petit’ Plume
T’es mon paradis
Viens chez notre voisine
Qui se fait fesser
Avec une badine,
Viens me fustigerAu clair de la lune
Moi petit coquin
Saute sur ma plume
Comme un petits vil 1
Au lieu de dormir
Des petits lutins
Veulent encore punir
Jusqu’au petit matin.Au clair de ta lune,
je crois qu’il est temps,
De fesser ma Plume
Pour un petit moment.
Au clair de tes lunes
Rouge je les mets
Ecoutons la Plume
Geindre et pleurerEcoutons p’tit Plume
Gémir dans son coin
Regardons Tit Plume
Frotter des deux mains
Se deux petites lunes
Rouge de chagrin.26 mars 2018 à 10:02 #24178Vil1tidiab
Participant
Ecoute bien petit frère
Cette fille aux yeux clairs
Elle nous a emmené
Hier soir au ciné (mon œil)
Ce n’est qu’un’ bonne copine
Et ça ne va pas plus loin (ben tien)
Hou ! la menteuse
Elle est amoureusePetit frère vas-tu te taire
Hou ! la menteuse
Ne le dit pas à mon père
Elle est amoureuse
Même à l’âge de raison
Père me donnerait une leçonHou ! la menteuse
Elle est amoureuseEcoute bien petit frère
Je n’aime pas ces manières
Tu n’es qu’un rapporteur
alors t’arête sur l’heure
Ou j’te baisse ton caleçon
Et t’fout une correctionHou ! la menteuse
Elle est amoureusePetit frère T’aurais pu te taire
Hou ! les menteuses
Ne pas le dire à père
Elles sont amoureuse
C’est la règle à la maison
Pour les menteuses du savonHou ! la menteuse
la bouche savoneuseC’est vrai qu’elle est gentille
Et qu’on a joué au lit
Tu vas le regretter
Ne vas pas t’imaginer
Que je vais l’oublierPetit frère T’aurais pu te taire
Hou ! les menteuses
Ne pas le dire à père
Elles sont amoureuse
Allongé sur ses genoux
Fesses à l’air qu’il roue de coupsHou ! les menteuses
A la bouche savonneuseHou ! les menteuses
Ont la bouche PâteuseMaintenant vous allez rester en position pendant une demi heure, que tout le monde vous voit bien et comprenne ce qui arrive aux menteuses.
Et surtout gardez bien les mains dans le dos.9 avril 2018 à 12:56 #24897Vil1tidiab
Participant
Ce n’est pas une parodie mais un blague !
Un éleveur de poulet se rend au café local
Il s’assied à côté d’une femme et commande un verre de Champagne.
La femme dit :
– Comme c’est bizarre ! Je viens aussi de commander un verre de Champagne!
– Quelle coïncidence ! dit l’éleveur qui ajoute :
– C’est un jour spécial pour moi …. Je le célèbre.
– C’est un jour spécial pour moi aussi, je le célèbre aussi !
Dit la femme.
– Quelle coïncidence ! dit l’éleveur !
Pendant qu’ils trinquent l’homme demande :
– Que célébrez-vous donc ?
– Mon mari et moi essayons d’avoir un enfant depuis des Années, et aujourd’hui mon gynécologue m’a annoncé que J’étais enceinte !
– Quelle coïncidence ! dit l’homme
– Je suis éleveur de volailles et pendant des années toutes Mes poules ont été infertiles, mais aujourd’hui, elles se sont Toutes mises à pondre des œufs fécondés …
– C’est génial ! dit la femme.
Comment avez-vous fait pour que vos poules deviennent Fertiles ?
– J’ai utilisé un autre Coq, répond-il.
La femme sourit et dit :
– Quelle coïncidence !20 octobre 2018 à 13:44 #30952Vil1tidiab
Participant
Moi, non, mais ma “Tit’ Plume”, si ! Souvent mais c’est vrai que chez nous c’est “fessée érotique” voir préliminaire.
Imaginez-vous, mes dames, être réveillé tendrement par des caresses plus ou moins sages puis, vous vous retrouver sur le ventre, allongé près de nous ou en travers de nos de nos genoux.
La main qui s’abat dans un bruit sec résonant dans la pièce le fessier rougissant. La chaleur vous monte tel le désir pendant que l’autre main vous visite la bastide du plaisir.
Vos reins commencent à entamer le ballet du bien-être d’un vas et viens tendre et chaleureux. De petits râles confirment qu’on est dans la bonne voie et l’on voyage ensemble dans une excursion commune vers la jouissance.Orgasme Ô désespoirs, Ô caresses, je te mis,
N’ai-je donc tant vécu que pour toi, jeune amie ?
Et ne suis-je blanchi par tes rouges fessiers
Et que pour voir jouir ma belle et bien aimée !Mon bras qu’avec respect ton orgasme j’admire,
Mon bras, qui tant de fois a fessé ton empire,
Tant de fois affermie le trône de ton toi,
Trahit moi donc ma belle, et ne fait rien pour moi ?ô cruel souvenir de ma gloire passée !
Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité fatale à ton bonheur !
Précipice élevé d’où tombe mon honneur !Faut-il de votre éclat voit triompher le compte,
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?
Compte, demandé à présent de votre gouverneur ;
Ce haut rang n’admet point un homme sans honneur ;
Et ton jaloux orgueil par cet affront indigne
Malgré le choix, tu vois, m’en a su rendre digne.
Et toi, de mes dis doigts glorieux instrument,
Mais d’un corps tout de glace inutile ornement,
Fer jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,
M’as servi de parade, et non pas de défense,
Va, quitte désormais le dernier de tes coins,
Passe, pour te venger en de meilleures mains.20 octobre 2018 à 13:45 #30953Vil1tidiab
Participant
Moi, non, mais ma “Tit’ Plume”, si ! Souvent mais c’est vrai que chez nous c’est “fessée érotique” voir préliminaire.
Imaginez-vous, mes dames, être réveillé tendrement par des caresses plus ou moins sages puis, vous vous retrouver sur le ventre, allongé près de nous ou en travers de nos de nos genoux.
La main qui s’abat dans un bruit sec résonant dans la pièce le fessier rougissant. La chaleur vous monte tel le désir pendant que l’autre main vous visite la bastide du plaisir.
Vos reins commencent à entamer le ballet du bien-être d’un vas et viens tendre et chaleureux. De petits râles confirment qu’on est dans la bonne voie et l’on voyage ensemble dans une excursion commune vers la jouissance.Orgasme Ô désespoirs, Ô caresses, je te dis,
N’ai-je donc tant vécu que pour toi, jeune amie ?
Et ne suis-je blanchi par tes rouges fessiers
Et que pour voir jouir ma belle et bien aimée !
Mon bras qu’avec respect ton orgasme j’admire,
Mon bras, qui tant de fois a fessé ton empire,
Tant de fois affermie le trône de ton toi,
Trahit moi donc ma belle, et ne fait rien pour moi ?
ô cruel souvenir de ma gloire passée !
Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !
Nouvelle dignité fatale à ton bonheur !
Précipice élevé d’où tombe mon honneur !
Faut-il de votre éclat voit triompher le compte,
Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?
Compte, demandé à présent de votre gouverneur ;
Ce haut rang n’admet point un homme sans honneur ;
Et ton jaloux orgueil par cet affront indigne
Malgré le choix, tu vois, m’en a su rendre digne.
Et toi, de mes dis doigts glorieux instrument,
Mais d’un corps tout de glace inutile ornement,
Feu jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,
M’as servi de parade, et non pas de défense,
Va, quitte désormais le dernier de tes coins,
Passe, pour te venger en de meilleures mains.20 octobre 2018 à 14:07 #30954Vil1tidiab
Participant
illustration
21 octobre 2018 à 10:55 #30959Professeur Max
Participant
Pour compléter ce débat cornélien , j’ai retrouvé les stances de Rodriguette, un texte que j’avais commis il y quelques temps :
Percée jusques au fond du coeur
D’une atteinte brûlante aussi bien que vexante,
Les fesses à l’air au coin dans une longue attente,
Malheureuse victime d’une injuste rigueur,
Je demeure immobile, et me sens courbatue
En me massant le cul.
Mais quelle cuisante déculottée !
O Dieu, l’étrange peine !
J’ai bêtement dit : « J’aime la fessée »,
Et le fesseur en a saisi l’aubaine !Je suis une femme qu’on bat !
Qu’on humilie en claquant ses petites fesses,
Au moindre dérapage, à la moindre faiblesse
Et pourtant, malgré tout, je ne proteste pas.
Je sens au fond de moi brûler cette lueur,
Petit feu intérieur,
Qui me procure un plaisir infini.
Dieu, l’étrange peine !
J’ai dit que je voulais être punie
Et le fesseur en a saisi l’aubaine !http://professeurmax.canalblog.com/
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